***Comment Lancer un Produit Avec Sa Communauté...: Loic LEMEUR***



*** BIENVENUE* WELCOME* BIENVENIDO* WILLKOMMEN* WELKOM* BENVENUTO* BOAS-VINDAS* WITAJ* VITAJTE..

Bien à vous,

Morgane BRAVO

*La Présidence lance un message sur l’importance et la valeur de la biodiversité...*


***Dans une initiative de communication, la Présidence a adressé, aujourd’hui, une lettre aux ministres européens de l’environnement (se2009.eu/biodiversity).

- Il est crucial, pour l’être humain, de préserver la biodiversité. C’est également un des plus grands défis auquel nous devons faire face. Nous portons la responsabilité, nous les hommes politiques engagés dans le domaine de l’environnement, de faire connaître l’importance et la valeur de la biodiversité, au sein de nos gouvernements, partis et systèmes politiques, mais également, et de façon plus large, auprès du monde des affaires, des acteurs locaux et d’un public plus large. Nous tenons à soutenir ce travail, déclare Andreas Carlgren.

La Présidence suédoise a, à cette fin, créé une plateforme sur Internet à l’adresse se2009.eu/biodiversity. L’objectif est de contribuer à donner un élan à la question de la biodiversité et des services écosystémiques au sein du débat politique. Cet engagement est un premier pas en vue de l’Année internationale de la biodiversité, qui se tiendra l’année prochaine, ainsi que de la CDP COP10.

La Présidence suédoise de l’UE a organisé, du 7 au 9 septembre, à Strömstad (Suède) la réunion de haut niveau « Visions sur la biodiversité après 2010 - humanité, services écosystémiques et crise climatique ». Cette réunion a marqué un pas important dans la voie ouverte par l’UE vers un nouvel accord des Nations Unies sur la biodiversité, accord auquel nous entendons parvenir dans le courant de l’automne 2010.

Sur le site se2009.eu/biodiversity, vous pouvez consulter, outre le rapport de la réunion de Strömstad, un matériau de présentation, un diaporama constituant à la fois source d’inspiration et de réflexion, ainsi que l'exposition ayant été présentée à cette occasion. Un autre objectif est de créer une banque de données répertoriant les bonnes pratiques dans les États-membres de l’UE. Le dernier parc national européen en date, Kosterhavet, inauguré le 9 septembre, est un exemple illustrant bien la manière dont les acteurs locaux, habitants et pêcheurs, se sont engagés dans les travaux de préservation et d'utilisation durable de la biodiversité.

- Il existe de nombreux exemples à travers l’Europe et le monde entier sur la manière dont biodiversité et développement local peuvent être menés de concert. Les bonnes pratiques ont un pouvoir de persuasion et sont porteuses de message, conclut Andreas Carlgren.

se2009.eu

mardi, septembre 29, 2009

*« Le plus important est de parvenir à un accord à Copenhague »*


***« La seule mesure la plus importante pour diminuer les rejets de CO2, est que tous les pays du monde se mettent d’accord sur une limitation contraignante des rejets lors de la conférence sur le changement climatique à Copenhague. » Ce sont les mots de Don Fullerton, Professeur de finance à l’Université de l’Illinois, l'un des orateurs invités au Conseil ministériel informel à Göteborg.
Jeudi et vendredi, les ministres européens des finances et les chefs des banques centrales vont se retrouver à Göteborg. Don Fullerton, spécialiste, notamment, des impôts et de l’économie de l’environnement, est invité à parler de politique rentable pour faire diminuer les rejets de gaz à effet de serre.
« Je pense que même les secteurs qui ne relève pas du système européen d’échange de quotas d’émission de gaz à effets de serre, pourraient se voir imposés sur leurs rejets à de gaz à effet de serre. C’est rentable puisque cela doit inciter les entreprises à diminuer leurs rejets de la manière la moins chère possible » explique Don Fullerton.
Le travail de Don fullerton est de trouver les méthodes les moins chères possibles pour faire diminuer les rejets. Plus une méthode est peu onéreuse, plus elle a de chance d'être acceptée par la société en général et d’être mise en place en tant que nouvelle réglementation.

Cela coûte moins cher d’agir maintenant
« Il n’est pas réaliste de croire que la diminution des rejets de gaz à effet de serre se fera gratuitement » ajoute Don Fullerton.
Mais le monde a tout à gagner de les faire diminuer maintenant puisque cela coûte moins cher d’agir maintenant que de devoir gérer les effets du réchauffement climatique si on ne fait rien. Plus on attend et plus les conséquences seront nombreuses, sous formes notamment de hausse du niveau des océans et de la diminution de la diversité biologique. Et le coût pour arrêter le réchauffement dans l’avenir sera encore plus élévé.

L’union fait la force.
Don Fullerton pense que les pays du monde doivent agir ensemble pour diminuer les rejets et pour se mettre d’accord à Copenhague.
« Un petit groupe de pays ne peut pas agir seul, les conséquences de la diminution d’un côté peuvent être entièrement effacées par une augmentation des gaz à effet de serre d’un autre côté. Lorsque les gouvernements seront parvenus à un accord à Copenhague et que tous les pays diminueront leurs rejets, il sera alors important pour chaque pays de définir un coût des rejets, soit par des systèmes d’échange d'émission, soit en imposant les gaz à effet de serre », termine Don Fullerton.

Les orateurs
Se joindront à Don Fullerton lors du Conseil ministériel de Göteborg, plusieurs autres économistes pour parler devant les ministres des finances et les chefs de banques centrales. Il y aura notamment, Lars Nyberg de la Banque centrale de Suède, qui parlera de la surveillance financière et de la gestion de crise, Jean Pisani-Ferry, chef du groupe de réflexion Bruegel à Bruxelles, Francesco Giavazzi, de l'Université de Bocconi et de MIT, qui s'exprimera sur les stratégies de sortie, et Stephen Nickell du Nuffield College, Université d’Oxford qui parlera de la politique de l'emploi.

se2009.eu

*Viviane Reding : "Vers un Internet libre de toute intervention politique"...*


***Vviane Reding est commissaire européenne, chargée de la société de l'information et des médias. Elle représente notamment l'Union européenne dans les négociations sur le contrôle de l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), la principale autorité de régulation de l'Internet, dont le contrat arrive à échéance le 30 septembre. Dans un entretien exclusif au Monde.fr, Mme Reding juge que "le contrôle du gouvernement américain sur l'Icann se termine".

L'accord entre l'Icann et le département du commerce américain (Joint Project Agreement ou JPA) arrive à échéance le 30 septembre. Quels éléments contient le nouveau document, qui doit être présenté au début du mois d'octobre ?

Si l'accord demeure le même que celui dont nous avons pris connaissance, le contrôle unilatéral des Américains sur l'Icann se termine. L'Icann devient indépendant par rapport au gouvernement. En mai, j'avais appelé à une sorte de "tribunal", une instance à laquelle on peut s'adresser, en cas de problème avec les décisions de l'Icann. Nous aurons à présent quatre review panels indépendants, c'est-à-dire quatre mini-tribunaux, un s'occupant de la concurrence, l'autre de la sécurité des réseaux, le troisième de la gestion des données par les détenteurs des noms de domaine (registrants) et un quatrième sur l'intérêt public. Ces quatres panels doivent vérifier si le principe du droit et de la gestion équitable sont respectés.

J'avais aussi demandé l'internationalisation et une approche multilatérale. C'est le cas : les personnalités qui vont être nommées dans ces quatre instances le seront par le Governmental Advisory Committee (GAC) [ndlr : composé de représentants des Etats et d'organisations internationales, rouage essentiel dans la nomination du bureau directeur de l'Icann], et par le directeur de l'Icann. Ceci suppose donc aussi une réforme du GAC, afin de rendre toutes ces mesures opérationnelles.

Comment analysez vous l'initiative américaine ?

Il s'agit d'une ouverture historique, qui vient après de longues années, où il ne se passait rien. Lorsque d'un côté l'Europe parle d'une seule voix et que de l'autre un nouvel état d'esprit anime les Américains, les choses commencent à marcher. Depuis le président Clinton, la Commission et l'Union européenne négocient avec les Américains pour mettre fin à ce contrôle unilatéral d'un gouvernement sur l'Icann. Pendant tout le mandat de George W. Bush, toutes ces négociations n'ont mené à rien et, lorsque le président Obama a obtenu sa victoire, j'ai lancé un message aux Américains. Il a été suivi par l'Union européenne à l'unanimité, par la voix de son conseil des ministres des télécommunications et de ses négociateurs, qui sont allés à Washington pour parler avec l'administration Obama. Ce mouvement historique laisse entrevoir un Internet libre de toute intervention politique, et des mesures qui permettent aussi à la société civile ou économique d'avoir un droit de regard.

En mai, vous appeliez à l'instauration d'un "G12 de la gouvernance de l'Internet", un groupe informel de représentants des gouvernements qui pourrait formuler des recommandations à l'intention de l'Icann. Cette idée a-t-elle été abandonnée ?

Ce que je voulais, c'est qu'il y ait une supervision multilatérale, et donc je considère que ces review panels indépendants vont dans cette direction. J'ai fait une proposition, on peut en faire une autre. Ce qui est important, c'est qu'il y ait une supervision. Il faut savoir qu'il n'y a pas seulement ceux qui pensent comme l'Union européenne et comme les Américains, il y a maintenant d'autres approches, comme celles de la Chine ou de la Russie. Nous voulons qu'il y ait dans le monde une grande majorité de nations qui s'engagent pour la liberté de l'Internet.

Il sera désormais très important de faire le pont entre le forum de la gouvernance de l'Internet (IGF), qui a été voulu par l'Union européenne lors du sommet de Tunis en 2005, et qui est ouvert à la société civile, et le GAC. La prochaine réunion de l'IGF, à Charm el-Cheikh (Egypte) en novembre, sera d'une grande importance pour créer des liens entre les deux institutions.

Le JPA ne prend pas en compte une fonction cruciale de l'Icann, la fonction dite IANA, qui porte sur la gestion du serveur racine, au cœur du fonctionnement d'Internet. Comptez-vous aborder cette problématique avec le gouvernement américain ?

Nous allons sûrement aborder ces questions, mais dans un second temps. Ce qui est très important, pour le moment, c'est que les choses évoluent dans le bon sens. Il y a finalement une ouverture, et nous sommes en train d'établir des bases pour que ce réseau mondial puisse rester indépendant et que la liberté de l'Internet soit garantie.

J'ai toujours demandé que l'on tienne compte de la manière dont Internet est organisé, de la réalité multiculturelle du monde. L'Internet ne peut pas être seulement anglais, il doit être aussi arabe, bulgare et grec, iranien, chinois… La prise en compte de toutes les communautés de l'Internet doit se faire.

Quelles sont les prochains rendez-vous de la gouvernance d'Internet ?

Le prochain pas est la mise en place du nouveau système. Si les annonces ont lieu le 1er ou le 2 octobre, il faudra à ce moment-là songer à leur mise en pratique. Le GAC va alors se réunir. Il y aura le sommet de Charm el-Cheikh, où l'on va écouter la société civile, et établir ce pont avec le GAC. Ce que l'on a souvent voulu obtenir les uns contre les autres, à Tunis notamment, est en train de devenir réalité.

par Laurent Checola
LE MONDE
29.09.09

***Conférence : "L'Europe de la Défense" à Paris...***


***La Fondation Robert Schuman, en coopération avec l'Institut Constantin Caramanlis pour la Démocratie (Grèce) et le Centre for European Studies (Bruxelles), a organisé le jeudi 24 septembre, à l'Ecole militaire (Paris), une conférence intitulée "Les nécessaires progrès de l'Europe de la défense", sous le haut patronage de M. Nicolas Sarkozy, président de la République française.

Trois tables rondes ont été organisées: "L'avenir de la PESD et des missions de maintien de la paix de l'UE", "Les relations OTAN-PESD" et "Le marché commun européen de l'armement".

Le ministre français de la Défense, Hervé Morin, a introduit cette conférence, à laquelle a également participé le Secrétaire d'Etat chargé des Affaires européennes, Pierre Lellouche.


















Pierre Lellouche, Secrétaire d'Etat chargé des Affaires européennes.


Jean Dominique Giuliani, Président de la Fondation Robert Schuman

*Conférence très intéressante & d'actualité!

Bien à vous,

Morgane BRAVO

*Photos : Morgane BRAVO

***Vers un système européen des moyens de paiement...***

***Après la monnaie unique, l'Europe souhaite mettre en place une Europe des moyens de paiement uniques : le SEPA. Le dispositif devrait être en place en France d'ici 2012. Prochaine étape pour les entreprises : le 1er novembre 2009, avec un nouveau cadre juridique pour les moyens de paiement en France.











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Source MEDEFtv

*Discours de Jean-François Copé, Député de Seine-et-Marne et Président du Groupe UMP...*

***Discours de Jean-François Copé, Député de Seine-et-Marne et Président du Groupe UMP, lors de la réunion militante organisée pour les Journées des Parlementaires au Touquet le 24 septembre 2009 (partie 2/2).

lundi, septembre 28, 2009

***Le gouvernement face au mur du déficit...***

***Il va être beaucoup question dans les jours prochains de l'ampleur du déficit public qui atteint 8,2 % du produit intérieur brut. Mercredi 30 septembre, le projet de loi de finances pour 2010 est présenté au conseil des ministres. Jeudi 1er octobre, les grandes lignes du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) seront rendues publiques, après la réunion de la commission des comptes de la "Sécu".

"Nous ne pourrons l'an prochain faire mieux que de stabiliser les déficits globaux (comptes publics et comptes sociaux)", a prévenu François Fillon dans un entretien au Journal du Dimanche.

"8,2 % de déficit public, c'est trop", s'est aussitôt inquiété l'ancien premier ministre, Jean-Pierre Raffarin (UMP), en appelant, sur Canal+, à une "mobilisation nationale contre les déficits".

Cette année, le déficit de l'Etat atteindra 140 milliards d'euros, a précisé M. Fillon. Il était attendu à 130 milliards d'euros. La récession, même moins forte que prévu (– 2,25 % au lieu de – 3 %), a amputé les rentrées fiscales, le plan de relance a alourdi les dépenses.

Le projet de budget pour 2010, bâti sur l'hypothèse d'une croissance à nouveau positive (+ 0,75 %), portera encore les stigmates de la crise. Fidèle à la ligne présidentielle, le gouvernement a choisi de ne pas compromettre le début de reprise par une politique rigoureuse.

Même ramené à 115 milliards – ce qui sera difficile –, le déficit de l'Etat restera élevé. Et celui de la Sécurité sociale continuera de se creuser de plusieurs milliards du fait du chômage. Il atteindra environ 30 milliards d'euros a précisé le ministre du budget, Eric Woerth, après 24 milliards d'euros en 2009.

Dans ce contexte tendu, le gouvernement affiche ses priorités : l'emploi – sauf dans la fonction publique (33 000 postes en moins) – et la compétitivité. Il le fait directement en prolongeant certaines mesures de 2009 (exonération de charges sociales pour les très petites entreprises qui embauchent, extension du contrat de transition professionnelle, etc) ou en finançant le plan jeunes.

Il le fait indirectement en baissant la fiscalité des entreprises, avec la réforme de la taxe professionnelle (TP) qui, selon M. Fillon, représente "0,7 point de PIB transféré au service de l'investissement et de l'emploi". Cette réforme coûtera 11 à 12 milliards d'euros à l'Etat en 2010.

Elle consiste à supprimer la taxation des investissements productifs, qui pénalisait l'industrie, et à la remplacer par une cotisation économique territoriale, assise sur le foncier et sur la valeur ajoutée. L'immense majorité des 2,9 millions de sociétés non financières en profitera.

MÉNAGES PERDANTS

Globalement, les entreprises sortiront gagnantes du projet de budget 2010, même si le patronat s'offusque à l'idée que les quelque 2 milliards prélevés sur elles au titre de la taxe carbone servent au financement de la réforme de la TP.

Les ménages seront nettement moins bien lotis. Les diverses mesures de soutien de 2009 –dont les baisses d'impôt ciblées sur les plus modestes – vont s'arrêter. La prime à la casse va tomber de 1 000 à 700 euros au 1erjanvier, puis 500 euros à compter du 1er juillet.

Le forfait hospitalier va passer de 16 à 18 euros, certains médicaments vont être moins bien remboursés, les plus-values mobilières vont supporter la CSG dès le premier euro. Et si le patron du groupe UMP de l'Assemblée, Jean-François Copé, dépose son amendement, les indemnités journalières versées aux accidentés du travail vont être fiscalisées.

Les promesses de baisse des prélèvements obligatoires n'ont pas résisté à la crise. La fiscalité des ménages devient aussi complexe qu'illisible. La taxe carbone, à côté de plusieurs mesures de verdissement de la fiscalité, l'illustre. Elle verra le jour en 2010 alors que Nicolas Sarkozy dit ne pas vouloir augmenter les impôts. Le gouvernement précise que la part prélevée sur les ménages leur sera intégralement restituée. mais cela n'empêchera pas certains foyers d'être perdants.

Claire Guélaud
Le Monde
29.09.09.

***CONSEIL NATIONAL DES BARREAUX : L'Assemblée Générale Extraordinaire à Paris...***




Michèle ALLIOT-MARIE, garde des Sceaux, Ministre de la justice


Bâtonnier Thierry WICKERS, Président du Conseil National des Barreaux


***L'Assemblée Générale Extraordinaire du 25 septembre 2009.

BREF APERCU :

L’assemblée plénière a abordé les actions et questions d’actualité de la profession, et accueilli Madame Michèle ALLIOT-MARIE, garde des Sceaux, Ministre de la justice, Hervé Novelli, Secrétaire d'Etat chargé du commerce, de l’artisanat, des PME et Maître Jean-Michel DARROIS, Président de la commission du même nom.

L’après-midi se sont déroulés 8 ateliers de formation animés par les présidents de commissions ...


Discours du Bâtonnier Thierry WICKERS, Président du Conseil National des Barreaux


Discours de Michèle ALLIOT-MARIE, ministre d’Etat, garde des Sceaux, ministre de la Justice et des libertés


Discours de Jean-Michel DARROIS, Président de la commission Darrois










Atelier "RPVA e-barreau"


Jean-Christophe GUERRINI, Président de la Commission Intranet et Nouvelles Technologies du Conseil National des Barreaux.


Atelier "Avocat et psychologie"

*Lien ci-dessous : Retrouvez le discour de Hervé NOVELLI.
Vous pourrez aussi accéder aux tables rondes "Campagne de communication" et "Acte d'avocat" ...

http://www.cnb.avocat.fr/L-Assemblee-Generale-Extraordinaire-du-25-septembre-2009-en-direct_a693.html

***De nombreux thèmes chers à la profession ont été abordés lors de cette journée! : Le rapport Darrois sur l'évolution des professions du droit...."l'Acte d'avocat"... !
Excellent Discours de Michèle ALLIOT-MARIE, garde des Sceaux, Ministre de la justice & du Bâtonnier Thierry WICKERS, Président du Conseil National des Barreaux...

NOUVEAU : Le "Réseau privé Virtuel des Avocats" : e-barreau!!!...Félicitations!

En effet, la JUSTICE...les AVOCATS du XXIème Siécle!***

Bien à vous,

Morgane BRAVO

*Photos : Morgane BRAVO

dimanche, septembre 27, 2009

* La surveillance maritime et les groupements tactiques à l’ordre du jour du Conseil ministériel...*


***Que se passe-t-il si un navire fait naufrage dans les eaux européennes ? Qui détient l’information ? Les ministres européens de la défense vont discuter en détail de la question de la surveillance maritime, à l’occasion du Conseil informel qui débute lundi. Les autres sujets figurant à l’ordre du jour sont l’évolution de la capacité de gestion de crise de l'Union, ainsi que l’action de lutte contre la piraterie menée en ce moment au large des côtes somaliennes.

La réunion, qui a lieu du 28 au 29 septembre, débute lundi par une discussion consacrée à la surveillance maritime intégrée. L'échange d’informations entre les autorités civiles et militaires est aujourd’hui insuffisant, lorsque l'on s'attend à ce que les pays européens interviennent en cas de catastrophes environnementales et contre la traite des êtres humains.

« Une meilleure connaissance de ce qui se passe sur nos mers contribue à la fois à un meilleur environnement et à améliorer la sécurité » explique le Ministre suédois de la défense, Sten Tolgfors, qui présidera le Conseil de Göteborg.

La journée de lundi débutera par la démonstration d'un système de coopération qui existe aujourd’hui entre les pays riverains de la mer Baltique. Les forces armées des pays concernés collaborent pour obtenir, notamment à l’aide de radars, une meilleure image de ce qui se passe en mer.

Deux forces de réaction rapide prêtes à intervenir
Au cours du premier jour de réunion, les ministres discuteront par ailleurs des groupements tactiques, l'un des outils de l'UE pour la gestion de crise. L’Union dispose constamment de deux forces de réaction rapide prêtes à intervenir en cas de crise.

« Elles n’ont jusqu’à présent jamais été sollicitées. Cependant certaines situations auraient pu justifier que l’on y ait recours. Nous allons œuvrer pendant la Présidence pour parvenir à une opinion commune à propos des situations qui requièrent le recours aux groupements tactiques de l’UE. C’est pourquoi nous voulons engager une discussion politique à Göteborg », indique Sten Tolgfors.

Le golfe d’Aden au centre des discussions
Les actions européennes en Bosnie-Herzégovine et dans le golfe d’Aden au large des côtes somaliennes seront discutées lors du second jour. La présence militaire européenne au large des côtes somaliennes est censée faire reculer la piraterie dans la région. L’opération vient tout juste d’être prolongée jusqu’à la fin de l’année prochaine.

Outre les ministres européens, Javier Solana, le Haut-représentant de l’UE pour la politique extérieure et de sécurité commune, ainsi que des représentants de la Commission européenne et de l’OTAN seront présents. La Princesse héritière Victoria participera également à la réunion. Le Conseil des ministres de la défense sera le second conseil à être organisé à Göteborg en un court laps de temps. Un peu plus tôt dans la semaine, les ministres de l’éducation s’y sont réunis, et le 1er octobre, débutera le Conseil informel des ministres des finances. Organiser plusieurs réunions ministérielles successivement permet à la fois de réaliser des économies budgétaires et de respecter l’environnement.

se2009.eu

*A quoi sert le G20 ?*


En orange, les pays membres du G20. Les pays européens en bleu sont représentés par l'Union européenne, et non individuellement.

***Les dirigeants des 20 premières économies de la planète se réunissent deux jours à Pittsburgh (Etats-Unis) pour mettre en œuvre les engagements prononcés en avril, notamment en matière de régulation du système financier.

Les origines du G20. Ce forum créé en 1999 rassemble les pays les plus riches de la planète (Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, France, Japon…) ainsi qu'un ensemble de pays émergents (Russie, Chine, Inde, Argentine, Indonésie...). Il vise à réunir leurs dirigeants pour que ces derniers puissent discuter et échanger leurs points de vue sur la régulation de l'économie mondiale en vue améliorer son fonctionnement. Les pays membres du G20 représentent environ 90% du produit national brut mondial, 80% du commerce mondial (y compris les échanges intra-communautaires), ainsi que les deux tiers de la population mondiale. Cela lui confère une légitimé et une influence certaine sur la gestion de l'économie et du système financier mondial.

Quels sont ses objectifs ? Le G20 de Pittsburgh, qui se déroulera de jeudi à vendredi, traitera de nombreux sujets. Les pays membres vont avant tout mesurer les progrès accomplis dans la lutte contre la crise depuis leur réunion d'avril à Londres. Mais alors que la fin de la récession se précise, ils devront aussi essayer d'adopter une stratégie commune de sortie de crise. Car entre plans de relance et stratégies de sortie, chaque pays voit midi à sa porte. L'Allemagne, qui réclame la fin des programmes de relance, est en conflit avec les Etats-Unis et la Grande-Bretagne sur ce point, dont les économies sont toujours dans le «rouge». Tout l'enjeu sera donc d'adopter une position qui remporte le consensus général. Autre défi plus général: la moralisation du capitalisme. Mais là encore, la tache est ardue: qu'il s'agisse des bonus, de l'harmonisation des normes comptables ou des sanctions contre les paradis fiscaux, le consensus est loin d'être établi. Enfin, les membres du G20 discuteront également du réchauffement climatique et des aides financières destinées à le limiter.

Ce qui a changé depuis le G20 de Londres. En avril dernier, le G20 de Londres a jeté les grandes bases d'un nouveau système financier: une liste noire des pays qui font office de paradis fiscaux, un rôle accru ainsi que plus de moyens pour le fonds monétaire international (FMI), le renforcement du contrôle des fonds spéculatifs. La reconnaissance du rôle des pays émergents dans la croissance mondiale a également évolué, puisque d'ici 2011, le poids des états émergents sera accru dans les instances internationales de régulation, notamment le FMI. A Pittsburgh, certains de ces dossiers vont revenir sur le devant de la scène, notamment sur la réforme des institutions financières internationales et la limitation des rémunérations des banquiers. Mais selon les propres termes d'un diplomate français, «le problème du G20 est que chacun vient avec un ordre du jour différent».

Que veut la France ? Très chère à Nicolas Sarkozy, la question des bonus, qui alimente la colère de l'opinion publique, sera un des enjeux de Pittsburgh. Sous l'impulsion du président français ainsi que de la Chancelière allemande Angela Merkel, les pays européens sont d'accord sur des principes d'étalement des bonus ou de non-versement en cas de mauvaise performance. Les Etats-Unis de Barack Obama sont en revanche opposés à cette idée, soucieux de préserver les intérêts de leur puissante communauté financière. «On discute, cela se bagarre (...) mais il faut qu'on trouve un accord», a averti Nicolas Sarkozy dans un entretien accordé à TF1 et France 2 mercredi à la veille du sommet. Le président français avait cependant averti qu'il restait «souple» sur les modalités d'une limitation, semblant ouvrir la voie à un consensus. Ainsi, face à la résistance des Américains, l'UE tentera au moins de peser en faveur d'un étalement du paiement des bonus dans le temps. Les pays membres devront dans tous les cas faire preuve d'une volonté et d'un vrai courage politique pour s'entendre sur un sujet qui scandalise l'opinion mondiale.

Liste des pays membres du G20: Argentine, Australie, Brésil, Canada, Chine, France, Allemagne, Inde, Indonésie, Italie, Japon, Mexique, Russie, Arabie Saoudite, Afrique du Sud, Corée du sud, Turquie, Royaume-Uni, Etats-Unis, Union-Européenne.

Alexandre Panizzo
Le Figaro
25/09/200

*Les leaders mondiaux unanimes: les bonus doivent être supprimés...*


***Lorsque la réunion des dirigeants des 20 plus importantes économies mondiales s’est achevée vendredi soir, il apparaissait clairement qu’une réponse globale avait été trouvée à la question sensible des niveaux de compensations et de plafonnement des bonus. Les discussions concernant les moyens de combattre la menace climatique sont en revanche restées en suspens, à seulement 73 jours de la conférence des Nations Unies sur le changement climatique à Copenhague.

La principale question à l’ordre du jour du sommet du G20 était la façon dont les leaders mondiaux allaient faire face à la crise économique et financière. En vue du sommet de Pittsburgh, l’UE a œuvré activement pour une transparence accrue et des réglementations des marchés financiers plus efficaces. Cela a eu des échos favorables, étant donné que le G20 s'est mis d'accord sur des exigences de capital et une réglementation des bonus plus strictes. Les dirigeants se sont également mis d’accord sur la coordination et la mise en place de stratégies de sortie, c'est-à-dire sur la façon de coordonner la disparition progressive des actions d’encouragement sans engendrer de nouveaux problèmes économiques. Cela est d’une grande signification étant donné que les dirigeants qui étaient assis autour de la table de négociation représentent 85 pour cent de l’économie mondiale.

« Nous nous félicitons d’avoir réussi à rassembler les plus importantes économies mondiales autour de ces questions cruciales, a déclaré le Premier ministre Fredrik Reinfeldt lors de la conférence de presse qui a conclu la réunion.

Le Ministre des finances, Anders Borg, a souligné par ailleurs, malgré la position coordonnée du G20, les attentes doit rester réalistes.

« Ceci n’est pas la dernière crise financière à laquelle le monde sera confrontée. Et même si nous sommes mis d’accord sur la réglementation des bonus, nous ne réussirons jamais à faire disparaître la cupidité à coup de réglementations. Cela fait intégralement partie de la nature humaine. Cependant, après les déclarations fermes du G20 et des grandes institutions financières de par le monde, il sera vraiment mal venu et provocant de la part des banques de reproduire le même comportement qu’auparavant, celui même qui a engendré la crise dans laquelle nous nous trouvons actuellement », a ajouté Anders Borg.

La question du climat n’a pas progressé de la même manière. Fredrik Reinfeldt, appuyé par le Président de la Commission européenne José Manuel Barroso ainsi que par d’autres dirigeants européens, ont fortement insisté sur la nécessité de parvenir à un accord international à Copenhague. Il s’agit maintenant de poursuivre les discussions concernant la question climatique et le Président américain Barack Obama a, à ce sujet, mentionné l’idée d'une réunion supplémentaire avant la Conférence internationale des Nations Unies sur le changement climatique qui aura lieu en décembre à Copenhague.

se2009.eu

samedi, septembre 26, 2009

** *M. Obama a été mis au courant, à peine élu...***

***Sl s'agissait de frapper les esprits, la méthode a réussi. Au G20 l'annonce de la mise en demeure des présidents américain et français, Barack Obama et Nicolas Sarkozy, et du premier ministre britannique Gordon Brown, à l'Iran, a pris tout le monde de court. "Je ne veux pas préjuger de la suite mais, de toute évidence, il s'agit d'une révélation incroyablement importante que le monde a besoin de digérer", a dit la secrétaire d'Etat américaine, Mme Clinton.

Cette photographie de la France face au réchauffement nuance l'idée selon laquelle les pays tempérés peuvent se sentir relativement à l'abri. Certes, les enjeux ne sont pas comparables à ceux auxquels certains pays en développement seront confrontés, mais l'étude montre que la France aussi, devra faire un important effort d'adaptation si elle veut limiter les effets négatifs du réchauffement.

L'exercice de prospective de l'Onerc prend pour hypothèse que l'élévation des températures atteindra entre 3 °C et 4 °C à la fin du siècle. La répétition des événements climatiques extrêmes (canicules, tempêtes, inondations) ressort comme le risque majeur pour plusieurs secteurs comme l'agriculture, la forêt, ou la production d'énergie. Sans être encore en mesure de les quantifier avec précision, les auteurs mettent aussi en avant "l'existence de seuils au-delà desquels les impacts du changement climatique auront des conséquences graves voire irréversibles".

Toutes les régions - ce n'est pas surprenant - ne seront pas logées à la même enseigne, mais il faudra aussi gérer l'inégalité des individus face au bouleversement climatique. "Les plus défavorisés seront probablement les plus affectés et le plus rapidement (...) les inégalités pourraient alors se creuser", avertissent les auteurs. Le travail, destiné à éclairer les décideurs publics et privés, balaie tous les grands domaines sur lesquels le réchauffement aura le plus de prise.

Eau. A demande constante, la France pourrait connaître un déficit de 2 milliards de m3 par an pour satisfaire les besoins de l'industrie, de l'agriculture et de l'alimentation en eau potable à l'horizon 2050. Cela représente 13 % des besoins actuels. Les zones les plus touchées seraient les zones déjà concernées aujourd'hui par des déficits structurels comme le Sud-Ouest.

Agriculture. La hausse des températures serait globalement une bonne nouvelle si elle ne s'accompagnait pas d'une multiplication de pics climatiques et de tempêtes, de sécheresses et d'une grande variabilité d'une année sur l'autre. En prenant l'exemple du blé, l'étude arrive à la conclusion que la récurrence de canicules comparables à celle de 2003, "pourrait, en l'absence de mesures d'adaptation, représenter un coût annuel de plus de 300 millions d'euros" à l'horizon de la fin du siècle.

Il y aura également des gagnants et des perdants dans la viticulture. Avec des rendements en hausse pour les producteurs de Bourgogne, par exemple, mais en baisse pour ceux du Languedoc. En revanche, la qualité des vins pourrait partout souffrir.

Forêt. Bonne nouvelle, la hausse des températures va favoriser la pousse des arbres. Mauvaise nouvelle, les risques de sécheresse et d'incendie pourraient annuler ces gains. A partir de 2050, les experts estiment que les effets négatifs seront prépondérants notamment dans le sud de la France.

Risques naturels. Le rapport reste prudent sur certains risques, comme les inondations, admettant ne pas disposer de données suffisantes. En revanche, il estime qu'en l'absence de politiques d'adaptation, le recul de la côte liée à l'érosion ou à la montée des eaux, "devrait concerner plusieurs centaines de milliers de personnes et la destruction de logements pourrait coûter plusieurs dizaines de milliards d'euros à l'échelle du siècle pour la seule région Languedoc-Roussillon".

Tourisme. Presque toutes les régions vont devoir adapter leur offre, soit parce que les fortes chaleurs feront fuir les touristes en été, soit parce que la neige aura déserté les sommets en hiver dans les régions de montagne. Dans les Alpes, 143 stations bénéficient d'un enneigement fiable aujourd'hui, une hausse moyenne des températures de 2 °C ferait chuter ce nombre à 96 stations.

Sur d'autres domaines, comme la santé ou la biodiversité, le rapport souligne la difficulté de parvenir à des évaluations chiffrées mais dans l'un et l'autre cas, il note que les effets du changement climatique sont déjà observables.

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/09/26/site-nucleaire-iranien-obama-a-ete-mis-au-courant-des-son-election_1245480_3218.html#xtor=EPR-32280229-

Laurence Caramel
Le Monde
27.09.09.

vendredi, septembre 25, 2009

*Un ordre du jour particulièrement chargé pour les leaders du G20...*


***Les leaders politiques des 19 pays et de l’UE, qui tous ensemble représentent 85 pour cent de l’économie mondiale, sont sur place à Pittsburg en Pennsylvanie pour le sommet du G20 de cet automne. Le Président des Etats-Unis, Barack Obama, est l’hôte du sommet et le Premier ministre, Fredrik Reinfeldt, le Ministre des finances, Anders Borg, et le Président de la Commission européenne, José Manuel Barroso y représentent l’UE.
La réunion a débuté hier autour d’un dîner de travail. Aujourd’hui, tout le monde se retrouve autour de la table des négociations; il y a de nombreux sujets à l'ordre du jour. Le premier d’entre eux est la crise économique et financière. José Manuel Barroso, à l’occasion d’un point de presse, a fait un résumé de la situation.

« Cette crise est bien plus qu’une crise économique et financière. Elle concerne aussi notre manière de vivre dans la société actuelle et les valeurs communes que nous devrions respecter. Nous devons tirer des leçons de la crise, et mettre au point une réglementation mondiale qui reflète vraiment la réalité actuelle, c'est à dire notre dépendance les uns des autres.

De risque des banques
À la question sur les mesures que l'UE souhaite prendre pour diminuer le haut niveau de prise de risque des banques, Reinfeldt et Barroso ont répondu qu'il ne s'agit pas de mettre au point une réglementation pour le plaisir de faire une réglementation, mais parce que le marché a évolué de telle façon qu'il est nécessaire d'avoir des règles plus claires.

« Je dirige un gouvernement qui croit en l'économie de marché, et je ne remets pas en compte les entreprises contrôlées par un État. Mais nous voyons un nouveau développement que nous devons gérer étant donné qu’il s’attaque durement à nos sociétés. Quand la prise de risque des entreprises entraîne une augmentation du chômage et que le rôle des contribuables est de couvrir les pertes des banques, il est alors temps pour nous, les politiciens, d’agir et de montrer clairement que nous ne pouvons pas accepter cela. C’est pourquoi nous avons besoin d’une réglementation claire contre ce genre de prise de risque dans le secteur financier, notamment en ce qui concerne la question des bonus et des hauts niveaux d’indemnisation » a expliqué Fredrik Reinfeldt.

D'autres sujets à l'ordre du jour du sommet du G20 sont les questions de libre-échange et le cycle de Doha que l'on espère remettre de nouveau en bonne voie après une longue période de stagnation dans les négociations. Le financement climatique est un autre sujet brûlant à l’ordre du jour. Reinfeldt et Barroso sont tous deux inquiets quant aux négociations climatiques internationales en vue de la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique à Copenhague en décembre, qui vont trop lentement et qui semblent être au point mort. Les leaders européens ont insisté sur le fait qu'il ne reste que trois mois, et qu'il est nécessaire d'avancer plus avant dans les discussions sur les changements à faire pour pouvoir financer les mesures contre la menace climatique.

Mais ce sujet va également être abordé par le G20 à Pittsburgh. Fredrik Reinfeldt pense que la présence des pays affectés par les décisions du G20, est une évidence, et que ceux-ci devraient participer dans ces prises de décisions, alors que José Manuel Barroso a insisté sur fait que le G20 doit être le forum de coopération économique mondiale le plus important.

Pour en savoir plus sur les points de vue de l’UE et les espoirs en vue duG20, lisez l'entretien du Premier ministre, Fredrik Reinfeldt en cliquant sur le lien à droite.

se2009.eu

*Changement climatique: la réunion de Bangkok doit permettre de progresser sérieusement sur la voie d'un accord mondial ambitieux...*


***Aujourd'hui, la présidence suédoise de l'Union européenne et la Commission européenne ont vivement encouragé les négociateurs internationaux à progresser de manière décisive sur la voie d'un accord mondial ambitieux en ce qui concerne le changement climatique, à l'approche des discussions sur le climat qui débuteront à Bangkok le 28 septembre. La réunion de Bangkok est l'avant-dernière réunion préparatoire avant la conférence des Nations unies sur le climat qui se tiendra à Copenhague en décembre et qui devrait déboucher sur un accord mondial.

Stavros Dimas, membre de la Commission chargé de l’environnement, a déclaré à ce propos: «L'Union européenne s'est fixé un programme complet dans la perspective de l'accord mondial ambitieux et nécessaire pour éviter de dangereux changements climatiques. Aujourd'hui, après deux années de discussions, le moment est venu pour toutes les parties de s'investir pleinement pour jeter les fondements des décisions qui doivent être prises à Copenhague. Des progrès décisifs doivent être réalisés à Bangkok. La Commission européenne a fait récemment des propositions relatives au financement, qui est un élément central de ces négociations. Je compte maintenant sur nos partenaires, tant des pays développés que des pays en développement, pour passer à la vitesse supérieure et faire preuve de plus d'ambition.»

M. Andreas Carlgren, ministre suédois de l'environnement, a ajouté: «L'Union européenne se félicite des progrès réalisés et notamment de la décision que vient de prendre le gouvernement japonais d'augmenter de manière substantielle son objectif de réduction des émissions. Il faut maintenant que les déclarations publiques encourageantes faites récemment par les grandes économies émergentes concernant la limitation de la croissance de leurs émissions se traduisent en actes concrets et soient prises en considération dans les négociations. Les messages du sommet des Nations unies et du G20 doivent être entendus et répercutés à Bangkok. En tant que dirigeants politiques, nous voulons parvenir à un accord et il faut que les négociateurs se concentrent sur le fond, ainsi que sur les éléments essentiels.»

Le processus de Copenhague
Les négociations relatives à l'élaboration d'un accord des Nations unies sur le changement climatique pour l'après 2012, lorsque le protocole de Kyoto viendra à expiration, devraient s'achever lors de la conférence de Copenhague, qui se tiendra du 7 au 18 décembre 2009. Les dernières sessions préparatoires se tiendront à Bangkok, du 28 septembre au 9 octobre, et à Barcelone, du 2 au 6 novembre.
La position de l'UE

L'Union européenne plaide en faveur d'un accord ambitieux et complet pour éviter que le réchauffement climatique n’atteigne les niveaux dangereux – plus de 2 °C au-dessus de la température de l'ère préindustrielle – prévus par la communauté scientifique. Des données scientifiques montrent que, pour respecter cet objectif, les pays industrialisés devront réduire leurs émissions de gaz à effet de serre de 25 à 40 % par rapport à leur niveau de 1990 d'ici à 2020 et que les pays en développement devront freiner la croissance rapide de leurs émissions pour que leur niveau en 2020 soit inférieur d'environ 15 à 30 % à celui qu'elles atteindraient si rien n'était tenté.
L'Union européenne a pris l'engagement inconditionnel de réduire ses émissions de 20 % au moins par rapport à leur niveau de 1990 d'ici à 2020 et elle met en œuvre à cet effet le train de mesures sur le climat et l'énergie (IP/09/628).Elle s'est également engagée à porter son objectif de réduction à 30 % à condition que les autres pays industrialisés acceptent de procéder à des réductions comparables et que les pays en développement plus avancés contribuent de manière adéquate à un accord mondial.
Le 10 septembre, la Commission a proposé des orientations globales pour augmenter le financement international destiné à aider les pays en développement à réduire leurs émissions et à s'adapter au changement climatique (IP/09/1297). Le Conseil européen disposera ainsi d'une base pour adopter la position de l'UE en matière de financement à la fin du mois d'octobre.
La réunion de Bangkok
Peu de progrès ont été obtenus lors des trois sessions de négociation officielles qui se sont déroulées cette année. La session informelle qui s'est tenue à Bonn, en Allemagne, le mois dernier, a débouché sur un texte de négociation de plus de 250 pages, peu structuré et truffé d'éléments entre crochets. Lors de la réunion de Bangkok, il faudra considérablement simplifier ce texte et passer à la vitesse supérieure pour pouvoir signer un accord global à Copenhague.
Il convient également d'améliorer le processus de négociation en envisageant, par exemple, de négocier au sein de petits groupes parallèles plutôt que lors de grandes séances plénières. Il importe, en priorité, de se mettre d'accord sur les éléments fondamentaux que devrait contenir l'accord de Copenhague et de progresser sur cette base.
En ce qui concerne l'UE, ces éléments fondamentaux sont les suivants:
- des réductions contraignantes des émissions de tous les pays industrialisés sur la base d'efforts comparables,
- des mesures appropriées de la part de pays en développement pour réduire leurs émissions,
- un cadre d'action concernant l'adaptation au changement climatique,
- des mesures pour réduire la déforestation et la dégradation des forêts et promouvoir une gestion durable des forêts dans les régions tropicales,
- des règles comptables actualisées en ce qui concerne l'évolution des émissions liées à l'utilisation des sols, au changement d'affectation des sols et à la foresterie,
- un marché du carbone international élargi pour générer une aide financière pour les pays en développement et promouvoir des réductions économiquement avantageuses des émissions,

- la fourniture d'une aide publique internationale aux pays en développement pour compléter les flux financiers du marché du carbone et les investissements intérieurs,
- un programme complet en matière de coopération technologique et de financement, destiné à accélérer le développement d'une économie mondiale à faible intensité de carbone.

Conférences de presse
La Suède, la Commission et l'Espagne rencontreront les médias à Bangkok aux dates suivantes:
- lundi 28 septembre à 12 heures, heure locale,
- vendredi 9 octobre à 14 heures, heure locale.

se2009.eu

*La recherche et l’innovation sont importantes pour une Europe compétitive...*

***Le deuxième jour du Conseil « compétitivité » est terminé. À l'occasion de cette deuxième journée, les ministres ont eu un long débat sur le domaine de la recherche européenne et l'innovation. Au cours de la première journée, le Conseil a adopté des conclusions sur la manière d’améliorer le marché intérieur, et sur la façon de mettre efficacement en application la directive sur le service . Un débat public sur la politique de recherche européenne a été tenu. Les ministres ont aussi eu un débat d’orientation sur la manière d’améliorer les relations commerciales des micro-entreprises. Le Conseil a également discuté de la crise de l’industrie automobile européenne. Le Conseil était présidé par la Ministre de l’entreprise et de l’énergie, Maud Olofsson, la Ministre adjointe en charge du commerce, Ewa Björling, et le Ministre adjoint en charge de l'enseignement supérieur et de la recherche, Tobias Krantz. Pour en savoir plus sur le premier jour du Conseil « Compétitivité » lisez l’article « Les ministres ont adopté des conclusions sur le marché intérieur lors du Conseil » sur le site internet de la Présidence.
Comment évolue le domaine de la recherche européen ?

Les ministres ont discuté de la façon dont les pays membres souhaitent l’orientation du futur développement de l'Espace européen de la recherche (EER). Le Conseil a aussi discuté de la politique d’innovation vue dans une perspective de recherche. La Présidence a résumé les discussions en trois points. Les ministres ont insisté sur le fait qu’il est important de discuter le programme cadre de la recherche afin de pouvoir faire face aux défis sociaux comme par exemple le changement climatique et la santé publique. Il est aussi important de continuer le travail de simplification des réglementations pour que la bureaucratie et l'administration ne puissent pas gêner la recherche. Finalement, on s’est intéressé à la gestion à venir de l’EER. Étant donné que de nombreux pays membres misent sur la recherche mais n’obtiennent qu’un faible rendement en retour, le renforcement du triangle de la connaissance ( la coopération entre l’éducation, la recherche et l’innovation) apparaît comme un facteur primordial pour le développement et la compétitivité. Les ministres étaient d’accord pour continuer à miser sur la recherche et l’éducation, et ce malgré la crise économique, afin que l’Europe reste compétitive à long terme. L’EER a été créé en 2000 dans le but de rendre possible une augmentation de la mobilité des chercheurs entre les pays européens, d’ouvrir des programmes de recherches européens, nationaux et régionaux et de développer la coopération entre les chercheurs en Europe.

se2009.eu

mardi, septembre 22, 2009

*Ppour booster votre performance grâce aux Réseaux Sociaux : organisation, individu, rencontre...*

***André DAN, Président de CHALLENGY :

*Lieens ci-dessous :
http://www.itsmecard.com/andredan

http://www.challengy.com/fr

Bien à vous,

Morgane BRAVO

* Christine Lagarde, ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi ...*

***Nicolas Demorand reçoit dans le 7/10 de France Inter, Christine Lagarde, ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi (08h20 - 22 Septembre 2009).

*De Londres à Pittsburgh : les 200 jours du G20...*

*** Les 24 et 25 septembre, les chefs d'Etat ou de gouvernement des 19 plus grands pays de la planète, plus le représentant de l'Union européenne, se retrouveront à Pittsburgh, aux Etats-Unis, pour un nouveau sommet, un peu plus de deux cents jours après celui de Londres, le 2 avril.

Le G20 y avait alors réalisé la prouesse de faire passer l'image d'une unanimité politique autour des réponses à apporter à la crise, image renforcée par la fameuse "photo de famille" du sommet : la présence inédite des dirigeants chinois, brésilien, indien ou sud-africain, etc., au même rang que leurs homologues européens et américain avait donné le sentiment qu'un nouveau monde pouvait émerger. Le G20 de Pittsburgh aura sans doute du mal à rééditer l'exploit, car l'attention se portera surtout sur la mise en place effective des mesures annoncées dans le communiqué final de Londres.

Pour établir ce bilan des "deux cents jours du G20", "Le Monde Economie" a, laissant de côté les déclarations d'intention générale, sélectionné dans ce communiqué les annonces concrètes, souvent précédées d'expressions comme "nous nous sommes accordés sur", "nous nous engageons à", etc. Trente-deux mesures ont été dégagées - un même paragraphe du communiqué officiel, numéroté de 1 à 29, pouvant en contenir plusieurs. Chacune d'entre elles se trouve, deux cents jours après, à l'état de réalisation effective, de négociation plus ou moins laborieuse, d'élaboration plus ou moins avancée, de blocage plus ou moins insurmontable, et parfois d'échec pur et simple.

En entrant dans le vif des négociations, les intérêts divergents, les priorités nationales reprennent leurs droits. Américains et Européens, pays riches et pauvres, occidentaux et "émergents", rencontrent d'autant plus d'obstacles sur la voie de "l'intérêt général", tracée à Londres, que l'amélioration des indicateurs conjoncturels incite plutôt à penser, peut-être imprudemment, à "l'après-crise".

Cette diversité, voire ces divergences, se voit dans les réponses que treize "personnalités" du monde de l'économie et de la politique ont apportées à une question du "Monde Economie" : "S'il n'y avait qu'une et une seule leçon à tirer de la crise, laquelle choisiriez-vous ?"

La difficulté à faire l'unanimité, ne serait-ce que de façade, autour d'un projet politique cohérent de "sortie de crise" ramène le rêve d'une nouvelle gouvernance mondiale, née des cendres de la crise, à la dure réalité des affrontements traditionnels décrits par Thierry de Montbrial, le directeur général de l'Institut français des relations internationales (IFRI).

Tout en proclamant que "rien ne sera plus jamais comme avant", des banquiers, des gouvernements, des entreprises se reprennent à espérer un retour rapide au "business as usual", gommant la réalité de l'impact à long terme de la catastrophe financière sur les entreprises, les plus pauvres et les économies les plus fragiles. Avec tous les risques de rechute qu'un tel déni du réel comporte.

Antoine Reverchon
Le Monde
22.09.09.

dimanche, septembre 20, 2009

*François FILLON, en Haute Loire fait le point sur la poilitque pour l'emploi...*

***François FILLON, Premier ministre, prononce un discours sur la situation économique et l'emploi à l'occasion d'un déplacement en Haute-Loire le vendredi 18 septembre 2009.

vendredi, septembre 18, 2009

jeudi, septembre 17, 2009

****Fin du sommet informel des chefs d'état et de gouvernement...***


***Ce soir le sommet informel des chefs d'état et de gouvernement à Bruxelles s'est terminé. Les leaders se sont mis d'accord autour d'une position commune en vue du sommet du G20 la semaine prochaine.

Juste avant le début de la réunion, le Président du Conseil européen, Fredrik Reinfeldt, a fait un rapide résumé de ses attentes pour ce soir.

« 27 pays sont ici. Et c'est d'ici que partira une voix coordonnée pour le sommet du G20 à Pittsburg » a expliqué Fredrik Reinfeldt.

Le Premier ministre pense qu'il y a trois questions importantes. La première est l’amélioration de l’économie, les finances publiques et la stratégie de « sortie » pour une élimination progressive des mesures de relances. La seconde question est le système de bonus des banques qui a fait que l’on a pris des risques incroyables et qui a affecté la stabilité financière.
« Il y a un an, le monde était au bord d’un choc économique, cela ne doit pas se reproduire. C’est pourquoi il est important que nous soyons équipés. Si nous pouvons mettre en place une réglementation des bonus, cela serait bien. J’espère que la bulle des bonus éclatera ce soir. J’espère que cette réunion marque la fin des bonus.»

Climatique et de la finance
La troisième question concerne le climat et son financement. Cela concerne le financement des mesures climatiques dans les pays en voie de développement. Le Premier ministre a insisté sur le fait que les chefs d’État et de gouvernement doivent accélérer la vitesse des négociations et doivent faire plus pour que nous puissions atteindre l’objectif des deux degrés, c'est-à-dire que la température moyenne mondiale ne doit pas augmenter de plus de deux degrés.
« Nous allons profiter de chaque réunion, peut importe le sujet à l'ordre du jour, pour faire avancer la question du climat. Pendant la réunion de ce soir, j’espère que nous pourrons faire un pas en avant et nous mettre d’accord pour que tout le monde soutienne les chiffres que la Commission européenne a présenté dans sa communication » a terminé Fredrik Reinfelt.

se2009.eu

*François Fillon, Premier ministre, prononce un discours...: "la réforme de la taxe professionnelle est pour toutes les entreprises!"*

***François Fillon, Premier ministre, prononce un discours à l'occasion de la remise du prix de l'audace créatrice 2009 le jeudi 17 septembre 2009 à l'Hôtel Matignon.

*La réélection de Barroso rend la candidature de González plus improbable...*

***La réélection de Barroso rend la candidature de González plus improbable :

Lluís Bassets commente dans le quotidien El País la réélection de José Manuel Barroso à la présidence de la Commission européenne.

En raison de cette réélection, les chances de l'ex-chef de gouvernement espagnol Felipe González en tant que candidat potentiel à la présidence de l'UE ont diminué : "Grâce à une nouvelle règle tacite, l'un des trois postes européens les plus importants devrait être occupé par une femme et un autre par une personne issue des pays qui ont intégré l'UE lors de l'élargissement de 15 à 27 membres ou au moins lors de celui de 12 à 15.

La candidature d'une femme scandinave ou issue d'un pays d'Europe de l'Est au poste de ministre des Affaires étrangères correspondrait [en revanche] au profil parfait pour laisser [encore] une place à la carte González. Dans tous les cas, la réélection de Barroso rend peu probable l'élection de l'un des protagonistes de l'histoire européenne les plus brillants et doté d'une grande énergie et d'idées politiques, à la présidence du Comité des sages sur le futur de l'UE."

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La victoria de Barroso aleja a Felipe González de la presidencia del Consejo Europeo :

El sueño de la casa europea no es contar con un teléfono que alguien descuelga cuando llaman desde Washington y últimamente desde Pekín o Brasilia. Para Henry Kissinger, a quien se le atribuye la idea, la identificación de un interlocutor era la única cuestión candente. El sueño europeo es el de la unidad en democracia, es decir, que quien descuelgue el teléfono no sea un oscuro burócrata designado tras un cabildeo incomprensible entre los Gobiernos socios, sino un presidente elegido por todos los europeos, a ser posible en una elección directa o, en su falta, en un procedimiento parlamentario abierto sin imposiciones verticales de los Gobiernos.

Lo que sucedió ayer en Bruselas, en el hemiciclo del Parlamento Europeo, difícilmente atiende a esta onírica visión. José Manuel Durão Barroso, el portugués que recibió a Bush, Blair y Aznar en las Azores para declarar la primera guerra ilegal del siglo XXI, fue reelegido presidente de la Comisión Europea para cinco años más por una mayoría abrumadora. Tenía una base sólida e indiscutible: era el candidato del Partido Popular Europeo, vencedor en las elecciones europeas. Además, no había otro: los socialistas no se molestaron ni siquiera en plantear la batalla detrás de un nombre significativo sacado de sus filas y con sus ideas programáticas. Barroso hizo una buena campaña, primero obteniendo el apoyo de los 27 jefes de Estado y de Gobierno y luego convenciendo a los eurodiputados, al estilo Sarkozy, con halagos para unos y otros y adhesiones de último momento a las propuestas del europeísmo social. Llegó como liberal y neocon, en la estela de Bush, y repite como partidario de la Europa verde y social, a rebufo de Obama y de las recetas de intervención pública ante la crisis financiera. Ha sido crucial el apoyo de Zapatero, el dirigente socialista de mayor peso en el Consejo Europeo y la figura más visible del socialismo.

La lógica demandaba que esta elección se produjera después del 2 de octubre, día en que los irlandeses celebran su segundo referéndum de ratificación del Tratado de Lisboa, el nuevo texto legal que modifica la arquitectura institucional de la UE. Entonces los 27 hubieran podido trenzar la difícil negociación para efectuar los nombramientos de los tres altos cargos -presidente de la Comisión, presidente del Consejo Europeo y ministro de Exteriores- atendiendo a todos los equilibrios y necesidades. Eso era precisamente lo que quería evitar Barroso: sabía que entrar en una combinación de este tipo equivalía a perder de antemano. Su balance como presidente de la Comisión no tiene nada de alentador. Lo único realmente positivo, que ha jugado a la hora de su reelección, es su actitud deferente con los Gobiernos socios, que encomendaron el cuidado de la casa común a un guardés preocupado sólo de satisfacer las limitadas ambiciones de los dueños en vez de un administrador celoso y con autoridad, de los que no se dan en Bruselas desde hace ya casi dos décadas.

La victoria por la que Barroso puede estar tan satisfecho aleja un poco más la candidatura de Felipe González a la presidencia del Consejo Europeo que se inaugurará con la aplicación del Tratado de Lisboa. "Es que Felipe no quiere", se suele oír en determinados círculos. No es verdad. El ex presidente español ha dicho que no es candidato, declaración obligada en quien quiera jugar con inteligencia la partida. Son otros los que deben lanzar la candidatura, y entre ellos debe estar, obviamente, el presidente de su propio país. Es esencial que cuente también con los dos países tradicionalmente con mayor peso en este tipo de decisiones, que son Alemania y Francia. El apoyo de la primera a González está prácticamente garantizado, pero no el de Francia. Sarkozy quiso en algún momento, pero quizás no quiere tanto ahora y prefiere contentar a Londres apoyando a Tony Blair para el cargo y colocar así a un francés en sustitución de Javier Solana. (Por cierto: ¿apostará Europa por dos de los tres de los Azores en la época de Obama?). Gracias a una nueva regla no enunciada, de los tres altos cargos europeos uno debe ser mujer y otro un político de las últimas ampliaciones de 15 a 27 o como mínimo de 12 a 15. La candidatura para ministro de Exteriores de una ciudadana escandinava o del Este europeo sería el perfil perfecto para dejar un hueco a la carta González.

En todo caso, la reelección de Barroso recorta posibilidades a uno de los protagonistas del momento más brillante de la historia europea, con energías e ideas políticas para presidir el Comité de Sabios sobre el futuro de la UE. Su capacidad para negociar consensos, demostrada en la transición española y en el Tratado de Maastricht, permitirían contar para el nuevo cargo con una personalidad capaz de ensanchar la imagen política de la UE y convertirse él mismo en el sustitutivo de este presidente electo soñado que atiende desde la casa europea las llamadas urgentes por la línea caliente.

http://www.elpais.com/articulo/internacional/telefono/casa/elpepiopi/20090917elpepiint_6/Tes/

LLUÍS BASSETS
EL PAIS
17/09/2009

*Les eurodéputés reconduisent Barroso à la tête de la Commission...*


***Les eurodéputés se sont prononcés pour un nouveau mandat de l'ancien premier ministre portugais à la tête de l'exécutif communautaire par 382 voix sur un total de 718 bulletins exprimés, alors que 219 d'entre eux ont voté contre et 117 se sont abstenus.

Ce vote vient clore trois mois de négociations politiques et de joutes parlementaires autour du nom de José Manuel Barroso, ouvertes à l'issue des élections européennes du 7 juin. Ce dernier devra désormais s'atteler à la composition de la nouvelle Commission, même si une incertitude demeure sur la forme de celle-ci en fonction du résultat du référendum organisé le 2 octobre en Irlande sur le traité de Lisbonne.

Son score devrait permettre d'éviter un second vote si le traité entre en vigueur. Avec ce texte, une majorité absolue est en effet nécessaire. Seul candidat en lice, proposé par les conservateurs, il a aussi été soutenu majoritairement par les libéraux, tandis que les socialistes (184 élus) avaient décidé de s'abstenir.

VOTE "NON" DES SOCIALISTES FRANÇAIS

Ce qui n'a sans doute pas empêché les socialistes portugais et espagnols de voter "oui", pour suivre la position de leurs gouvernements. Et les socialistes français de voter "non", car selon leur chef de file, Catherine Trautmann, "M. Barroso nous a montrés qu'il manquait de courage dans des moments critiques".

Fait notable : le Portugais a pu atteindre la majorité absolue grâce au soutien potentiellement embarrassant des élus conservateurs eurosceptiques (britanniques, tchèques et polonais), qui ont constitué un groupe dissident car ils sont opposés au traité de Lisbonne. Un texte que M. Barroso défend au contraire.

"Je suis fier de ce résultat", a commenté M. Barroso, visiblement soulagé après plusieurs mois d'incertitude. Ses services n'étaient pas certains, encore la veille au soir, qu'il arracherait les voix de plus de la moitié de l'hémicycle. "Avec ce vote, il n'y aura pas de vide dans les institutions européennes et c'est très important […]. La plus grande priorité pour moi, c'est de préparer le G20", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse.

Il a en revanche refusé de se prononcer pour le moment sur la composition de sa prochaine équipe, même s'il a reconnu que des contacts informels avaient lieu avec les différentes capitales européennes.

LE MONDE
16.09.09

***A SUIVRE...!***

Bien à vous,

Morgane BRAVO

***LE MEXIQUE : Fête Nationale! 15 & 16 Septembre de 1810...Independencia Nacional de Mexico! Bicentenario México 2010 : 200 years of History...***



<br/><a href="http://video.msn.com/video.aspx?mkt=es-MX&vid=ee973069-0720-4aa5-b519-2dfccc4f6429" target="_new" title="199 aniversario de la Independencia">Video: 199 aniversario de la Independencia</a>







































***VIVA MEXICO...!***

Bien à vous,

Morgane BRAVO
http://www.bravo-associatesw.com