Premier ministre François FILLON
***Convention organisée par Frédéric LEFEBVRE, porte-parole et Secrétaire national de l’UMP à l’économie, le 17 décembre 2008 à la Maison de la Chimie à Paris :
"Crise financière et économique : le changement, résolument!"
En présence du Premier ministre François FILLON.
*A l’heure où la crise financière se transforme en crise économique en France, en Europe et dans le reste du monde, les Français attendent des réponses rapides et à la hauteur des enjeux.
La majorité est mobilisée autour de Nicolas SARKOZY et du gouvernement, pour défendre et expliquer les mesures sans précédent décidées depuis maintenant près de deux mois et demi, parce qu’elles sont celles dont l’économie française, ses salariés et ses entreprises ont besoin.
En faisant travailler ensemble experts, parlementaires, membres du gouvernement, tous convaincus de l’urgence à trouver des solutions, l’UMP entend aller plus loin en formulant des propositions concrètes pour un réel changement des règles du jeu en France et en Europe. Pour qu’une telle crise financière ne se reproduise pas. Pour que l’économie française rebondisse rapidement. Pour que l’Union européenne se dote enfin de la gouvernance et des outils lui permettant d’assurer à sa prospérité.
Programme :
L'Ouverture de la convention a eu lieu à 9h30 par Frédéric LEFEBVRE, porte-parole et secrétaire national de l’UMP à l’économie
Matinée (9h30 – 13h15) - Réponses à la crise : une majorité tournée vers les Français
Sont intervenus notamment Xavier BERTRAND, Eric BESSON, Jean-François COPE, Patrick DEVEDJIAN, Alain MINC, Robert ROCHEFORT, Eric WOERTH
Après-midi (14h30 – 16h45) - Pour une gouvernance économique européenne durable
Sont intervenus notamment Michel BARNIER, Jean-Paul FITOUSSI, Jean-Pierre RAFFARIN, Jean-Dominique GIULIANI, Christine LAGARDE, Alain LAMASSOURE,
Clôture de la convention à 16h45 par le Premier ministre François FILLON.
Frédéric LEFEBVRE, porte-parole et Secrétaire national de l’UMP à l’économie
Jean-François COPE
Jean-Pierre RAFFARIN
Jean-Paul FITOUSSI,
Jean-Dominique GIULIANI (Une présidence réussie PFUE http://www.robert-schuman.eu/doc/questions_europe/qe-121-fr_2.pdf)
Christine LAGARDE
Michel BARNIER
Xavier BERTRAND
Alain LAMASSOURE
Frédéric LEFEBVRE, porte-parole et Secrétaire national de l’UMP à l’économie
*Presse : Les Echos :
Convention économique : " L'UMP a voulu avant tout penser aux citoyens et aux salariés"
Le parti majoritaire a profité hier de sa convention économique pour réclamer que les organismes bancaires répercutent la baisse des taux de la BCE et a fait des propositions pour qu'ils soient « responsabilisés ».
Haro sur les banques.
A plusieurs reprises déjà, Nicolas Sarkozy avait tancé les organismes bancaires, sommés d'ouvrir les vannes du crédit en contrepartie des 360 milliards d'euros alloués par les pouvoirs publics. Conscient que se profile une période de turbulences sociales, l'UMP a affiché hier sa volonté d'aller « plus loin ». Au cours de la convention du parti consacrée à la crise, son secrétaire national à l'économie, Frédéric Lefebvre, s'est appliqué à mener la charge : « Nous attendons que les banques répercutent enfin les baisses considérables de taux dont elles bénéficient », a-t-il martelé, alors que la BCE a réduit de 175 points de base en deux mois - une première - son principal taux. « Certaines affichent encore des taux proches de 5 %. Ça suffit ! » a insisté le député des Hauts-de-Seine, proche du chef de l'Etat, faisant valoir que les compagnies pétrolières ont, elles, fini par prendre en compte la baisse des prix de l'or noir.
Un système « vertueux »
Particulièrement remonté contre les crédits revolving, l'UMP a mis les banques à l'index en matière de surendettement. La formation politique du président - et dont il reste le vrai patron - a souhaité que la responsabilité pèse sur « le dernier organisme prêteur » en cas de difficulté majeure, autrement dit qu'il assume seul la totalité des crédits qui ne peuvent être remboursés par une personne poussée à de nouveaux emprunts. « Ainsi chaque organisme aura peur d'être le dernier », a expliqué Frédéric Lefebvre, y voyant un système « vertueux » pour « responsabiliser » les banques. Ce dernier a aussi proposé, au nom de l'UMP, que les préfets, dans les départements, puissent « bloquer les opérations » contre les ménages en difficulté, par exemple « pendant un an », quand « les banques les ont laissés aller vers le surendettement ».
En mettant la pression sur les banques et en se posant comme le défenseur des ménages surendettés, la majorité a tenté de répondre aux critiques de ceux qui ont insinué, non sans succès dans l'opinion, qu'elle a privilégié les banquiers à l'homme de la rue. Et de faire de nouveaux appels du pied à l'électorat populaire, qui s'est éloigné de Nicolas Sarkozy depuis la présidentielle. Dans le dernier baromètre BVA pour « Les Echos », 71 % des employés et des ouvriers jugent la politique économique « mauvaise », soit 5 points de plus qu'en septembre. A défaut de pouvoir éviter la crise, l'UMP veut au moins montrer qu'elle est à la tâche pour l'atténuer. Tout plutôt que l'aveu de Lionel Jospin après l'annonce de plusieurs milliers de suppressions d'emplois chez Michelin, en 1999 : « L'Etat ne peut pas tout. » Un épisode cruel que, en l'absence de Xavier Bertrand (à Bruxelles pour la journée), Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire générale adjointe du parti, s'est chargée de rappeler...
18/12/2008
***Félicitations à Frédéric LEFEBVRE pour l'organisation...Convention très intéressante & utile! UN SUCCES***
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*Photos : Morgane BRAVO
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