***Le chef de la fraction socialiste au Parlement européen, Martin Schulz, a condamné l'actuelle présidence tchèque de l'UE, qu'il qualifie "d'échec complet".
Le journal économique de Prague Hospodářské noviny ne contredit pas Schultz : "La participation aux débats sur la crise semble être au-dessus des forces de la présidence tchèque. … Les Américains exigent de l'Europe plus d'argent (pour les programmes conjoncturels).
Mais l'Europe ne donne pas peu. L'expérimenté Premier ministre luxembourgeois, Jean-Claude Juncker, réclame un délai de 18 mois pour laisser agir les programmes qui viennent d'être mis en place.
Et les Tchèques ? Quels Tchèques ? Pour écrire un article sur les programmes conjoncturels dans le magazine allemand Spiegel avant le sommet du G20, Angela Merkel n'a pas choisi le Premier ministre tchèque comme co-auteur, mais bien celui des Pays-Bas, plus influent.
On attend au sommet de Bruxelles une lutte sur les projets énergétiques, une question sur laquelle ce sera chacun pour soi. Qu'en dit la présidence tchèque ? Elle ne participe même pas au débat. Schulz a bien raison."
Hospodářské noviny - République tchèque
Eurotopics
20.03.2009
*Article intégral (lien externe, tchèque):
http://hn.ihned.cz/2-35902910-500000_d-28
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