*TRAITÉ DE ROME*

Il est important de se rappeler d'où nous venons. Après les tragédies de la Seconde Guerre mondiale, le Traité de Rome fut un accord clé entre six pays qui a lié leur destinée via la Communauté économique européenne. À l'occasion du 60ème anniversaire de sa signature, nous revenons sur la manière dont le traité a posé les bases de l'Europe et de sa réalisation, défendues par le Parlement européen.

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2010*50Years of Traineeships at the European Commission*

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*Founded in 2006. From Paris, France. Fondatrice du "HUB EUROPEAN UNION", Morgane BRAVO* "United in diversity", that's the motto of the EU! *Mieux informer les citoyens UE! « So that Europe, as a global player, is not far from Europeans » * *Ancienne stagiaire (Blue Book) de la Commission Européenne, au Secrétariat Général. Bruxelles. * President & Founder HUB « DIGITAL DIPLOMACY» «DIPLOMATIE NUMERIQUE ». *‪Fondatrice HUB 
‪« DIGITAL DIPLOMACY» : « POLITIQUE & SOCIAL NETWORKING ». *Fondatrice HUB « ECOLOGIE &INNOVATION : DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIE SIÈCLE!»* Présidente et Fondatrice du «Think Tank» Europe-Mexique.

*LES PRINCIPALES INSTITUTIONS DE L'UNION EUROPÉENNE*

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🇪🇺L'EUROPE. « L'Europe ne doit pas être un commentateur du monde. Elle doit en être l'architecte.🕊 La diplomatie européenne doit être une » 🕊 May the force be with you! Que la force soit avec vous!

lundi, janvier 22, 2007

* Sarkozy mise sur l'arme fiscale pour revaloriser le travail...!

*** Le candidat de l'UMP a développé ses propositions économiques, fiscales et sociales dans un entretien au Monde. Il promet d'abaisser de 4 points les prélèvements obligatoires et de rendre ainsi 68 milliards d'euros aux Français.

* Nicolas Sarkozy veut « revaloriser le travail ». C'est « la priorité des priorités » de son programme économique, fiscal et social, détaillé dans une interview au Monde daté du 23 janvier. Pour y arriver, le candidat UMP veut réduire la fiscalité qui pèse les heures supplémentaires. Que ce soit pour les entreprises, qui seraient dispensées de cotisations sociales, ou pour les salariés qui n'auraient plus à payer d'impôt sur le revenu supplémentaire engendré par ces heures. Il souhaite ainsi augmenter le pouvoir d'achat et donc la consommation, et par voie de conséquence les recettes de la TVA. Les heures supplémentaires doivent par ailleurs, selon lui, être rémunérées de la même façon, sans distinction de la taille des entreprises, au taux de 25% supplémentaire.Nicolas Sarkozy propose en outre de « réduire de 4 points nos prélèvements obligatoires ». Cette « véritable révolution économique » conduirait à rendre selon lui 68 milliards d'euros aux Français. Pour contrebalancer des rentrées de recettes moindres, il propose de réduire la dépense publique, essentiellement en ne remplaçant pas le départ à la retraite d'un fonctionnaire sur deux. « La moitié de la productivité ainsi gagnée doit servir à réduire les déficits, l'autre à augmenter le pouvoir d'achat des fonctionnaires », précise le candidat.

Il ne reviendra pas, dit-il sur les 35 heures ni sur la retraite à 60 ans, mais propose des aménagements, pour une plus grande flexibilité. « Le droit à la retraite à 60 ans doit demeurer, de même que les 35 heures continueront d'être la durée hebdomadaire légale du travail. Que ce soit un minimum, cela me va très bien. Ce que je n'accepte pas est que cela soit aussi un maximum », affirme-t-il. Quant à l'âge de la retraite, il propose aussi plus de flexibilité: « Il faut que celui qui veut travailler plus longtemps puisse le faire. Je souhaite une société du libre choix ». « Quelle drôle d'idée que d'interdire aux Français de travailler plus pour gagner plus », conclut-il.

Sur les droits de succession, il souhaite que 95% des Français en soient exonérés. Quant à l'impôt de solidarité sur la fortune, l'heure n'est plus à son abolition. Nicolas Sarkozy réaffirme au contraire ce qu'il avançait déjà en décembre dernier : « Il n'y aura pas de suppression de l'ISF. (...) Il est normal que ceux qui ont les plus gros patrimoines paient davantage. » Des propos dignes d'un candidat de gauche, mais immédiatement balancés par son idée d'étendre le « bouclier fiscal à 50% intégrant la CSG et la contribution au remboursement de la dette sociale ». Il entend enfin « donner à ceux qui paient l'ISF la possibilité de déduire de cet impôt, par exemple jusqu'à 50.000 euros, à condition de l'investir dans les PME».

LExpansion
22/01/2007

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