*TRAITÉ DE ROME*

Il est important de se rappeler d'où nous venons. Après les tragédies de la Seconde Guerre mondiale, le Traité de Rome fut un accord clé entre six pays qui a lié leur destinée via la Communauté économique européenne. À l'occasion du 60ème anniversaire de sa signature, nous revenons sur la manière dont le traité a posé les bases de l'Europe et de sa réalisation, défendues par le Parlement européen.

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🇪🇺POUR QUE L'EUROPE, EN TANT QU’ACTEUR MONDIAL, NE SOIT PAS LOINTAINE DES EUROPÉENS & DES FRANÇAIS!. BIENVENUE, WELCOME, BIENVENIDO, WILLKOMMEN, WELKOM, BENVENUTO, BOAS-VINDAS, WITAJ, VITAJTE... By @MorganeBravo.

2010*50Years of Traineeships at the European Commission*

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*Founded in 2006. From Paris, France. Fondatrice du "HUB EUROPEAN UNION", Morgane BRAVO* "United in diversity", that's the motto of the EU! *Mieux informer les citoyens UE! « So that Europe, as a global player, is not far from Europeans » * *Ancienne stagiaire (Blue Book) de la Commission Européenne, au Secrétariat Général. Bruxelles. * President & Founder HUB « DIGITAL DIPLOMACY» «DIPLOMATIE NUMERIQUE ». *‪Fondatrice HUB 
‪« DIGITAL DIPLOMACY» : « POLITIQUE & SOCIAL NETWORKING ». *Fondatrice HUB « ECOLOGIE &INNOVATION : DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIE SIÈCLE!»* Présidente et Fondatrice du «Think Tank» Europe-Mexique.

*LES PRINCIPALES INSTITUTIONS DE L'UNION EUROPÉENNE*

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🇪🇺L'EUROPE. « L'Europe ne doit pas être un commentateur du monde. Elle doit en être l'architecte.🕊 La diplomatie européenne doit être une » 🕊 May the force be with you! Que la force soit avec vous!

vendredi, août 25, 2006

Les entreprises européennes sont prêtes à accroître...!

*** Les entreprises européennes sont prêtes à accroître leurs investissements en R&D pendant les trois prochaines années, selon une enquête de la Commission:

* Une récente enquête sur les investissements en R&D des entreprises européennes fait apparaître que celles-ci envisagent d'augmenter leurs investissements totaux en R&D d'environ 5% par an au cours des trois prochaines années. Ce chiffre contraste avec le taux de croissance d'à peine 0,7% des investissements en R&D mentionné dans le tableau de bord de 2005[1]. La Commission européenne s'est enquise des intentions de plus de 400 entreprises de dix grands secteurs industriels en matière d'investissements en R&D. L'enquête fournit en outre des indications sur d'autres aspects des décisions des entreprises privées relatives à leurs activités de R&D, tels que les mesures incitant les entreprises à procéder à des investissements de ce type, les facteurs qui déterminent la décision d'implantation des activités de R&D et les sources de financement. Il a également été demandé aux entreprises qui n'investissent pas dans la R&D d'expliquer les raisons de leur choix. "Pour atteindre notre objectif de 3% du PIB investis dans la recherche et le développement, le secteur privé doit accroître ses investissements", a déclaré Janez Potočnik, commissaire européen chargé de la science et de la recherche. "C'est la raison pour laquelle les résultats de cette enquête sont encourageants. Nous devons poursuivre et intensifier nos efforts, au niveau tant européen que national, afin de persuader les entreprises de réaliser leurs activités de recherche en Europe. La Commission présentera de nouvelles idées dans ce domaine en automne 2006."L'enquête fournit de nouvelles indications sur les attentes des entreprises relatives à leurs futurs investissements en R&D: les entreprises prévoient une croissance de ces investissements de l'ordre de 5% par an, soit une hausse considérable par rapport aux années antérieures. Si ces prévisions sont respectées, ce serait la première fois depuis plusieurs années que les entreprises européennes rivaliseraient avec leurs homologues américaines sur le plan des investissements dans la R&D[2]. L'enquête confirme la thèse selon laquelle les entreprises préfèrent encore mener leurs activités de R&D dans leur pays d'origine. Par conséquent, les pays concentrant le plus d'activités de ce type demeurent l'Allemagne, le Royaume-Uni et la France (graphique 1). Hors UE, ce sont les États-Unis qui restent le lieu d'implantation favori des activités de R&D, devant la Chine et l'Inde (graphique 2). L'enquête révèle en outre que les principaux facteurs du choix de l'implantation des activités de R&D de par le monde sont l'accès aux marchés et la disponibilité de chercheurs qualifiés. Le coût salarial des chercheurs, souvent cité comme un facteur important, semble n'avoir qu'une faible influence sur la décision.Les entreprises ayant pris part à l'enquête sous-traitent en moyenne 18% de leurs activités de R&D. Près de deux tiers de ces activités sont confiés à d'autres entreprises et un tiers à des organismes de recherche publics. C'est le secteur des produits pharmaceutiques et des biotechnologies qui externalise le plus ses activités de R&D (25%) tandis que c'est celui du matériel informatique qui a le moins recours à la sous-traitance (5%). Graphique [ Les tableaux et graphiques sont disponibles en formats PDF et Word Processed ]: Indice de popularité* des pays de l'UE comme lieu d'implantation des investissements en R&D[ Les tableaux et graphiques sont disponibles en formats PDF et Word Processed ]* Pays indiqué comme le plus intéressant = 3 points, 2e = 2 points, 3e = 1 point. Le graphique indique uniquement les pays mentionnés cinq fois au minimum. (Source: DG JRC-IPTS de la Commission européenne)Graphique [ Les tableaux et graphiques sont disponibles en formats PDF et Word Processed ]: Indice de popularité* des pays hors UE comme lieu d'implantation des investissements en R&DContexte: La Commission européenne a réalisé l'enquête de l'UE sur les tendances des entreprises en matière d'investissements (EU Survey on R&D Investment Business Trends) au cours du second semestre 2005 dans le cadre du projet de suivi des investissements dans la recherche industrielle de la Commission (Industrial Research Investment Monitoring, IRIM). Les résultats de l'enquête sont fondés sur 449 réponses représentant un échantillon d'entreprises appartenant à dix secteurs: automobiles et pièces détachées, industrie chimique, équipements électroniques et électriques, ingénierie et machines, industrie de production et de transformation des denrées alimentaires, santé, matériel informatique, produits pharmaceutiques et biotechnologies, sidérurgie et autres métaux, et services d'appui.Les 449 entreprises concernées représentent ensemble au total près de 30 milliards d'euros d'investissement en R&D, soit un pourcentage significatif de l'investissement européen dans la R&D.UEBruxelles, le 23 août 2006

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