EUROPIONNERS, 2006 EU HUB!*Pour que l'Europe, en tant qu’acteur mondial, ne soit pas lointaine des européens.
*Devise:"In varietate concordia"(latin: Unie dans la diversité).*Unie dans la diversité: l'Union Européenne (UE) se compose de 27 pays européens qui partagent les mêmes valeurs démocratiques et se sont engagés à travailler ensemble pour la paix et la prospérité. Il ne s'agit pas d'un Etat destiné à se substituer aux Etats existants. En fait, c'est une organisation unique en son genre!
Sécurité des réseaux 5G: les États membres de l'UE achèvent leurs évaluations nationales des risques.
Conformément à la recommandation de la Commission concernant une approche commune en matière de sécurité des réseaux 5G, 24 États membres de l'UE ont à présent accompli la première étape du processus en soumettant leur évaluation nationale des risques. Ces évaluations seront le point de départ de la phase suivante, une évaluation des risques à l'échelle de l'UE, à réaliser d'ici au 1er octobre. Le commissaire pour l'union de la sécurité, Julian King, et la commissaire pour l'économie et la société numériques, Mariya Gabriel, ont salué cette étape importante et ont déclaré:
«Nous constatons avec satisfaction que la plupart des États membres ont à présent soumis leur évaluation des risques. Après que le Conseil européen a exprimé, le 22 mars, son soutien à une approche concertée, les États membres ont rapidement réagi à notre demande d'adopter des mesures concrètes contribuant à garantir la cybersécurité des réseaux 5G dans l'ensemble de l'UE. Les évaluations nationales des risques sont essentielles pour préparer correctement les États membres au déploiement de la connectivité sans fil de nouvelle génération, qui constituera bientôt l'épine dorsale de nos sociétés et de nos économies.
Nous demandons instamment aux États membres de ne pas fléchir dans leur engagement en faveur de l'approche concertée et de tirer profit de cette étape importante pour donner une impulsion au déploiement rapide et sûr des réseaux 5G. Une coopération étroite à l'échelle de l'UE est indispensable à la fois pour garantir une cybersécurité solide et pour exploiter pleinement les avantages offerts par la 5G aux citoyens et aux entreprises.
La réalisation des évaluations des risques témoigne de la détermination des États membres non seulement à établir des normes de sécurité élevées mais également à tirer le meilleur parti de cette technologie novatrice. Nous espérons que les résultats seront pris en compte dans le cadre du processus de mise aux enchères des fréquences allouées à la 5G et au déploiement des réseaux, qui se déroule dès à présent et se poursuivra dans les prochains mois dans toute l'UE. Si plusieurs États membres ont déjà pris des mesures pour renforcer les exigences applicables en matière de sécurité, d'autres envisagent d'instaurer de nouvelles mesures dans un avenir proche.
Il faut que tous les acteurs clés, quelle que soit leur taille, redoublent d'effort et se joignent à nous pour créer un cadre commun visant à garantir des niveaux de sécurité systématiquement élevés. Nous nous réjouissons de poursuivre notre étroite coopération avec les États membres à l'heure où nous entamons la réalisation d'une évaluation des risques à l'échelle de l'UE, qui doit s'achever au plus tard le 1er octobre et qui nous aidera àélaborer une approche européenne pour la protection de l'intégrité de la 5G.»
Les évaluations des risques au niveau national comprennent:
· les principales menaces et les principaux acteurs qui ont une incidence sur les réseaux 5G;
· le degré de sensibilité des composantes, fonctions et autres ressources d'un réseau 5G; et
· divers types de vulnérabilités, techniques et autres, telles que celles qui pourraient découler de la chaîne d'approvisionnement de la 5G.
De plus, un large éventail d'acteurs responsables dans les États membres ont été associés aux travaux d'évaluation des risques au niveau national, parmi lesquels les autorités chargées de la cybersécurité et des télécommunications et les services de sûreté et de renseignement, qui ont renforcé leur coopération et leur coordination.
Prochaines étapes
Sur la base des informations reçues, les États membres, en association avec la Commission et l'Agence de l'UE pour la cybersécurité (ENISA), réaliseront une évaluation des risques à l'échelle de l'UE d'ici au 1er octobre 2019. En parallèle, l'ENISA apporte sa pierre à l'édifice en analysant l'inventaire des menaces propres aux réseaux 5G.
D'ici au 31 décembre 2019, le groupe de coopération SRI, qui dirige les efforts de coopération de concert avec Commission, élaborera et adoptera une «boîte à outils» recensant les mesures à prendre pour atténuer les risques relevés dans les évaluations réalisées au niveau national et de l'UE.
Après la récente entrée en vigueur du règlement sur la cybersécurité, à la fin du mois de juin, la Commission et l'Agence de l'UE pour la cybersécurité établiront un cadre de certification à l'échelle de l'UE. Les États membres sont encouragés à coopérer avec la Commission et l'Agence de l'UE pour la cybersécurité afin de définir les priorités d'un régime de certification couvrant les réseaux et les équipements 5G.
D'ici au 1er octobre 2020, les États membres devraient évaluer, en coopération avec la Commission, les effets des mesures adoptées pour déterminer s'il est nécessaire d'en prendre de nouvelles. Cette évaluation devrait tenir compte de l'évaluation européenne coordonnée des risques.
Contexte
Les réseaux de cinquième génération (5G) sont appelés à devenir des infrastructures numériques essentielles, reliant des milliards d'objets et de systèmes, y compris dans des secteurs critiques comme l'énergie, les transports, les banques et la santé, ainsi que des systèmes de contrôle industriel qui véhiculent des informations sensibles et étayent des dispositifs de sécurité.
La Commission européenne a recommandé le 26 mars 2019 une série de mesures concrètes visant à évaluer les risques de cybersécurité qui pèsent sur les réseaux 5G et à renforcer la prévention, à la suite du soutien exprimé par les chefs d'État ou de gouvernement en faveur d'une approche concertée de la sécurité des réseaux 5G.
La Commission a demandé aux États membres de mener à bien des évaluations nationales des risques et d'établir un bilan des mesures nationales et les a invités à travailler ensemble au niveau de l'UE sur une évaluation coordonnée des risques et une «boîte à outils» commune de mesures d'atténuation.
Bruxelles, le 19 juillet 2019
@MorganeBravo
Former trainee (Blue Book) of the European Commission,
Welcome to the 20th edition of the OECD Forum. Welcome to the OECD Week. Welcome to a world in eMotion!
A world where digital technologies meet human sensitivity; where evidence meets intuition, where algorithms meet ethics and values. A world where artificial intelligence meets emotional intelligence, to become less artificial and more intelligent. Welcome to a world where hard sciences and humanism blend with one supreme purpose: the creation of a more inclusive, sustainable and dignifying progress. A world where policies meet emotions.
We are facing one of the most complex, challenging and contradictory periods in history. The global economy has entered a new slow-down. Trade tensions keep escalating. The middle classes are shrinking, while the share of wages keeps falling. Global carbon emissions are growing again, while biodiversity is declining at unprecedented rates. Inequalities keep growing. Public trust remains at record lows.
At the same time, digitalisation is powering major improvements in communication, sustainability and well-being. Artificial Intelligence (AI) is transforming developing countries. Political participation is rising in almost every region of the world. Civic action is blossoming. Teenagers are taking the lead in the fight against climate change. Public activism is rising.
Globalisation and digitalisation have brought a plethora of benefits and progress. They have integrated an ever-growing global population, boosted international trade, investment and migration, strengthened international co-operation and regional development, helping us lift millions of people from extreme poverty.
Globalisation and digitalisation have produced the Fourth Industrial Revolution, giving birth to a cascade of new technologies, innovations and improvements for human development: from the internet, smart phones and robotics, to computational biology, open data and e-government; from intelligent vaccines and drones that deliver blood to remote hospitals, to online education, smart energy grids, robot assisted surgery, blockchain; you name it!
It is exciting, it is inspiring, it is encouraging!
But all this progress also comes pregnant with challenges. As beneficial and irreversible as they are, globalisation and digitalisation are also producing some dangerous tectonic fault-lines in our societies:
• First, they are leaving many behind. The bottom half of the world population owns less than 1% of global wealth (while the richest decile owns 85% of that wealth). Half of the world’s population still does not have access to the Internet. The majority does not have access to the fastest broadband, which exacerbates inequalities. Wherever they live, women are 40% less likely than men to have ever used the Internet. Perhaps even more worrisome, most people do not have the necessary skills to thrive in the digital world.
• Second, they are also creating new risks and uncertainties. Technological progress and greater global integration along global supply chains is benefiting workers with high skills, but threatening many others with low or outdated skills. Over the next 15 to 20 years, 14% of jobs in the OECD will be at high risk of automation, while 32% of jobs could be radically disrupted and transformed. There are also risks of reinforcing existing biases when codifying for AI. As well as new risks on data privacy, the dark web, cyber-attacks, misinformation campaigns, and spreading hate, extremism and even terrorism through social media, as we saw in Christchurch.
• And third, they are breeding fear and anxiety. The 2019 Edelman Trust Barometer reported that 60% of multinational employees (in the 27 countries surveyed around the world) fear losing their jobs to automation. Only 49% of respondents believe that they and their families will be better off in five years’ time. And only 1 in 5 believes the system is working for them. These concerns are spilling over into politics, breeding divisive emotions, driving people apart, and fuelling dangerous policies.
We must correct these fault-lines. We must address these fears. We must build the necessary frameworks and incentives to ensure that globalisation and digitalisation become catalysts of inclusive and sustainable growth.
This is what we are trying to do at the OECD, with initiatives like our Framework for Policy Action on Inclusive Growth, our Going Digital Project, the How’s Life in the Digital Age report, our work on the Tax Challenges Arising from Digitalisation and the first set of intergovernmental principles on Artificial Intelligence that we will present in our Ministerial Council Meeting, which will focus on “Harnessing the Digital Transition for Sustainable Development”.
At the OECD we believe this change is possible. Because we know these are not uncontrollable forces. We know they are the result of theoretical frameworks, regulations and policies that we have created. Theoretical frameworks that can be fixed, regulations that can be changed, policies that can be improved. That’s what we are here for.
With your help, we want to advance in four parallel tracks, inspired by four major objectives:
1. To help countries build a new social contract, one based on inclusion, sustainability and well-being;
2. To help countries strengthen integrity and regain public trust, for there is no possible transformation without the support of the people;
3. To help countries empower people for the future of work, because economic success, productivity and human progress are determined by the quality of our skills;
4. To help countries strengthen international co-operation, making it more efficient, transparent and reliable. Global challenges can only be addressed globally by multilateral co-operation.
With these four targets in mind, over the next two days, we will be debating about artificial and emotional intelligence, skills for the future of work, social media and identities. We will be talking about women in STEM, the male disadvantage in education, longevity and smart investment. We will reflect on how to reinvigorate democracy and the role of journalism, people power versus populism, and how architecture brings us together. All this energised by our Discovery Labs, Meet the Author sessions and Interactive Workshops.
Dear Ministers, Ambassadors, Ladies and Gentlemen:
We need to understand the frustrations of our people, the anger behind populisms, the feeling of unfairness of the many left behind. To design a new set of policies, to create a new social contract, a better and fairer economic system, a more inclusive and sustainable digital era, it will be crucial to add emotions to the policy-making mix.
Any policy that does not appeal to human passion is a dead policy. Any reform that does not generate people’s engagement will make little difference. Any policy that does not connect with people’s dreams will never get the necessary traction to succeed.
It is time for evidence-based emotional policies. It is time to connect algorithms with human values, economists with psychologists, bankers with philosophers, energy ministers with children! Let’s remember the words of the 15 year old activist Greta Thunberg: “If solutions within the system are so impossible to find, then... we should change the system itself.” This is the voice of the future. Let’s listen to it! Let’s direct and harness the inevitable change, rather than be driven by it!
The world in eMotion needs your attention, your vision, your ambition, your sense of mission!
The world in eMotion needs your participation, your commitment!
The world in eMotion needs your emotion!
Have a great Forum!"
Speakers from the Forum discuss how to address the challenges we're facing in today's world.
The world is rapidly changing, from globalisation to digitalisation - what can we do to ensure that these changes create opportunities for us all and bring us together?
Prochaines étapes pour l’ #IA «Nous avons besoin de plus d'engagement de toutes les parties prenantes.Les gens parlent de l'IA comme s’il s’agissait juste de l’avenirmais la réalité est que l'IA est déjà là. » Le vice-ministre coréen Wonki Min.
"Over the last 2 days, we have seen a mix of emotions, hopes and fears. But above all, we've seen the desire of all actors to co-operate."
#OECDForum Director @pitres shares final insights at the event's closing session.
@MorganeBravo
Former trainee (Blue Book) of the European Commission,