*** Nicolas Sarkozy a publié lundi dernier un nouveau livre qui rencontre un très grand succès : Témoignage!
** Un site internet a été ouvert!
THINK TANK UNIONEUROPEENNE EUROPÄISCHEUNION EUROPEANUNION UNIONEUROPEA *EUROPIONEERS By MorganeBRAVO
EUROPIONNERS, 2006 EU HUB!*Pour que l'Europe, en tant qu’acteur mondial, ne soit pas lointaine des européens. *Devise:"In varietate concordia"(latin: Unie dans la diversité).*Unie dans la diversité: l'Union Européenne (UE) se compose de 27 pays européens qui partagent les mêmes valeurs démocratiques et se sont engagés à travailler ensemble pour la paix et la prospérité. Il ne s'agit pas d'un Etat destiné à se substituer aux Etats existants. En fait, c'est une organisation unique en son genre!
mardi, juillet 25, 2006
vendredi, juillet 21, 2006
jeudi, juillet 20, 2006
Énergies renouvelables en Écosse ...
*** Talisman implante deux éoliennes expérimentales:
* Les travaux devant mener à l'implantation de deux éoliennes expérimentales au large de l'Ecosse, un projet dont la facture totale s'élève à 70 millions $ CAN, ont débuté, a annoncé mardi la compagnie canadienne Talisman Energy. Les deux éoliennes seront installées à 25 kilomètres des côtes orientales de l'Ecosse, dans environ 45 mètres d'eau, à proximité de la plateforme pétrolière Beatrice que Talisman exploite dans cette région depuis 25 ans. Le projet, qui avait déjà été annoncé, est une coentreprise de Talisman Energy (UK) Ltd., une division de Talisman Energy, et de Scottish and Southern Energy. Deux turbines de cinq mégawatts mesurant 85 mètres de hauteur seront installées, ce qui les classe parmi les plus grandes jamais déployées. La première pourrait prendre la route du large le mois prochain et commencer à produire de l'électricité en octobre. Le projet servira notamment à tester la faisabilité technique et économique d'implanter des fermes éoliennes en eau profonde. L'électricité générée par les turbines alimentera dans un premier temps seulement la plateforme Beatrice. Mais si ce projet-pilote est couronné de succès, il pourrait, à terme, répondre à 20% des besoins en électricité de l'Ecosse. «Ce projet a deux avantages, a expliqué le président et directeur général de Talisman», Jim Buckee. «En étant installé si loin au large, l'impact visuel est éliminé et on profite d'une source de vent plus constante.» La Commission européenne a déjà indiqué qu'elle souhaite que 20% ou 25% de l'électricité utilisée sur le territoire de l'Union européenne provienne de sources renouvelables.
Presse Canadienne (PC) - Par Bill Graveland18/07/2006 Jim Buckee, chef de la direction de la firme canadienne Talisman Energy.
* Les travaux devant mener à l'implantation de deux éoliennes expérimentales au large de l'Ecosse, un projet dont la facture totale s'élève à 70 millions $ CAN, ont débuté, a annoncé mardi la compagnie canadienne Talisman Energy. Les deux éoliennes seront installées à 25 kilomètres des côtes orientales de l'Ecosse, dans environ 45 mètres d'eau, à proximité de la plateforme pétrolière Beatrice que Talisman exploite dans cette région depuis 25 ans. Le projet, qui avait déjà été annoncé, est une coentreprise de Talisman Energy (UK) Ltd., une division de Talisman Energy, et de Scottish and Southern Energy. Deux turbines de cinq mégawatts mesurant 85 mètres de hauteur seront installées, ce qui les classe parmi les plus grandes jamais déployées. La première pourrait prendre la route du large le mois prochain et commencer à produire de l'électricité en octobre. Le projet servira notamment à tester la faisabilité technique et économique d'implanter des fermes éoliennes en eau profonde. L'électricité générée par les turbines alimentera dans un premier temps seulement la plateforme Beatrice. Mais si ce projet-pilote est couronné de succès, il pourrait, à terme, répondre à 20% des besoins en électricité de l'Ecosse. «Ce projet a deux avantages, a expliqué le président et directeur général de Talisman», Jim Buckee. «En étant installé si loin au large, l'impact visuel est éliminé et on profite d'une source de vent plus constante.» La Commission européenne a déjà indiqué qu'elle souhaite que 20% ou 25% de l'électricité utilisée sur le territoire de l'Union européenne provienne de sources renouvelables.
Presse Canadienne (PC) - Par Bill Graveland18/07/2006 Jim Buckee, chef de la direction de la firme canadienne Talisman Energy.
mercredi, juillet 19, 2006
Assiduité des eurodéputés français : 2005 - 2006
*** Comme chaque année avant les vacances parlementaires, le journal "Le Parisien - Aujourd'hui en France" publie le tableau récapitulatif de l'assiduité des députés français aux sessions plénières du Parlement européen durant l'année écoulée.
* S'il est à noter que leur présence est en légère augmentation, certains députés trop souvent absents ne font pas honneur à leur mandat, comme Philippe de Villiers par exemple, bon dernier de la classe, ou Marine Le Pen classée à peine plus haut.
Le "Vicomte" pousse même l'"élégance" jusqu'à se vanter régulièrement de son manque de présence, entendant ainsi marquer son mépris de l'Europe (sic). Cela ne l'empêche pourtant pas de percevoir ses indemnités parlementaires... Par exemple, pour un important vote sur REACH (règlementation sur les produits chimiques), celui-ci est venu jusque dans l'hémicycle pour signer la feuille de présence, puis est parti immédiatement, sans participer au vote pourtant si important pour la santé des citoyens européens...
Heureusement, de nombreux députés se distinguent par une présence très importante.
*** Les bons et les mauvais élèvesVILLIERS au piquet ! Marine Le Pen très mauvaise élève ! Ce sont deux des principaux enseignements du classement des députés européens français, que publie comme chaque année "le Parisien" et "Aujourd'hui en France". Ce palmarès est basé sur leur assiduité aux séances plénières organisées à Strasbourg ou à Bruxelles entre juillet 2005 et juin 2006. Lors de chacune de ces 61 séances, chaque eurodéputé doit parapher une feuille de présence.Même si on ne peut résumer la qualité des élus tricolores à ce classement, il reste néanmoins un bon indicateur. "On peut dire que ceux qui sont au-dessus de 90 % sont vraiment investis, résume un bon connaisseur du Parlement européen. Et ceux qui sont sous les 80% ne font que de la présence."
** Une assiduité plus importanteQue retenir de 2005-2006 ? 76e l'an passé, Philippe de Villiers est cette fois-ci la lanterne rouge. Très critique à l'égard des instances européennes, le président du Mouvement pour la France est déjà depuis six mois à fond dans sa campagne présidentielle de 2007. Marine Le Pen, elle aussi, se distingue par de médiocres résultats. Elle est même, cette année, largement distancée par son père, qui améliore considérablement son score : en 2004-2005, le taux d'assiduité de Jean-Marie Le Pen n'était que de 60%. Figurent encore parmi les mauvais élèves : l'ex-présidente du Parlement européen Nicole Fontaine et Michel Rocard, qui y a occupé également des postes de premier plan. A la têtede ce palmarès, on trouve des habitués : des UMP Françoise Grossetête et Margie Sudre en passant par le Vert Gérard Onesta ou l'UDF Janelly Fourtou. Sont également bien classés : l'UMP Roselyne Bachelot, les socialistes Bernard Poignant et Pervenche Bères, l'ex-ministre Tokia Saïfi, le no 2 du FN, Bruno Gollnisch…
Mais si depuis quelques années, on constate une présence et une influence plus fortes des députés français au Parlement européen, 2007 et 2008 risquent en revanche de provoquer une vraie saignée dans les rangs tricolores. Entre les candidats aux élections législatives (Roselyne Bachelot, les socialistes Vincent Peillon et Pierre Moscovici…) ou aux municipales et ceux qui vont devenir ministres, il devrait y avoir un "turnover" important.
"C'est terrible et très français, commente un député européen du sud de l'Hexagone.
Après les législatives allemandes de l'an passé et la constitution du gouvernement Merkel, il n'y a eu qu'un seul départ".
Article paru dans Le Parisien le 11 juillet 2006Ludovic Vigogne.
* S'il est à noter que leur présence est en légère augmentation, certains députés trop souvent absents ne font pas honneur à leur mandat, comme Philippe de Villiers par exemple, bon dernier de la classe, ou Marine Le Pen classée à peine plus haut.
Le "Vicomte" pousse même l'"élégance" jusqu'à se vanter régulièrement de son manque de présence, entendant ainsi marquer son mépris de l'Europe (sic). Cela ne l'empêche pourtant pas de percevoir ses indemnités parlementaires... Par exemple, pour un important vote sur REACH (règlementation sur les produits chimiques), celui-ci est venu jusque dans l'hémicycle pour signer la feuille de présence, puis est parti immédiatement, sans participer au vote pourtant si important pour la santé des citoyens européens...
Heureusement, de nombreux députés se distinguent par une présence très importante.
*** Les bons et les mauvais élèvesVILLIERS au piquet ! Marine Le Pen très mauvaise élève ! Ce sont deux des principaux enseignements du classement des députés européens français, que publie comme chaque année "le Parisien" et "Aujourd'hui en France". Ce palmarès est basé sur leur assiduité aux séances plénières organisées à Strasbourg ou à Bruxelles entre juillet 2005 et juin 2006. Lors de chacune de ces 61 séances, chaque eurodéputé doit parapher une feuille de présence.Même si on ne peut résumer la qualité des élus tricolores à ce classement, il reste néanmoins un bon indicateur. "On peut dire que ceux qui sont au-dessus de 90 % sont vraiment investis, résume un bon connaisseur du Parlement européen. Et ceux qui sont sous les 80% ne font que de la présence."
** Une assiduité plus importanteQue retenir de 2005-2006 ? 76e l'an passé, Philippe de Villiers est cette fois-ci la lanterne rouge. Très critique à l'égard des instances européennes, le président du Mouvement pour la France est déjà depuis six mois à fond dans sa campagne présidentielle de 2007. Marine Le Pen, elle aussi, se distingue par de médiocres résultats. Elle est même, cette année, largement distancée par son père, qui améliore considérablement son score : en 2004-2005, le taux d'assiduité de Jean-Marie Le Pen n'était que de 60%. Figurent encore parmi les mauvais élèves : l'ex-présidente du Parlement européen Nicole Fontaine et Michel Rocard, qui y a occupé également des postes de premier plan. A la têtede ce palmarès, on trouve des habitués : des UMP Françoise Grossetête et Margie Sudre en passant par le Vert Gérard Onesta ou l'UDF Janelly Fourtou. Sont également bien classés : l'UMP Roselyne Bachelot, les socialistes Bernard Poignant et Pervenche Bères, l'ex-ministre Tokia Saïfi, le no 2 du FN, Bruno Gollnisch…
Mais si depuis quelques années, on constate une présence et une influence plus fortes des députés français au Parlement européen, 2007 et 2008 risquent en revanche de provoquer une vraie saignée dans les rangs tricolores. Entre les candidats aux élections législatives (Roselyne Bachelot, les socialistes Vincent Peillon et Pierre Moscovici…) ou aux municipales et ceux qui vont devenir ministres, il devrait y avoir un "turnover" important.
"C'est terrible et très français, commente un député européen du sud de l'Hexagone.
Après les législatives allemandes de l'an passé et la constitution du gouvernement Merkel, il n'y a eu qu'un seul départ".
Article paru dans Le Parisien le 11 juillet 2006Ludovic Vigogne.
mardi, juillet 04, 2006
Permira lève le plus gros fonds européen destiné à racheter des entreprises!
*** C'est un record en Europe : la société de capital-investissement Permira a annoncé, mardi 4 juillet, avoir collecté, à ce jour, 10 milliards d'euros pour son nouveau fonds auprès d'investisseurs internationaux (assureurs, fonds de pension, majoritairement européens).
Doté de ces montants colossaux, Permira joue maintenant dans la cour des "méga-fonds", avec quatre autres, tous américains : Blackstone, KKR, TPG et Apollo. Le but affiché de ces acteurs est de prendre le contrôle de grandes sociétés valant plusieurs milliards, voire plusieurs dizaines de milliards d'euros, cotées ou non en Bourse. Comme les fonds de taille plus modeste, ils y parviennent en ayant fortement recours à la dette (elle représente en général les deux tiers de la valeur de l'entreprise acquise).
"Seuls, nous pouvons viser des entreprises pesant entre 6 et 8 milliards d'euros. Si nous formons un consortium avec d'autres fonds, nous n'avons pas de limite de taille. Dans l'indice CAC 40, beaucoup d'entreprises sont à notre portée", affirme Philippe Robert, un des associés de Permira en charge de la France.
Début 2006, Permira a racheté l'opérateur historique de télécommunications danois TDC. En France, il n'est toujours pas passé à l'offensive. "Parce que peu d'entreprises sont à vendre et qu'il n'est pas question pour nous de nous engager dans une opération hostile", explique M. Robert.
Cécile Ducourtieux
Article paru dans l'édition du 05.07.06
Le Monde
Doté de ces montants colossaux, Permira joue maintenant dans la cour des "méga-fonds", avec quatre autres, tous américains : Blackstone, KKR, TPG et Apollo. Le but affiché de ces acteurs est de prendre le contrôle de grandes sociétés valant plusieurs milliards, voire plusieurs dizaines de milliards d'euros, cotées ou non en Bourse. Comme les fonds de taille plus modeste, ils y parviennent en ayant fortement recours à la dette (elle représente en général les deux tiers de la valeur de l'entreprise acquise).
"Seuls, nous pouvons viser des entreprises pesant entre 6 et 8 milliards d'euros. Si nous formons un consortium avec d'autres fonds, nous n'avons pas de limite de taille. Dans l'indice CAC 40, beaucoup d'entreprises sont à notre portée", affirme Philippe Robert, un des associés de Permira en charge de la France.
Début 2006, Permira a racheté l'opérateur historique de télécommunications danois TDC. En France, il n'est toujours pas passé à l'offensive. "Parce que peu d'entreprises sont à vendre et qu'il n'est pas question pour nous de nous engager dans une opération hostile", explique M. Robert.
Cécile Ducourtieux
Article paru dans l'édition du 05.07.06
Le Monde
dimanche, juillet 02, 2006
La Finlande a officiellement succédé l'Autriche à la présidence UE...
*** La Finlande a officiellement succédé samedi 1er juillet à l'Autriche à la présidence tournante de l'Union européenne (UE) qu'elle s'est engagée à rapprocher de ses citoyens au moyen d'actions concrètes et de résultats.Le premier ministre finlandais Matti Vanhanen n'a de cesse de répéter que les non français et néerlandais à la Constitution européenne en 2005 avaient résulté en grande partie de l'image d'opacité, d'inefficacité et de bureaucratie que renvoie parfois l'Union. "Nous avons besoin d'une 'Europe des résultats' qui génère de la valeur ajoutée", déclarait-il cette semaine.Helsinki entend notamment "ouvrir au public" les réunions ministérielles en les diffusant sur l'internet, ce dont les 25 ont convenu en juin. "Cela ne signifie pas que nous renonçons à toute confidentialité des travaux du Conseil européen. Tout ne sera pas public", a rappelé Matti Vanhanen.Un an après le rejet du projet de Traité constitutionnel par la France et les Pays-Bas, la présidence finlandaise va entamer des consultations auprès de ses partenaires européens pour connaître leurs positions sur la poursuite du processus de réforme institutionnelle de l'UE.RECHERCHE DU CONSENSUS Les 25 se sont donné un peu plus de deux ans pour réformer leurs institutions et adopter un texte constitutionnel sous une forme ou une autre. La présidence française, au second semestre 2008, sera chargée de finaliser ce processus. "Nous n'avons pas la possibilité d'arriver à de nouvelles conclusions avant les élections néerlandaises et françaises", a néanmoins déclaré M. Vanhanen.Des élections législatives devraient se dérouler à l'automne aux Pays-Bas après la chute inattendue jeudi du gouvernement de Jan Peter Balkenende. La France votera au printemps 2007 pour élire son président.Concernant l'élargissement futur de l'Union, outre les négociations avec la Turquie, la Roumanie, la Bulgarie et d'autres pays balkaniques, Helsinki cherchera à obtenir un consensus au sommet européen de décembre sur la notion de "capacité d'absorption" de l'UE. La Finlande présidera quelque 3 300 réunions d'ici au 31 décembre.Le pays nordique (5,2 millions d'habitants) a adhéré à l'UE en 1995, en même temps que la Suède et l'Autriche. Elle a assumé sa première présidence au second semestre 1999.L'Allemagne lui succèdera le 1er janvier, puis ce sera au tour du Portugal, de la Slovénie et de la France.
Avec AFP
LE MONDE. 01.06/2006
Avec AFP
LE MONDE. 01.06/2006