*TRAITÉ DE ROME*

Il est important de se rappeler d'où nous venons. Après les tragédies de la Seconde Guerre mondiale, le Traité de Rome fut un accord clé entre six pays qui a lié leur destinée via la Communauté économique européenne. À l'occasion du 60ème anniversaire de sa signature, nous revenons sur la manière dont le traité a posé les bases de l'Europe et de sa réalisation, défendues par le Parlement européen.

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2010*50Years of Traineeships at the European Commission*

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*Founded in 2006. From Paris, France. Fondatrice du "HUB EUROPEAN UNION", Morgane BRAVO* "United in diversity", that's the motto of the EU! *Mieux informer les citoyens UE! « So that Europe, as a global player, is not far from Europeans » * *Ancienne stagiaire (Blue Book) de la Commission Européenne, au Secrétariat Général. Bruxelles. * President & Founder HUB « DIGITAL DIPLOMACY» «DIPLOMATIE NUMERIQUE ». *‪Fondatrice HUB 
‪« DIGITAL DIPLOMACY» : « POLITIQUE & SOCIAL NETWORKING ». *Fondatrice HUB « ECOLOGIE &INNOVATION : DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIE SIÈCLE!»* Présidente et Fondatrice du «Think Tank» Europe-Mexique.

*LES PRINCIPALES INSTITUTIONS DE L'UNION EUROPÉENNE*

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mardi, mars 17, 2009

***"La France restera indépendante"***


***Interview D'Axel Poniatowski, Député du Val d'Oise, Secrétaire Général Adjoint
de l'UMP.
Parue dans le quotidien Les Echos du 11 mars 2009

Propos recueillis par Pierre-Alain Furbury

Vous étiez réticent à l'automne. Pourquoi être aujourd'hui favorable au retour de la France dans le commandement intégré de l'Otan ?
Je n'étais pas farouchement contre, mais plutôt sceptique. Je me demandais si c'était vraiment utile, majeur et nécessaire. Depuis, je suis entré dans le dossier. Et, à l'analyse, personne ne peut contester que notre intérêt est de réintégrer l'Otan. D'abord, la situation n'est plus du tout celle de 1966. Nous n'avons plus à finaliser notre nucléaire et, surtout, nous n'avons pas l'intention de mettre notre nucléaire à la disposition de l'Otan : nous ne participerons pas au groupe nucléaire. Ensuite, il n'est pas question ni d'autoriser l'installation de bases américaines en France, ni de perdre notre souveraineté sur l'espace aérien. Surtout, depuis 1995, à l'initiative de Jacques Chirac, nous avons de plus en plus réintégré l'Otan : nous faisons partie de 38 des 40 commandements civils ou militaires et nous avons participé à toutes les opérations de l'Otan. Ce qui fait que nous nous retrouvons avec tous les inconvénients d'une appartenance complète sans en avoir tous les avantages : faute d'être au comité des plans et dans le commandement intégré, nous ne pouvons pas faire valoir nos idées et nos concepts.

Vous n'avez donc plus aucun doute ?
Plus aucun. Je n'y vois que des intérêts politiques et opérationnels. Même l'argument « symbole » n'est pas convaincant. Ce n'est qu'un problème franco-français.

La France, demain, pourrait-elle s'opposer à une guerre menée par les Etats-Unis, comme hier en Irak ?
Evidemment. Il n'y a pas de raison pour que la France ne continue pas à s'exprimer comme elle l'a toujours fait. La politique étrangère continuera d'être aussi libre et indépendante.

N'aurait-il pas fallu d'abord relancer la politique européenne de défense ?
Ma conviction est que nous sommes arrivés au maximum de ce que nous pouvons faire en termes de construction européenne de défense, nos partenaires nous suspectant d'avoir un agenda caché. Pour aller plus loin, il faut que l'on soit pleinement membre de l'Otan.

Engager la responsabilité du gouvernement n'est-il pas d'abord un moyen de faire taire les critiques dans la majorité ?
C'est une excellente et nécessaire initiative. Oui, il y a une pression supplémentaire, mais l'enjeu le justifie. Un sujet aussi important doit être marqué par un vote à l'Assemblée. Il faut noter que 10 % des députés UMP à peine sont contre la réintégration et que certains le sont par posture politique, par antisarkozysme. Il est regrettable de tout mélanger.

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