vendredi, mars 09, 2007

* De Gauche et Sarkozyste...!

*** En mai 2006, une association baptisée « La Diagonale » (contact@ladiagonale.org) est née pour rassembler les déçus de la gauche prêts à s'engager pour Nicolas Sarkozy.

Ce club réunit aujourd'hui des milliers de partisans répartis dans toute la France.

Ce mouvement est le signe visible que notre candidat a cessé, comme il le souhaitait, d'être l'homme d'un seul parti en se tournant vers tous les Français.

Sans se renier, Nicolas Sarkozy est aujourd'hui le seul candidat qui rassemble bien au-delà de sa seule famille politique.

On peut ainsi être de gauche et sarkozyste. La position des membres de « La Diagonale » est résumée dans une charte dont voici quelques extraits :

« Ayant appartenu ou appartenant encore à diverses sensibilités de la gauche française qui aspiraient à « changer la vie » nous avons longtemps voté et parfois même travaillé pour des gouvernements ou élus socialistes.
Force est de constater que la Gauche tout entière a de moins en moins tenu ses promesses. A notre plus grand regret les partis de gauche sont même devenus les conservateurs du musée des acquis sociaux, trouvant davantage leur identité dans la contestation que dans les convictions...
Le changement et le progrès ont désormais changé de camp...
Nous pensons qu'aujourd'hui, en dépit de son appartenance à une droite décomplexée, Nicolas Sarkozy est le seul homme à se positionner sur la rupture et à vouloir moderniser notre pays. »

Depuis plusieurs semaines de nombreuses personnalités de gauche comme Roger Hanin, Enrico Macias, Pascal Sevran pour ne citer que les plus médiatiques ont pris position à leur tour.

Le 29 janvier 2007, c'est le philosophe André Glucksmann qui publiait dans le journal Le Monde un article intitulé « Pourquoi je choisis Nicolas Sarkozy ».

Son propos résume, à lui seul, toutes les raisons pour lesquelles les déçus de la gauche s'engagent : « J'ai un temps rêvé d'une candidature de Bernard Kouchner, restituant à la gauche française une dimension internationale perdue. [...] En prenant position pour Nicolas Sarkozy, je vais perdre mes amis. Ma décision, faite de douleurs anciennes et de perspectives nouvelles, est réfléchie. »

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