THINK TANK UNIONEUROPEENNE EUROPÄISCHEUNION EUROPEANUNION UNIONEUROPEA *EUROPIONEERS By MorganeBRAVO
EUROPIONNERS, 2006 EU HUB!*Pour que l'Europe, en tant qu’acteur mondial, ne soit pas lointaine des européens. *Devise:"In varietate concordia"(latin: Unie dans la diversité).*Unie dans la diversité: l'Union Européenne (UE) se compose de 27 pays européens qui partagent les mêmes valeurs démocratiques et se sont engagés à travailler ensemble pour la paix et la prospérité. Il ne s'agit pas d'un Etat destiné à se substituer aux Etats existants. En fait, c'est une organisation unique en son genre!
lundi, novembre 12, 2007
***Sarkozy : le gouvernement «ira au bout» de la réforme***
***Pour le chef de l’Etat, «la France n’a pas le choix» et doit réformer les régimes spéciaux.
«Il y a 21 millions de salariés du privé qui en 1994 sont passés à 40 années de cotisation. Il y a cinq millions de fonctionnaires qui en 2003 sont passés à 40 années de cotisation. Il y a 500.000 agents des régimes spéciaux de retraite qui passeront aux 40 années de cotisation». Intervenant devant les Progressistes, le nouveau parti d’Eric Besson, vendredi soir, Nicolas Sarkozy a eu recours à l’arithmétique pour justifier sa fermeté sur la réforme de régimes spéciaux.
«C’est une affaire d’équité de justice et cette affaire-là nous devons la mener à terme», a martelé le chef de l’Etat, qui assure que le gouvernement «ira au bout» de la réforme de manière «ferme», mais «sans être rigide» pour autant. Il a par ailleurs appelé les syndicats à être «très responsables» et «très calmes», car «la France doit tourner le dos à la brutalité».
Le chef de l’Etat a également affirmé que «la porte du dialogue restera ouverte quoi qu’il arrive», mais prévenu une nouvelle fois qu’il ne céderait pas. «J’ai été élu sur un projet présidentiel, j’ai un travail à faire, j’ai des solutions à apporter aux problèmes de la France. Ces solutions, on les apporterai».
Nicolas Sarkozy a également vanté les mérites de l’ouverture qu’il a engagé depuis son élection et dont l’ex-socialiste Eric Besson est l’un des ministres emblématiques. «L’ouverture était une obligation pour moi, justement parce qu’arithmétiquement je n’en avais pas besoin», a expliqué le chef de l’Etat, demandant : «comment peut-on engager de grandes réformes sans avoir une grande majorité ?», avant d’ajouter que cette ouverture «doit continuer».
S.L.
Le figaro avec AFP
Ayissi/AFP Crédits photo : AFP
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