THINK TANK UNIONEUROPEENNE EUROPÄISCHEUNION EUROPEANUNION UNIONEUROPEA *EUROPIONEERS By MorganeBRAVO
EUROPIONNERS, 2006 EU HUB!*Pour que l'Europe, en tant qu’acteur mondial, ne soit pas lointaine des européens. *Devise:"In varietate concordia"(latin: Unie dans la diversité).*Unie dans la diversité: l'Union Européenne (UE) se compose de 27 pays européens qui partagent les mêmes valeurs démocratiques et se sont engagés à travailler ensemble pour la paix et la prospérité. Il ne s'agit pas d'un Etat destiné à se substituer aux Etats existants. En fait, c'est une organisation unique en son genre!
dimanche, avril 29, 2007
*François Bayrou, mauvais perdant...*
*** Le débat Royal-Bayrou est un coup médiatique monté par le président de l’UDF pour continuer à garder les projecteurs braqués sur lui.
* Les réactions :
Le débat Royal-Bayrou est un « un coup médiatique monté » par le président de l’UDF « pour continuer à garder les projecteurs braqués sur lui alors qu'il n'est pas au second tour » a déclaré François Fillon sur RMC et BFM TV. François Bayrou « ment lorsqu'il dit que Nicolas Sarkozy a exercé des pressions » pour empêcher la tenue de ce débat. « Il faut que François Bayrou se retire, attende et laisse les deux finalistes s'exprimer ».
Dans une déclaration à l’AFP, Jean-François Copé s’est dit « scandalisé par les allégations ignobles et indignes d'un responsable politique qui se veut démocratique et respectueux du choix des Français ». Selon le porte-parole du gouvernement, « il est grand temps de dénoncer cette imposture du discours pseudo-centriste de M. Bayrou qui n'est qu'une charge en règle contre Nicolas Sarkozy ». Et de souligner « qu’un nombre très important de ses amis ne le suivent pas sur cette voie d'injure et de diffamation ».
« Refusant le choix effectué par les Français le 22 avril, M. Bayrou s'enfonce, chaque jour un peu plus, dans une aventure personnelle et narcissique, multipliant accusations grotesques et dénonciations mensongères, alors que la majorité des députés de l'UDF a déjà appelé à voter Nicolas Sarkozy » a estimé Bernard Accoyer dans un communiqué. Pour le président du groupe UMP à l’Assemblée nationale, François Bayrou confond « débat politique, boulimie médiatique et dénonciation permanente »
François Bayrou « ne parle pas de la France, il veut parler de lui. Il ne parle pas des préoccupations quotidiennes des Français, il veut parler manoeuvres et petits arrangements d'appareil, en créant son sixième parti politique en 30 ans ». François Bayrou « ne parle pas de la construction européenne ou de l'action de la France dans le monde, il préfère ressasser sa déception et son amertume de ne pas être qualifié pour le second tour ».
Sur RTL, Simone Veil a accusé le candidat de l’UDF de vouloir enfreindre les règles du CSA. « Si M. Bayrou veut enfreindre les règles, il en assumera la responsabilité. Ce ne sera pas la première fois. Je l'ai toujours vu enfreindre les règles. Il croit tellement à son destin qu'il pense que tout est permis ». « Il est extraordinaire que François Bayrou dise « je n'ai pas de preuve, mais j'en ai la certitude ». Il n'a pas besoin de preuve pour être d'une grossièreté et d'une violence extraordinaires » a-t-elle affirmé. Et de pointer la haine du candidat UDF et sa « volonté de diaboliser » le candidat de l’UMP.
Philippe Douste-Blazy a qualifié sur Europe 1 de « ridicules » les accusations de François Bayrou qui « perd ses nerfs ». « Je vois que Nicolas Sarkozy rassemble, je vois que Ségolène Royal marchande et je vois que François Bayrou pleurniche » a ironisé le ministre des Affaires étrangères.
Dans un communiqué en date du 26 avril, la chaîne Canal+ a annoncé qu’elle ne serait pas en mesure de produire le débat entre Ségolène Royal et François Bayrou en raison des règles d'égalité édictées par le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) qui imposent une stricte égalité du temps de parole entre les candidats à l'élection présidentielle. De son côté, le président du Syndicat de la presse quotidienne régionale Michel Comboul, a démenti formellement et jugé inacceptables les allégations de Ségolène Royal accusant la presse régionale d'avoir subi des « pressions » pour ne pas organiser un débat Royal-Bayrou.
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