*TRAITÉ DE ROME*

Il est important de se rappeler d'où nous venons. Après les tragédies de la Seconde Guerre mondiale, le Traité de Rome fut un accord clé entre six pays qui a lié leur destinée via la Communauté économique européenne. À l'occasion du 60ème anniversaire de sa signature, nous revenons sur la manière dont le traité a posé les bases de l'Europe et de sa réalisation, défendues par le Parlement européen.

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2010*50Years of Traineeships at the European Commission*

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*Founded in 2006. From Paris, France. Fondatrice du "HUB EUROPEAN UNION", Morgane BRAVO* "United in diversity", that's the motto of the EU! *Mieux informer les citoyens UE! « So that Europe, as a global player, is not far from Europeans » * *Ancienne stagiaire (Blue Book) de la Commission Européenne, au Secrétariat Général. Bruxelles. * President & Founder HUB « DIGITAL DIPLOMACY» «DIPLOMATIE NUMERIQUE ». *‪Fondatrice HUB 
‪« DIGITAL DIPLOMACY» : « POLITIQUE & SOCIAL NETWORKING ». *Fondatrice HUB « ECOLOGIE &INNOVATION : DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIE SIÈCLE!»* Présidente et Fondatrice du «Think Tank» Europe-Mexique.

*LES PRINCIPALES INSTITUTIONS DE L'UNION EUROPÉENNE*

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🇪🇺L'EUROPE. « L'Europe ne doit pas être un commentateur du monde. Elle doit en être l'architecte.🕊 La diplomatie européenne doit être une » 🕊 May the force be with you! Que la force soit avec vous!

mardi, décembre 01, 2009

*** D'intenses discussions en vue d'un accord ambitieux à Copenhague...***


***Staffan Tillander est ambassadeur du climat. se2009.eu l'a rencontré et lui a demandé où en sont les dernières préparations en vue de Copenhague.

Pouvez-vous décrire votre rôle et votre travail en vue de la Conférence sur le changement climatique à Copenhague ?
- Je sers de soutien au ministre suédois de l'environnement et au Ministère de l'environnement. Il s'agit pour beaucoup d'avoir des contacts et des dialogues au niveau international. Le fait d'assurer la Présidence de l'UE a évidemment joué un rôle central dans ce travail.

D'un point de vue international, où en sont les préparatifs actuellement ?
- Un intense processus politique a actuellement lieu, et s'est déroulé tout au long de l'année pour parvenir à un consensus autour des questions centrales. Et l'UE a incité les autres parties afin qu'elles augmentent leur mise sur le financement de la réduction de l'empreinte carbone. L'UE se sert de la proposition de réduction de 30 pour cent des émissions comme d'un levier.

Il faut qu'il y ait à Copenhague suffisamment d'engagements et de mesures sur la table. Ceux-ci doivent ensuite être inclus au sein d'un accord afin que le climat puisse être sauvé. Les consultations entre les ministres de l'environnement, notamment, s'intensifient de plus en plus. L'objectif est d'assurer la signature d'un accord portant sur la plupart des rejets globaux, à la fois dans les pays développés, dans les pays en développement et dans les pays émergents.

Les négociations internationales en vue et pendant cette conférence sur le climat, semblent être très compliquées. Que pouvez-vous dire à propos de cette complexité ? Par exemple, comment faire pour prendre en compte les besoins et les demandes de l'ensemble des différentes parties ?
- Il faut avant tout comprendre que le changement climatique entraîne des répercussions radicales à l'échelle mondiale. Il s'attaque à l'ensemble des secteurs et intérêts les plus importants des nations, comme l'économie, l'écologie et la politique de sécurité. Il touche à la fois les pays développés et les pays en développement. Ce sont les pays les plus pauvres et les plus vulnérables qui sont les plus touchés, et en même temps ce sont eux qui éprouvent le plus de difficultés à faire face à ces changements.

On peut considérer la menace et les problèmes qu'engendre le changement climatique, comme un patchwork géant fait de différents intérêts et de positions. Ce n'est pas toujours facile de les assembler. Mais il est aussi possible de voir les possibilités que cela offre. Il existe de nombreuses manières efficaces de réaliser des économies d'énergie et d'environnement tout en sauvegardant le climat. Si nous réussissons à mettre en place une dynamique positive du travail de changement exigé par la problématique climatique, cela pourra alors à la fois faciliter les négociations et accélérer ce processus de changement et le rendre moins coûteux que ce que nous avions tout d'abord estimé.

Au cours du dernier semestre, nous avons vu de nombreuses tendances s'orienter dans cette direction. L'UE a utilisé son objectif des 30 pour cent comme un levier afin d'inciter les autres à faire plus d'efforts et à miser plus. Plusieurs pays ont suivi ce mouvement. Des pays émergents comme le Brésil et l'Indonésie peuvent diminuer la déforestation. La Corée du Sud va diminuer ses émissions. Les pays développés que sont l'Australie et le Japon ont amélioré leur mise de réduction de l'empreinte carbone pour atteindre 25 pour cent dans le cadre d'un accord international. Tout cela est donc encourageant.

De quelle manière pensez-vous que la Conférence sur le changement climatique et ses résultats joueront un rôle dans le futur quotidien des citoyens européens ?
- Cela fait plusieurs années que le travail de changement a lieu au sein de l'UE. Il deviendra probablement plus intense après Copenhague. Une UE en position d'avant garde peut tout aussi bien être une UE qui possède la technologie la plus moderne, le meilleur environnement et des possibilités d'investissements et de création d'emplois.

se2009.eu

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