THINK TANK UNIONEUROPEENNE EUROPÄISCHEUNION EUROPEANUNION UNIONEUROPEA *EUROPIONEERS By MorganeBRAVO
EUROPIONNERS, 2006 EU HUB!*Pour que l'Europe, en tant qu’acteur mondial, ne soit pas lointaine des européens. *Devise:"In varietate concordia"(latin: Unie dans la diversité).*Unie dans la diversité: l'Union Européenne (UE) se compose de 27 pays européens qui partagent les mêmes valeurs démocratiques et se sont engagés à travailler ensemble pour la paix et la prospérité. Il ne s'agit pas d'un Etat destiné à se substituer aux Etats existants. En fait, c'est une organisation unique en son genre!
samedi, juin 21, 2008
***Le sommet européen de Bruxelles***
***Le regard des Européens est tourné vers Bruxelles : les chefs d'Etat et de gouvernement y débattent actuellement du non irlandais au traité de Lisbonne et de l'avenir de l'Union. Qu'attend la presse des instances dirigeantes européennes ?
La Repubblica - Italie
Le quotidien italien La Repubblica revient sur l'apparition du président du Conseil italien Silvio Berlusconi et de la chancelière allemande Angela Merkel au sommet européen de Bruxelles : "Comme si l'Europe n'avait pas suffisamment de problèmes actuellement avec le non irlandais, elle doit maintenant s'expliquer en plus avec Silvio Berlusconi. … Un mauvais début pour le grand retour de Berlusconi à Bruxelles – dans une Europe qui, selon lui, a perdu en caractère et a fait régressé au cours de ces deux années d'absence. … Mme Merkel s'impose toujours plus comme la force dirigeante de l'UE. La chancelière s'est longuement entretenue, à deux reprises, avec les deux maillons faibles de l'Europe, le Premier ministre irlandais Brian Cowen et le Tchèque Topolánek. Angela Merkel a également défini les priorités : le traité de Lisbonne doit entrer en vigueur sans temps de réflexion, la ratification des sept pays restants doit être effectuée et l'Irlande devra s'être décidée d'ici octobre."
(20.06.2008)
Mlada fronta Dnes - République tchèque
La République tchèque à jusque-là joué le rôle attendu du candidat qui pourrait faire obstacle à l'entrée en vigueur du traité de Lisbonne, écrit le quotidien libéral Mlada fronta Dnes : "Ni Berlusconi, ni Sarkozy ou Merkel n'avaient hier autant d'importance que [le Premier ministre tchèque] Mirek Topolanek. Tandis que Britanniques et Polonais soutenaient que le traité de Lisbonne n'était pas mort, les Tchèques restaient silencieux. Topolanek ne s'est pas exprimé devant les journalistes avant le débat nocturne. Toute l'Europe connaît bien-sûr les déclarations du président Klaus selon lesquelles le traité de Lisbonne serait mort. La République tchèque s'isole ainsi progressivement au sein de l'EU." (20.06.2008)
Vecer - Slovénie
Le quotidien slovène Vecer commente les répercussions du non irlandais au traité de Lisbonne sur le sommet de l'UE à Bruxelles et sur la prochaine présidence française de l'Union européenne : "Le Premier ministre irlandais, Brian Cowen, est arrivé à Bruxelles en annonçant qu'il fallait accorder du temps aux Irlandais. … La chancelière allemande Angela Merkel … est également déterminée à défendre l'idée qu'il faut trouver une solution commune avec les Irlandais. … Mais [ces projets] ne conviennent pas, surtout, au président français Nicolas Sarkozy. ... Il voulait être, au titre de Chef d'état européen, sous les feux de la rampe avec d'importants projets internationaux pour pouvoir améliorer sa cote de popularité dans son propre pays en tant 'qu'homme d'Etat important'. Pourtant les Irlandais ont incontestablement rendu service au président du Conseil européen et [au Premier ministre slovène] Janez Janša car la présidence slovène de l'UE peut désormais se terminer sur un sommet important."
(20.06.2008)
Neue Zürcher Zeitung - Suisse
Le quotidien suisse Neue Zürcher Zeitung rappelle que le sommet de l'UE à Bruxelles devait en fait être consacré à la hausse des prix du pétrole et des produits alimentaires : "Pour ne pas donner l'impression que l'UE se retrouve à nouveau dans une situation de paralysie et de contemplation de soi, comme ce fut le cas après l'échec du traité constitutionnel en 2005, les chefs d'Etat et de gouvernement ont parallèlement abordé un thème assurément plus important aux yeux des citoyens européens que celui du traité de Lisbonne : les prix élevés des carburants et des produits alimentaires. … L'inaction, comme le redoutent certains, risquerait d'être interprétée comme de l'indifférence de la part des chefs d'Etat et de gouvernement face aux préoccupations des gens simples – un poison pour toute carrière politique ."
(20.06.2008)
Eurotopics
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