THINK TANK UNIONEUROPEENNE EUROPÄISCHEUNION EUROPEANUNION UNIONEUROPEA *EUROPIONEERS By MorganeBRAVO
EUROPIONNERS, 2006 EU HUB!*Pour que l'Europe, en tant qu’acteur mondial, ne soit pas lointaine des européens. *Devise:"In varietate concordia"(latin: Unie dans la diversité).*Unie dans la diversité: l'Union Européenne (UE) se compose de 27 pays européens qui partagent les mêmes valeurs démocratiques et se sont engagés à travailler ensemble pour la paix et la prospérité. Il ne s'agit pas d'un Etat destiné à se substituer aux Etats existants. En fait, c'est une organisation unique en son genre!
dimanche, février 01, 2009
*Europe : le chômage remonte l'euro recule...*
***L'inflation est tombéeau plus bas depuis dix ans, à 1,1 % en janvier :
La dégradation de la conjoncture dans la zone euro pèse sur la monnaie européenne, qui s'échangeait vendredi à 1,28 dollar pour un euro. Le billet vert n'a pas trop souffert de la première estimation du PIB américain au quatrième trimestre, moins mauvais que prévu. En revanche, l'euro pâtit du chiffre de l'inflation en janvier, tombé à 1,1 % sur un an, son plus bas niveau depuis dix ans. Moins spectaculaire qu'aux États-Unis, la remontée du chômage, à 8 % en décembre, n'en est pas moins certaine sur le Vieux Continent, y compris en Allemagne, où le marché de l'emploi n'a pas résisté longtemps à la baisse des exportations.
Course contre la montre
Entre l'Europe et les États-Unis, la course contre la montre s'est engagée. « Ce n'est plus la situation économique qui dirige le cours euro-dollar, résument les analystes de la Commerzbank, mais la question de savoir quelle zone économique est en meilleure posture pour sortir de la récession la première. » À cause de ses faiblesses structurelles, de la rigidité de son marché de l'emploi, la zone euro n'est pas la mieux placée pour rebondir lorsque la crise financière sera terminée. Les prévisions de croissance FMI sont éloquentes. Le PIB des États-Unis reculerait de 1,6 % en 2009, alors que l'économie de la zone euro devrait se contracter de 2 % cette année.
À six jours de la réunion de la Banque centrale européenne à Francfort, ces sombres prévisions plaident pour un nouvel assouplissement de la politique monétaire. Le mois dernier, Jean-Claude Trichet indiquait qu'il y aurait une « pause » dans la baisse des taux d'intérêt, aujourd'hui ramenés à 2 %. Il sera peut-être obligé d'agir plus tôt que prévu. D'après les économistes, la BCE baissera ses taux à 1 % d'ici à l'été.
A. B.
Le Figaro
30/01/2009
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