*TRAITÉ DE ROME*

Il est important de se rappeler d'où nous venons. Après les tragédies de la Seconde Guerre mondiale, le Traité de Rome fut un accord clé entre six pays qui a lié leur destinée via la Communauté économique européenne. À l'occasion du 60ème anniversaire de sa signature, nous revenons sur la manière dont le traité a posé les bases de l'Europe et de sa réalisation, défendues par le Parlement européen.

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2010*50Years of Traineeships at the European Commission*

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*Founded in 2006. From Paris, France. Fondatrice du "HUB EUROPEAN UNION", Morgane BRAVO* "United in diversity", that's the motto of the EU! *Mieux informer les citoyens UE! « So that Europe, as a global player, is not far from Europeans » * *Ancienne stagiaire (Blue Book) de la Commission Européenne, au Secrétariat Général. Bruxelles. * President & Founder HUB « DIGITAL DIPLOMACY» «DIPLOMATIE NUMERIQUE ». *‪Fondatrice HUB 
‪« DIGITAL DIPLOMACY» : « POLITIQUE & SOCIAL NETWORKING ». *Fondatrice HUB « ECOLOGIE &INNOVATION : DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIE SIÈCLE!»* Présidente et Fondatrice du «Think Tank» Europe-Mexique.

*LES PRINCIPALES INSTITUTIONS DE L'UNION EUROPÉENNE*

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🇪🇺L'EUROPE. « L'Europe ne doit pas être un commentateur du monde. Elle doit en être l'architecte.🕊 La diplomatie européenne doit être une » 🕊 May the force be with you! Que la force soit avec vous!

jeudi, juin 11, 2009

***Union européenne: Le test Barroso...***


***Président sortant de la Commission européenne, le Portugais veut à tout prix être reconduit. Plus qu'une simple désignation, la première bataille de la nouvelle législature européenne vient de commencer.

José Manuel Barroso a déclaré sa candidature mardi, au lendemain des résultats du scrutin européen. Pourquoi est-il si pressé?

Le président de la Commission n'a qu'une chose en tête: être reconduit le plus rapidement possible. Son objectif est d'être désigné par les dirigeants européens lors du Conseil européen des 18 et 19 juin, à Bruxelles. Son nom serait alors soumis au vote du nouveau Parlement le 15 juillet.

En procédant ainsi, Barroso compte profiter des avantages du traité de Nice, encore en vigueur, qui prévoit un vote à la majorité simple. Si l'élection est reportée, en effet, le scrutin serait soumis aux nouvelles règles du traité de Lisbonne, qui impose une majorité absolue, plus difficile à réunir.

Le président de la Commission cherche aussi à prendre de vitesse ses nombreux opposants à Strasbourg. Ceux-ci cherchent à réunir une majorité pour empêcher sa désignation.

Un camouflet du Parlement est-il envisageable?

C'est ce que prétend Daniel Cohn-Bendit. Selon ses calculs, le rassemblement des députés des groupes socialiste (161 élus), Vert (53 élus), d'extrême-gauche (32 élus) et de la centaine de parlementaires eurosceptiques pourrait suffire à faire obstacle à Barroso: "Il pourrait y avoir une surprise...", sourit le leader écologiste.

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La Commission, c'est quoi?
Elu pour cinq ans, le collège des commissaires est chargé de proposer et de mettre en oeuvre les politiques de l'Union. C'est en quelque sorte le gouvernement de l'Europe. Son influence est énorme. Mais la Commission doit faire face à la montée en puissance des pouvoirs du Parlement européen.
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Pour faire face à ce nouveau front, loin d'être constitué, les démocrates-chrétiens et les conservateurs ont déjà pris les devants. Le Parti Populaire Européen (264 élus) a proposé une alliance aux socialistes. En guise de carotte, la droite promet une répartition équitable des postes clés du Parlement (le perchoir ainsi que la présidence des commissions parlementaires qui comptent).

La principale inconnue réside dans le positionnement des 80 députés de l'Alliance des démocrates et des libéraux (ADLE). Très courtisés, ils pourraient faire basculer la balance. Une partie d'entre

eux, dont les parlementaires français issus du Modem, sont hostiles à la reconduction de Barroso. Mais le président de l'ADLE, le britannique Graham Watson, ne semble pas s'y opposer.

La bataille s'annonce intense et devrait constituer le premier jalon de la nouvelle législature.

Quelle est la position de Nicolas Sarkozy?

Elle n'est pas encore clairement définie. Le président de la République ne s'oppose pas à la candidature de Barroso, apprécié pour la modestie de ses ambitions: il a en partie laissé les rênes de l'Europe aux Etats membres. Mais il n'a pas d'admiration particulière pour l'ex-premier ministre portugais et ne souhaite pas précipiter les choses.

En mars, le chef de l'Etat a dit vouloir "attendre que les Irlandais votent" à nouveau sur le traité de Lisbonne - ce sera à l'automne - avant toute désignation. Mais il a du composer avec l'empressement de la majorité de ses homologues. Le Premier ministre suédois, le conservateur Frederik Reinfeldt, dont le pays présidera l'Union européenne à partir du 1er juillet, veut donner à José Manuel Barroso "dès à présent un mandat plein et entier".

Ce jeudi, Nicolas Sarkozy a annoncé aux côtés de la chancelière allemande Angela Merkel qu'"une décision politique sera prise lors du sommet du 18 et 19 juin", ouvrant ainsi officiellement le processus de reconduction de Jose Manuel Barroso.

Par Jim Jarrassé
L'Express
11/06/2009

***Morgane BRAVO
*Ancienne stagiaire
"Commission européenne au Secrétariat Général". Bruxelles.
Rapport: « La politique des droits de l’homme de la communauté européenne dans les pays tiers »*

http://unioneuropeenne.blogspot.com/2009/03/4-stages-european-commission.html

Bien à vous,

MB

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