THINK TANK UNIONEUROPEENNE EUROPÄISCHEUNION EUROPEANUNION UNIONEUROPEA *EUROPIONEERS By MorganeBRAVO
EUROPIONNERS, 2006 EU HUB!*Pour que l'Europe, en tant qu’acteur mondial, ne soit pas lointaine des européens. *Devise:"In varietate concordia"(latin: Unie dans la diversité).*Unie dans la diversité: l'Union Européenne (UE) se compose de 27 pays européens qui partagent les mêmes valeurs démocratiques et se sont engagés à travailler ensemble pour la paix et la prospérité. Il ne s'agit pas d'un Etat destiné à se substituer aux Etats existants. En fait, c'est une organisation unique en son genre!
mercredi, mars 31, 2010
*Le Club économique France-Québec : reçoit l'ancien PDG d’Air Canada*
Pierre J. Jeanniot et Wilfrid-Guy Licari
***L’ancien président-directeur général d’Air Canada, Pierre Jeanniot, a donné une conférence à la Résidence du délégué général du Québec à Paris, le 25 mars, en présence du délégué, Wilfrid-Guy Licari, et de plusieurs personnalités du monde des affaires œuvrant dans l’axe économique France-Québec.
M. Jeanniot, qui a siégé à la tête de l’Association internationale du transport aérien (IATA) de 1993 à 2002, est venu témoigner de sa collaboration aux principaux tournants qui ont marqué l’histoire de l’aviation commerciale au cours de la seconde portion du 20e siècle. Le Québécois d’origine française a entre autres parlé de sa contribution au développement des enregistreurs de vols, plus communément appelés « boîtes noires ». Il a également traité de sa participation aux projets qui ont mené à l’instauration de classes affaires et de vols non-fumeurs au sein de la société Air Canada.
Le délégué général a qualifié son parcours de « fascinant », rappelant qu’il était « toujours réjouissant » de voir une personnalité québécoise se démarquer dans son domaine d’activité sur la scène internationale.
Le conférencier a également dressé un portrait actuel de l’aviation commerciale et des différents défis qui l’attendent. Il a notamment mentionné que l’explosion du nombre de lignes aériennes à bas prix – low cost – au cours des dernières années allait continuer à entraîner une disparition progressive des transporteurs nationaux, qui n’auront d’autre choix que de se regrouper au sein de conglomérats pour survivre, comme l’ont fait les compagnies Air France-KLM et British Airways-Iberia.
M. Jeanniot a aussi prédit que la montée en puissance de la Chine et de l’Inde dans le domaine de l’aviation civile allait, à terme, mener à la fusion de lignes européennes et nord-américaines et à la création d’un marché intégré au dessus de l’Atlantique. L’ancien PDG d’Air Canada s’attend en outre à ce que l’usage des biocarburants devienne une norme de l’aviation d’ici une vingtaine d’années, ce qui devrait contribuer à atteindre l’objectif de l’industrie de réduire de moitié ses émissions de gaz à effet de serre d’ici 2025.
L’invité du Club économique a par ailleurs souligné la richesse et la diversité du secteur de l’aéronautique au Québec. Il a rappelé que la province francophone regroupe près de 60 % de toute la production aérospatiale canadienne et que la ville de Montréal est considérée comme l’un des trois grands pôles mondiaux de l’industrie, avec Toulouse et Seattle.
Mentionnons qu’une biographie du conférencier - Pierre Jeanniot aux commandes du ciel - a récemment été publiée chez les Presses de l’Université du Québec. Les auteurs Jacqueline Cardinal et Laurent Lapierre y retracent le parcours de cet « ambassadeur de l’aviation civile internationale », de sa naissance dans les montagnes du Jura à sa nomination à la direction d’Air Canada, en passant par ses dix années aux commandes de l’IATA.
Gouvernement du Québec
Morgane BRAVO & Monsieur Wilfrid-Guy LICARI, Délégué Général du Québec en France.
***Pierre Jeanniot,"L'Aviation : paradoxes et paradigmes" : Délégation Général du Québec à Paris...
http://bit.ly/bQFUwY
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*Frédéric Bascunana : présente son concept de "social rich media"...*
Techtoc.tv, webtv en mode "social rich media" 1/3
Techtoc.tv, webtv en mode "social rich media" 2/3
Techtoc.tv, webtv en mode "social rich media" 3/3
***Droits Numériques... entrevue avec Hervé Morin :
Fadhila BRAHIMI (gauche) & Morgane BRAVO ( droite)
http://bit.ly/4tDlTd
***A SUIVRE...!
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*Le Sénat souhaite limiter l'autoentrepreneuriat à 3 ans...*
***La commission des finances du Sénat envisage de limiter dans le temps l'inscription au régime créé par Hervé Novelli. Des sénateurs craignent que les autoentrepreneurs à part entière ne fassent à terme concurrence aux artisans.
Une première égratignure au régime qui a boosté la création d'entreprise en 2009? A l'issue d'une table-ronde organisée au Sénat pour tirer le bilan du régime de l'auto-entrepreneur, plusieurs sénateurs, dont Jean Arthuis, président de la Commission des finances, ont proposé une limitation du dispositif dans le temps. En pratique, un auto-entrepreneur ne pourrait le rester que trois ans maximum. Le but de cette proposition, qui devrait à terme être reprise dans le cadre d'un amendement à un projet de loi, est double.
Elle vise d'abord à éviter qu'au-delà du seuil de chiffre d'affaires limite fixé par la loi, les auto-entrepreneurs cessent de déclarer les revenus supplémentaires plutôt que de passer dans le régime de droit commun. La mesure vise ainsi à la fois à limiter l'étendue de l'activité au noir, et à contraindre ces auto-entrepreneurs chevronnés à évoluer au bout de trois ans vers le régime classique de l'entrepreneur. Car les entreprises de droit commun, et en particulier les artisans, se plaignent de la concurrence déloyale que leur opposent les auto-entrepreneurs. D'après les statistiques de l'Insee, un tiers d'entre eux exercent en effet comme artisans, sans cependant payer les charges auxquelles sont soumis leurs congénères.
«Ou le régime est mauvais et il faut l'abolir, ou il est bon, et il doit être pérenne»
Les sénateurs, qui souhaitent également imposer une obligation de déclaration de chiffre d'affaires, même s'il est nul, voient dans cette mesure la possibilité «d'accroître l'accompagnement des autoentrepreneurs», précise Jean Pouch, administrateur au Sénat. Et ainsi, de mieux les identifier. Il serait notamment possible de distinguer ceux qui ne se servent du régime que pour accroître et compléter leurs revenus pour lesquels les sénateurs ne voient pas d'inconvénient à ce qu'ils restent autoentrepreneurs autant de temps qu'ils le voudront - , de ceux qui sont auto-entrepreneurs à plein temps, et ont vocation à devenir de véritables entrepreneurs.
Hervé Novelli s'est d'ores et déjà prononcé contre cette mesure, en laquelle il voit une façon de complexifier un régime qui doit beaucoup à sa simplicité. En 2009, 320.000 inscriptions ont en effet été enregistrée à ce titre. Du jamais vu. François Hurel, président de l'Union des Autoentrepreneurs, affirme de son côté «ne pas très bien comprendre cette proposition : ou le régime est mauvais et il faut l'abolir, ou il est bon, et il doit être pérenne» estime-t-il, soulignant que la création du régime de l'auto-entrepreneur a d'ores et déjà permis de réintégrer beaucoup d'argent dans le giron des caisses de l'Etat. Enfin, «à partir de quand autoriser à nouveau à s'inscrire au régime ?» s'interroge-t-il. Autant de questions auxquelles devront répondre les sénateurs.
Marie Bartnik
Le Figaro
30/03/2010
****Table ronde sur le statut d'auto entrepreneur... :
http://bit.ly/cQP10G
A SUIVRE...!
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*Président aux Etats-Unis : point de vue d'un éditorialiste du New York Times*
***29 mar 2010
Le Président aux Etats-Unis : point de vue d'un éditorialiste du New York Times...
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*Conférence de presse conjointe de Nicolas Sarkozy et Barack Obama à la Maison Blanche*
***30 mar 2010
Conférence de presse conjointe de Nicolas Sarkozy et Barack Obama à la Maison Blanche...
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*Christian DUPUY est le nouveau Vice-président du CG92 en charge des Solidarités !*
Christian DUPUY, Maire de SURESNES.
***Comme le groupe des élus de la Majorité l’avait demandé au président du Conseil général, Christian Dupuy, Maire de Suresnes, a été nommé vice-président en charge des Solidarités...
Le coeur de métier du département est l’action de solidarité envers les plus faibles : personnes handicapées, personnes âgées, personnes en situation de précarité...
Lors de la dernière réunion des élus de la Majorité départementale, Jean Sarkozy, président du groupe de la Majorité, a proposé à Patrick Devedjian, président du Conseil général des Hauts-de-Seine, qu’il procède à la nomination d’un vice-président en charge des solidarités en la personne de Christian Dupuy. Au delà du symbole fort, il est important en terme d’action et de représentation que l’exécutif compte en son sein un Vice-président en charge de la première des compétences des départements. Christian Dupuy travaillera au côté des quatre conseillères générales nommées après la démission de Philippe Juvin : Yolande Deshayes, Marie-Cécile Ménard, Marie-Laure Godin et Patricia Chavinier.
Son parcours politique
Maire de Suresnes depuis 1983
Conseiller régional d’Île-de-France de 1986 à 1988
Conseiller général, vice-président en charge des Transports de 1988 à 1993
Député (4e circonscription des Hauts-de-Seine) de 1993 à 1997
Conseiller général des Hauts-de-Seine, vice-président en charge successivement des Affaires scolaires et de la Culture depuis 1998
Vice-président du Conseil général en charge des Solidarités depuis 2010
Plus d’informations sur la politique de solidarité du Conseil général des Hauts-de-Seine en cliquant ici :
http://www.hauts-de-seine.net/solidarites
http://majorite-92.com
*Photo : Morgane BRAVO
***Christian Dupuy : est le nouveau Vice-président en charge des Solidarités*
http://bit.ly/d2iUuI
Bien à vous,
Morgane BRAVO
mardi, mars 30, 2010
*Jean Sarkozy : "Il faut revenir au gaullisme social..."*
***L’interview de Jean Sarkozy, président du groupe de la Majorité au Conseil général des Hauts-de-Seine, dans le Parisien Hauts-de-Seine...
Quels enseignements tirez-vous des mauvais résultats de la droite dans les Hauts-de-Seine lors du scrutin des régionales ?
Il ne faut pas nier ce revers ni le dramatiser. Mais il est de notre responsabilité de tirer les enseignements de ce scrutin et de faire notre autocritique avec humilité. Avec une abstention forte, nous avons enregistré une désaffection de notre électorat populaire et ressenti l’exaspération des classes moyennes. Ce sont eux que la crise laisse en souffrance, et nous devons leur apporter des réponses audibles et visibles. C’est pourquoi j’ai décidé de réunir la majorité départementale ce matin (NDLR : hier).
Quelles initiatives comptez-vous prendre pour tenter de redresser la barre ?
J’ai proposé au président du conseil général (NDLR : Patrick Devedjian) qu’il procède à la nomination d’un vice-président chargé des solidarités, en la personne de Christian Dupuy (le maire de Suresnes, actuellement vice-président chargé de la culture). Il devra travailler au côté des quatre conseillères générales nommées après la démission de Philippe Juvin (NDLR : l’ancien vice-président chargé du social frappé par le cumul des mandats après son élection au Parlement européen). C’est un symbole ! Le département, dont le coeur de métier est le social, doit compter au sein de son exécutif un élu qui porte ce secteur. En cette période de crise, nos administrés nous appellent à notre devoir de solidarité, et il est urgent de retrouver les fondamentaux du gaullisme social dans les Hauts-de-Seine.
Comment préparez-vous les prochaines échéances électorales ?
En mars 2011, 23 cantons, dont 16 tenus par des élus de la majorité, sont renouvelables. Les élus nous ont rappelé leur attachement à la proximité. Il faut être tous rassemblés derrière un projet qui permette de nous recentrer sur nos fondamentaux dans ce département qui est marqué par de profondes inégalités entre les populations et qui a été pionnier pendant trente ans dans le domaine de la rénovation urbaine et de la solidarité. Il ne faut pas l’oublier.
Après la polémique de l’Epad qui, selon la gauche, a été sanctionnée par les électeurs dimanche, serez-vous candidat à la présidence du conseil général ?
Je ne cours pas après les postes. Je cherche à faire du mandat qui m’a été confié par les électeurs quelque chose d’utile. Et en tant que président du groupe de la majorité UMP-NC au conseil général, j’essaie de défendre nos convictions. C’est la priorité. Les questions de personnes ne sont pas intéressantes. Je ne souhaite pas me disperser. J’aborde les échéances avec méthode.
Vendredi 26 mars 2010
www.leparisien.fr
http://majorite-92.com
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*P. Sarkozy : Discours devant les étudiants de l'universite de Columbia*
***En effet,
Au 21ème Siècle : Il faut, un Nouvel Ordre Economique International...!
**A propos de l'Amérique Latine : Elle est hispanophone... sauf le Brésil (portugais)...!
"L'AMERIQUE LATINE" ("Les pays de l'Amérique Latine" : BICENTENARIO DE SU INDEPENDENCIA..."Bicentenaire de son Indépendance ...") :
L’expression Amérique latine peut désigner :
*Selon un critère linguistique, l’ensemble des pays du continent américain où l’on parle l’espagnol ou le portugais (Brésil).
*L’Amérique latine comprend donc la majeure partie de l'Amérique du Sud, de l’Amérique centrale et en partie l’Amérique du Nord (le Mexique).
*À l'exception éventuelle de Haïti, le français, malgré son caractère de langue latine, ne joue guère de rôle pour définir l'appartenance à l'Amérique latine.
*Le Mexique a plus de droits que le Brésil à devenir membre permanent
du Conseil de Sécurité des Nations Unies...
Le PIB du Brésil par habitant, est inférieur à celui de l'Argentine, du Chili et du Mexique.
Le Mexique avait en 2006 la 14e économie mondiale. Il possède une économie de marché orientée vers l'exportation, et dispose du plus haut revenu par habitant d'Amérique latine, en taux de change sur le marché. Le Mexique est le seul État d'Amérique latine membre de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE)...2010 BICENTENARIO INDEPENDENCIA & CENTENARIO REVOLUCION...*
Bien à vous,
Morgane BRAVO
lundi, mars 29, 2010
Déclaration conjointe - M. José Luis RODRIGUEZ ZAPATERO, Premier ministre espagnol
***P. Sarkozy...Déclaration conjointe - M. José Luis RODRIGUEZ ZAPATERO, Premier ministre espagnol.
Bien à vous,
Morgane BRAVO
samedi, mars 27, 2010
*BREF APERCU : Conférence Media Aces du 16 mars 2010...à Paris*
Cédric DENIAUD, MediasSociaux.com
***BREF APERCU :
*Présentation globale de Cédric DENIAUD - MediasSociaux.com (mix des deux salles)
SALLE 1
Philippe GERARD - CEGOS
Paul SITBON - VEOLIA Environnement
Frédéric CHEVALIER - MEDEF
SALLE 2
Cyril COHEN - SNCF
Olivier HUBLAU - HighCO DATA
Thierry CRAHES - MMA
*Photos Morgane BRAVO
Paul SITBON, VEOLIA Environnement
André DAN, Président de CHALLENGY (droite).
Philippe GERARD, CEGOS
Frédéric CHEVALIER, MEDEF
Olivier HUBLAU - HighCo DATA - Conference Media Aces mars 2010
View more presentations from Media Aces.
***Beaucoup des sujets abordés lors de la conférence Media Aces du 16 mars 2010...
A SUIVRE...!
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*La Ministre espagnole : souligne que l'inégalité entre les hommes et les femmes : « est une mauvaise chose pour la société »*
***La ministre espagnole souligne que l'inégalité entre les hommes et les femmes « est une mauvaise chose pour la société »
La conférence technique « L'égalité entre les femmes et les hommes comme base pour la croissance et l'emploi » a réuni ce jeudi à Valence des experts de l'UE qui ont exposé leurs propositions pour développer un nouveau pacte social et politique qui reconnaisse et revalorise la contribution des femmes à la croissance économique durable.
Lors de sa clôture, la ministre espagnole de l'Égalité, Bibiana Aído, a assuré que l'inégalité est « une mauvaise chose » pour l'ensemble de la société et entraîne une insuffisance économique.
« Plus il y a d'inégalité, moins il y a de capacité, de valeur, d'emploi et plus il y a de précarité professionnelle », a souligné Mme Aído, qui, dans le sens contraire, a indiqué que l'égalité est un outil de rentabilité politique qui génère des taux d'emploi plus élevés, un PIB plus important, des taux de natalité durables et une plus grande cohésion sociale.
De même, la ministre espagnole s'est montrée convaincue du fait que la crise constitue une opportunité pour construire un nouveau modèle européen « plus efficace et plus inclusif » et que cette nouvelle Europe doit « nécessairement » compter sur les femmes, étant donné que « nous n'avons jamais eu autant de femmes si formées en Europe ».
Déclaration du trio
« Il est temps que l'économie de la connaissance soit l'économie de l'égalité », a continué Mme Aído, qui préside ce vendredi la réunion informelle des ministres de l'Égalité de l'UE, lors de laquelle les pays du trio -Espagne, Belgique et Hongrie- signeront une déclaration commune sur l'importance de l'égalité « pour surmonter la crise et pour que celle-ci ne se renouvelle pas ».
Parmi les intervenants lors de la conférence, la directrice de l'Égalité de la Commission européenne, Belinda Pyke, a souligné le fait que l'Espagne « est en train de garantir » que l'égalité occupe une place particulière dans l'agenda de l'UE et a demandé instamment que soient trouvés des accords « souples qui permettent aux hommes et aux femmes de travailler comme ils le souhaitent ».
De son côté, la chef de l'Unité pour l'égalité des chances entre les femmes et les hommes de la Commission européenne, Daniela Bankier, a indiqué, lors de la séance de travail « Plus d'emploi, de qualité et dans l'égalité », qu'il existe en moyenne une différence de salaire entre les hommes et les femmes européens de 18 pour cent, un chiffre qui, à son avis, « reflète les nombreuses inégalités qui existent encore ».
Suite à la clôture de la conférence technique, la ministre espagnole et Mme le maire de Valence, Rita Barberá, ont reçu les personnes assistant à la réunion informelle à laquelle participent six ministres (de Belgique, d'Irlande, de la République tchèque, de Chypre, du Luxembourg et de Pologne), en plus des vice-ministres et des secrétaires d'État du reste des pays membres de l'UE.
UE
25-03-2010
*La zone euro : conclut un accord d'aide financière à la Grèce*
***Les seize gouvernants des pays de la zone euro (l'Eurogroupe) ont donné leur soutien à un mécanisme d'aide financière pour la Grèce, qui comprend la participation du Fonds monétaire international (FMI) et des pays de la zone euro par le biais de crédits bilatéraux.
Selon les indications de la déclaration conjointe émise ce jeudi, après s'être réunis à Bruxelles parallèlement au Conseil européen de printemps, une « majorité » des États de la zone euro apporteraient une certaine somme en fonction de leur Produit intérieur brut (PIB) et de leur population dans le cas où la Grèce aurait besoin d'aide à la suite de l'impossibilité d'obtenir des crédits auprès des marchés financiers.
L'accord prévoit un renforcement du Pacte de stabilité (supervision fiscale des pays membres de l'euro qui comporte des sanctions en cas de non respect des conditions de celui-ci).
*Une solution "fondamentalement européenee" pour la Grèce
Le président du gouvernement espagnol et de la présidence tournante de l'Union européenne, José Luis Rodríguez Zapatero, avait défendu au préalable une solution « fondamentalement européenne » à la situation de crise d'endettement de la Grèce.
« Nous devons montrer que nous sommes solidaires avec une monnaie qui a renforcé les systèmes financiers et qui est une monnaie de garantie pour l'économie européenne et mondiale », a-t-il affirmé jeudi matin après la réunion avec les interlocuteurs sociaux européens.
Sommet social tripartite
Rodríguez Zapatero a présidé le Sommet social tripartite, tenu avant chaque Conseil européen de printemps et qui a particulièrement tenu compte cette-fois ci de la stratégie de croissance économique « Europe 2020 », pour laquelle l'UE recherche des formules en vue d'encourager la compétitivité et la création d'emploi de qualité au cours de cette présente décennie.
La sortie de la crise, la croissance économique, la création d'emploi et le maintien du modèle social européen -des priorités du gouvernement espagnol pour ce semestre de présidence de l'UE- « exigent de la compétitivité et des accords sociaux », a indiqué Rodríguez Zapatero.
En tant que président en exercice du Conseil de l'UE, Zapatero s'est réuni avec le président du Conseil européen, Herman van Rompuy, lors d'un petit-déjeuner de travail pour achever les préparatifs du sommet, qui a précisément pour sujets principaux dans l'ordre du jour la croissance économique, l'emploi et la lutte contre le changement climatique.
La première séance de travail
La première séance de travail du Conseil européen de printemps a commencé jeudi à 17h00 avec un dialogue avec le président du Parlement européen, Jerzy Buzek.
Au cours du dîner, l'ex-président du gouvernement espagnol et président du groupe de réflexion, Felipe González, a parlé aux dirigeants européens au sujet de la gouvernance économique.
Il a exprimé son inquiétude sur le fait que les politiques d'encouragement public à l'économie se retirent trop rapidement et aussi concernant la perte de capacité de l'EU en matière de concurrence dans l'économie mondiale. Pour y remédier, il recommande une amélioration de l'enseignement, du primaire à l'université, en passant par la formation professionnelle.
La réunion de l'Eurogroupe s'est tenue après le dîner. On y a signé l'accord sur le soutien financier à la Grèce, que Van Rompuy a qualifié d'important non seulement pour la Grèce et la zone euro, mais aussi pour la stabilité monétaire internationale.
UE
25-03-2010
*Conférence de Madrid sur le don et la greffe d'organes*
***La nouvelle directive européenne relative à la greffe d'organes, fondée sur le modèle espagnol et qui devrait être votée en juin, pourrait sauver la vie de 20 000 personnes chaque année dans l'UE, selon les déclarations de la ministre espagnole de la Santé et de la Politique sociale, Trinidad Jiménez, lors de l'inauguration de la Conférence de Madrid sur le don et la greffe d'organes.
La directive européenne relative à la qualité et la sécurité des dons d'organes, lancée principalement à l'initiative des présidences suédoise et espagnole, vise à doubler les dons d'organes et à faire en sorte que toutes les greffes effectuées au sein de l'UE respectent les mêmes critères de qualité et de sécurité.
L'Espagne est, depuis 18 ans, le leader mondial en nombre de dons, avec un taux de 34,4 par million d'habitants en 2009, soit près du double de la moyenne européenne qui se situe à 18,1 par million. Les taux nationaux au sein de l'Union varient de 31 par million au Portugal, 26 en Belgique, 23,2 en France et 21,3 en Italie, jusqu'à 1,1 par million en Bulgarie ou 0,5 en Roumanie.
L'objectif de la conférence de Madrid est, d'après Mme Jiménez, de promouvoir une stratégie de collaboration entre les pays de l'UE afin de réduire ces écarts entre les Vingt-sept.
D'après la ministre, la présidence espagnole soutient entièrement cette directive, dont les démarches se trouvent à un stade déjà très avancé auprès du Conseil et du Parlement européen et qui pourrait être adoptée en première lecture au mois de juin.
Parallèlement à cette directive, un plan d'action établit dix points à mettre en œuvre entre 2009 et 2015, parmi lesquels se trouvent l'échange d'information et de bonnes pratiques entre les pays.
« Si le taux des dons d'organes de l'ensemble de l'UE s'alignait sur ceux des pays aux taux les plus élevés, comme l'Espagne ou le Portugal, ce sont plus de 20 000 vies qui pourraient être sauvées chaque année », a déclaré la ministre.
De même, encourager les dons d'organes de vivant à vivant dans toute l'UE, jusqu'à atteindre les taux des pays scandinaves, du Royaume-Uni ou des Pays-Bas (avec des pourcentages supérieurs à 34 %), permettrait de suspendre les traitements par dialyse pour 2 000 personnes chaque année, a-t-elle assuré.
Collaboration internationale
En 2008, 8 946 dons provenant de personnes décédées et 3 113 dons du vivant ont été enregistrés en Europe, ce qui a permis la réalisation de 27 809 greffes. Seuls 46 % des Européens placés sur liste d'attente ont pu bénéficier de ces interventions. 4 371 d'entre eux sont morts dans l'attente d'un organe.
***La nouvelle directive relative à la greffe d'organes pourrait sauver plus de vingt mille vies par an en Europe.
La ministre a indiqué que la collaboration internationale peut permettre d'atteindre des objectifs prometteurs et a cité l'exemple du travail mené par l'Organisation nationale des transplantations (ONT) en Amérique latine où ont été formés plus de deux cents collaborateurs de tous les pays et où le nombre des dons a augmenté de 20 % ces dernières années.
La conférence de Madrid, organisée en collaboration avec la Commission européenne, l'Organisation mondiale de la santé et la Société internationale de transplantation, réunit sur trois jours les autorités sanitaires ainsi que des experts des cinq continents.
Ont assisté à l'inauguration la ministre portugaise de la Santé, Ana María Teodoro, la secrétaire d'État allemande, Annette Wittmann, et la vice-secrétaire d'État hongroise, Melinda Medgyaszai, entre autres, ainsi que l'Allemand Jo Leinen, président de la Commission sur l'environnement, la santé publique et la sécurité alimentaire du Parlement européen.
À l'issue de la première journée, centrée sur l'Europe, se tiendra, mercredi et jeudi, la IIIe consultation globale de l'OMS visant à « l'autosuffisance en matière de don d'organes » et à éradiquer le trafic d'organes ainsi que le tourisme de transplantation.
Trinidad Jiménez a enfin rappelé que l'Espagne a introduit dans sa réforme actuelle du Code pénal l'incrimination du délit de commercialisation illicite d'organes.
UE
23-03-2010
*L'UE : cherchera à promouvoir 44 grandes installations...*
***L'UE cherchera à promouvoir 44 grandes installations scientifiques européennes
La ministre espagnole des Sciences et de l'innovation, Cristina Garmendia, inaugure mardi à Barcelone la Conférence européenne sur les infrastructures de recherche (ECRI-2010), qui vise à progresser dans la prise de décisions concernant l'établissement des nouvelles infrastructures européennes de recherche.
Préalablement à l'ouverture de la conférence, le président du gouvernement espagnol, José Luis Rodríguez Zapatero, a inauguré lundi à Cerdanyola (Barcelone) le synchrotron Alba, l'un des accélérateurs de particules à visées scientifiques les plus modernes du monde.
Près de 600 experts, représentants politiques et de l'industrie européenne se réuniront mardi et mercredi dans l'objectif de stimuler le réseau européen d'infrastructures, qui englobe 44 projets considérés comme prioritaires pour le développement des sciences et de la technologie européennes.
Le réseau des grandes installations scientifiques, qui constitue la structure fondamentale de l'Espace européen de la recherche (ERA), a été conçu par le Forum stratégique européen sur les infrastructures de recherche (ESFRI) et englobe des secteurs comme les sciences de l'environnement, l'énergie, l'astrophysique ou la physique.
La conférence a pour but de stimuler les activités de l'ESFRI et de progresser en matière de prise de décisions sur l'emplacement des nouvelles infrastructures. Les pays communautaires ont déjà montré leur intérêt pour accueillir 22 de ces 44 installations et certaines ont déjà été définitivement assignées.
Parmi celles-ci se trouve le projet de source européenne de neutrons par spallation, pour lequel la Suède et l'Espagne ont décidé en juin dernier de présenter un projet unique pour sa mise en marche. Cette installation sera dotée de deux sièges, le principal à Lund (Suède) et l'autre à Bilbao (Espagne).
La rencontre de Barcelone aura pour objectif de promouvoir une nouvelle stratégie européenne pour ces infrastructures, allant de pair avec la Stratégie européenne 2020, puisque toutes deux constituent un moteur de croissance et de développement pour des économies plus compétitives.
Selon des sources du ministère des Sciences et de l'Innovation, le seul coût de la construction de ces 44 infrastructures s'élève à 18 milliards d'euros, ce qui rend nécessaire une stratégie établissant des priorités.
Les conversations aborderont en outre les thèmes de gestion et de financement de ces installations (jusqu'à présent, ces aspects sont fournis par les États membres), ainsi que leur modèle de gouvernance.
Un total de 600 grandes infrastructures de recherche sont installées en Europe, avec un budget moyen annuel de 7,6 milliards d'euros. En Espagne, le déploiement du réseau des « Installations scientifiques et technologiques spéciales », encouragé conjointement par le gouvernement et les communautés autonomes, représentera un investissement total de 3,8 milliards d'euros d'ici à 2025.
UE
22-03-2010
vendredi, mars 26, 2010
*Neuf organismes de crédit : condamnés à dédommager une cliente surendettée...*
***Neuf organismes de crédit ont été condamnés par le tribunal de grande instance de Nancy à verser 35.000 euros de dommages et intérêts à l’une de leurs clientes, pour avoir manqué à leur obligation de mise en garde, a-t-on appris vendredi de l’avocat de la plaignante.
*Les organismes condamnés sont notamment Cofinoga, Cetelem, Cofidis, Finaref et Sofinco.
"Les organismes de crédit sont tenus à une obligation de conseil et à une obligation de mise en garde: c’est-à-dire qu’ils doivent alerter leurs clients de leurs situations financières et de leurs capacités de remboursement, ce qu’ils n’ont pas fait en l’espèce", a expliqué Me Fabrice Gossin, confirmant une information du quotidien L’Est Républicain.
Sa cliente, aujourd’hui âgée de 75 ans et à la retraite, avait contracté 17 crédits depuis 1986 pour un montant global de 113.000 euros, alors que ses revenus mensuels n’excèdent pas 1.000 euros.
"Le juge a estimé que l’obligation de mise en garde n’avait pas été respectée et que le consentement de ma cliente n’était pas libre et éclairé: il y a donc un préjudice pour perte de chances de ne pas contracter", a expliqué Me Gossin.
Le tribunal a condamné les organismes de crédits à verser 10 à 90% des sommes restantes dues en dommages et intérêts, selon l’ancienneté des dettes, pour un montant total de 35.000 euros.
"Il ne lui reste désormais quasiment plus rien à payer", s’est félicité l’avocat, qui dénonce toutefois les méthodes des organismes.
"Alors qu’elle avait cessé de les payer et que nous les avions assignés, elle continuait à recevoir des offres de crédit !", a déploré l’avocat, qui estime que la décision de justice pourrait "ouvrir une voie et créer une jurisprudence".
AFP,
26/03/2010
*Nicolas Sarkozy : entreprend la reconquête de son électorat...*
***Trois jours après la défaite aux élections régionales, le chef de l'Etat a souhaité hier maintenir le cap des réformes (notamment des retraites), tout en confirmant le « report » de la taxe carbone et en ne disant mot des déficits.
Acte II de la reconquête post-régionales : après avoir donné des signaux à sa majorité parlementaire en remaniant lundi le gouvernement, Nicolas Sarkozy a prononcé un discours à la sortie du Conseil des ministres, hier, à l'adresse essentiellement de son électorat déçu de 2007. Volontarisme réformateur - « rien ne serait pire que de changer en cap » -, implication personnelle - « vous attendez des résultats, vous les aurez » -, promesse réitérée de ne pas augmenter les impôts et loi contre la burqa : trois jours après la défaite de l'UMP aux élections régionales, le chef de l'Etat a tenté de retrouver les ingrédients du cocktail gagnant de la présidentielle. Et de le faire seul. François Fillon a annulé hier soir une intervention au « 20 Heures » de TF1, sur demande semble-t-il du chef de l'Etat. « Il n'y en a qu'un qui parle », aurait justifié ce dernier, selon des propos rapportés par un ministre.
Si les Français souffrent (et le sanctionnent dans les urnes), ce n'est pas parce que les réformes menées sont mauvaises, a défendu Nicolas Sarkozy dans son discours, mais parce que « la crise a empêché de voir les effets de tout ce qui a été accompli ». « Notre politique nous a permis de mieux traverser la crise que la plupart de nos partenaires, elle nous permettra de mieux profiter de la reprise », a-t-il poursuivi, en persistant notamment dans la défense de l'ouverture à gauche, rebaptisée « pluralité des opinions ».
Un boulevard pour la gauche
Si ce maintien du cap se situe dans la droite ligne d' « à élections régionales, conséquences régionales », martelé par Nicolas Sarkozy ces dernières semaines, il n'est en revanche pas sans risque sur deux points. Il offre un boulevard à la gauche, qui s'est empressée hier de dénoncer « un déni de réalité » (Jean-Luc Mélenchon, Front de gauche) ou de pronostiquer un « coup de barre sur le social » (Jean-Christophe Cambadélis, PS). Il risque surtout de fragiliser encore davantage la parole présidentielle. Car, au-delà du discours, force est de constater que le volontarisme réformateur du chef de l'Etat sort écorné du vote de dimanche et ressemble de plus en plus au « retour aux fondamentaux » prôné par Jean-François Copé.
Malgré les précautions verbales, la taxe carbone a désormais bien peu de chances de voir le jour. « Je subordonne la création d'une taxe carbone intérieure à une taxe aux frontières de l'Europe qui protégera notre agriculture et nos industries contre la concurrence déloyale », a-t-il déclaré. Au grand dam des écologistes, mais aussi de personnalités qui soutenaient le chef de l'Etat dans son projet : Alain Juppé a exhorté hier la France « à ne pas renoncer », Michel Rocard a été jusqu'à estimer que, dans une dizaine d'années, on parlera de « crime contre l'humanité » à propos de ceux qui auront « pris du retard ».
L'objectif de réduction des déficits publics n'est, quant à lui, même plus mentionné dans le discours présidentiel. Au contraire, il pourrait se voir compliqué par les promesses faites aux électeurs les plus frondeurs. Reprenant les adresses ciblées à telle ou telle partie de l'électorat comme il le faisait en 2007, Nicolas Sarkozy a promis de répondre aux attentes des agriculteurs et des médecins de proximité… des promesses rarement bon marché.
Nouvelle étape internationale
Outre les actions contre la violence dans les stades, les transports et les écoles, la seule réforme qui semble sortir intacte des turbulences de ces derniers jours est celle des retraites, d'ailleurs conçue par le président comme une réponse à la question des déficits. « Je ne passerai pas en force… mais, avant six mois, les mesures nécessaires et justes seront adoptées », a-t-il affirmé.
A compter d'aujourd'hui, c'est une troisième étape, internationale, que Nicolas Sarkozy engage pour tenter de regagner des points dans l'opinion : sommet européen aujourd'hui et demain, dans un climat de tension extrême avec l'Allemagne, rencontre avec Barack Obama lundi et mardi aux Etats-Unis, avant le G20 d'Ottawa en juin. En 2008, la présidence française de l'Union européenne avait permis au chef de l'Etat d'effacer dans l'opinion les dégâts causés par son mode de vie. L'international pourra-t-il encore l'aider à reprendre la main sur l'intérieur ? C'est le voeu de l'Elysée.
CECILE CORNUDET,
Les Echos
25/03/10
jeudi, mars 25, 2010
*Pierre Jeanniot "L'Aviation : paradoxes et paradigmes" : Délégation Générale du Québec*Paris
Monsieur Pierre Jeanniot,
Directeur général émérite IATA, ancien Président-directeur général d’Air Canada.
***Dans le cadre des activités du Club Economique France-Québec :
Le Délégué Général du Québec en France
Monsieur Wilfrid-Guy LICARI,
nous a convié,
le 25 Mars 2010 à 19h00, à la Résidence du Délégué Général du Québec à Paris :
A la Conférence de
*Monsieur Pierre Jeanniot,
Chevalier de la Légion d'honneur, Directeur général émérite IATA, ancien Président-directeur général d’Air Canada,
sur le thème :
"L'Aviation : paradoxes et paradigmes".
***M. Jeanniot a été Directeur général et Chef de la direction de l’Association du transport aérien international (IATA), de janvier 1993 à juin 2002. Au cours de son mandat, il a dirigé la transformation de l’IATA, aujourd’hui organisation de référence pour l’ensemble du transport aérien. Il a été nommé Président directeur général d’Air Canada en 1984 après avoir dirigé plusieurs services stratégiques au sein de l’entreprise. Il a piloté le projet de privatisation de la compagnie qui était alors une entreprise d’État, pour être ensuite reconduit dans ses fonctions de pdg pour un nouveau mandat. Alors qu’il était responsable des Services techniques, M. Jeanniot a contribué directement au développement du premier système d’enregistrement de vol – la fameuse « boîte noire » - qui est devenue un instrument indispensable à la sécurité des passagers et des équipages d’appareils commerciaux à travers le monde.
*Photos : Morgane BRAVO
Monsieur Pierre DECREUX,
Chargé de Mission auprès des Pays Francophones. (droite)
Morgane BRAVO & Monsieur Wilfrid-Guy LICARI, Délégué Général du Québec en France.
*Publication d'une biographie de M. Pierre J. Jeanniot, premier chancelier de l'UQAM :
Les Presses de l'Université du Québec viennent de publier la biographie de M. Pierre J. Jeanniot, qui fut le premier chancelier de l'UQAM (1995 à 2008). Rédigé par Jacqueline Cardinal et Laurent Lapierre, Pierre Jeanniot - Aux commandes du ciel nous fait suivre les traces de celui qui fut l'un des leaders dans le monde du transport aérien...
***M. Pierre Jeanniot, Québécois passionné de sécurité...
Félicitations...! Excellente Conférence : très intéressante...passionnante & conviviale!***
*Le 13 novembre 2009,
L'ancien président d'Air Canada, Pierre Jeanniot, commente la fusion British Airways et Iberia :
http://videos.argent.canoe.ca/archive/category/emissions/pierre-jeanniot/50109819001
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*Eagle’s Flight France : 15 Avril...à Paris*
***Présent aujourd'hui dans 35 pays, Eagle's Flight est né au Canada en 1988.
Innovateur dans les formations expérientielles en entreprise ayant donné naissance aux pratiques du Team Building et du Team Learning, chaque année plus de 200 000 collaborateurs font l'expérience de ses solutions.
Eagle’s Flight, leaders du Team Building en France depuis 1993, propose des modules de sensibilisation et mobilisation au développement durable.
Il s’agit de solutions pédagogiques ludiques et intelligentes qui permettent la formation rapide des collaborateurs d’entreprise et l’adoption d’éco-réflexes à grande échelle.
Eagle’s Flight France est membre du club des prestataires de l’ANAE. Membre du Pacte mondial (fondé par et sous l’égide du Secrétaire Général de l’ONU), Eagle’s Flight France s’est engagé à faire progresser les initiatives de développement durable et à assumer sa part de respon- sabilité dans la préservation de notre environnement. Eagle’s Flight France est une entreprise mécène membre du Club Mississipi et du festival Blues en Seine, dont la vocation est de trans- mettre le goût de la musique blues en France (concerts, activités formatrices auprès d’enfants, dans les hopitaux, etc.)...
Si vous désirez expérimenter une ou plusieurs de leurs solutions, vous êtes invité à leur journée Porte Ouverte, qui aura lieu le 15 Avril 2010.
*Invitation Journée Porte Ouverte du Team Building Développement Durable Eagle's Flight :
*RSVP : 01 46 10 08 80
*EMAIL : LUCAS@EAGLESFLIGHT-FR.COM
***Article :
Développer l’intelligence écologique dans l’entreprise
Par Guy Bergeaud, PDG Eagle’s Flight France
Les grandes entreprises sont capables de développer de très hauts niveaux d’expertise dans leurs équipes dans des domaines comme le marketing, la finance, la vente, etc.
Ensemble, ces équipes sont capables de réaliser des exploits grâce à un partage et une coordination de leurs expertises.
Le partage d’un même but, l’échange d’informations, le désir de collaborer sont des ingrédients indispensables pour que l’entreprise puisse réaliser des percées technologiques.
Si chaque entreprise mobilisait ses équipes dans le cadre d’une démarche globale centrée sur une priorité : la protection de notre planète, alors une nouvelle « expertise écologique » se développerait au sein de chaque entreprise.
Chaque geste, chaque décision, chaque plan, chaque relation tiendrait compte d’un objectif de survie optimale et contiendrait donc plus d’intelligence.
Les ingrédients nécessaires au développement de l’impact de cette nouvelle intelligence collective :
1. Être conscient de l’impact de son activité sur l’environnement et la réalité sociale.
2. Créer de nouveaux indicateurs de performance écologique et sociale pour mesurer les progrès.
3. Encourager les partages d’expérience et de bonnes pratiques interentreprises.
En suivant ces trois principes les équipes seront la source d’une nouvelle « énergie » nécessaire à l’amélioration des systèmes humains. Il ne serait plus nécessaire de faire de grands plans, de multiplier les interdits, comme c’est le cas aujourd’hui. Chacun, à son échelle, à sa mesure, dans sa vie quotidienne, en synergie avec ses collègues participera à une amélioration continue de l’impact de l’homme sur la nature.
De nombreuses entreprises se sont engagées dans ce type de démarche en organisant des évènements internes, des rencontres, des débats en entreprise, des activités de team building axées sur le développement durable pour sensibiliser et mobiliser les collaborateurs dans le cadre de leur équipe de travail.
Alors les individus concernés ne sont plus seuls face à ce gigantesque défi de l’écologie. Ils se mettent en marche en équipe et bénéficient des effets positifs d’une plus grande intelligence et synergie écologique.
Guy Bergeaud
Eagle’s Flight France
***Eagle’s Flight France : 15 Avril...:
http://bit.ly/bFneee
BIENVENUE, WELCOME, BIENVENIDO...!
Bien à vous,
Morgane BRAVO
mercredi, mars 24, 2010
*Le Guide de L'Influence...Salon du Livre à Paris*
L'auteur
Vincent DUCREY
Expert en management de l’information, spécialisé dans sa propagation en temps réel. Une expertise qu’il a acquise au cours de ses dix années de carrière, dans tous les domaines du marketing et de la communication :
entrepreneur, consultant en stratégie, conseiller en mobilisation en ligne, et enfin conseiller communication Internet au sein du Gouvernement.
***Témoignages :
*Une méthode de management innovante
« La pire chose que vous puissiez avoir en entreprise dans l’environnement médiatique actuel, c’est que votre main droite ne sache pas ce que votre main gauche fait ».
Jimmy Wales, Fondateur de Wikipédia
*Fait tomber le mur de Berlin entre les anciens et nouveaux médias
« Cette méthodologie fait tomber le « mur de Berlin » qui était dressé entre les anciens et nouveaux médias. Par l’ouverture des frontières virtuelles entre les médias, ce livre nous fait comprendre comment les internautes deviennent les acteurs libres de l’influence ».
Arno Pons, Directeur Digital de Saatchi & Saatchi
*Un cadre structurant pour appréhender le monde des médias
« Maîtriser les arcanes complexes des réseaux d’information est un challenge difficile mais ô combien vital aujourd’hui. En déchiffrer les codes est donc un prérequis indispensable pour toute entreprise souhaitant impacter son marché de manière positive et durable. Le Guide de l’influence est autant un fil d’Ariane qu’un cadre structurant pour appréhender le monde des médias, comprendre son fonctionnement mais aussi développer la meilleure stratégie pour fonctionner avec lui ».
Dr. Rolf Werner, Président de T-Systems France
*Un marqueur de notre temps
« Le Guide de l’Influence est le fruit de la convergence technologique, éditoriale et relationnelle que nous vivons actuellement. Il réunit selon moi le réseau, les contenus et services qui y sont promus et diffusés mais aussi la dynamique même de propagation des messages. La puissance potentielle de cette viralité et des interactions rendues possibles est un marqueur de notre temps ».
Dominique DELPORT, CEO Havas Media France
*Une définition éclairante
« Le Guide de l’Influence « permet, pour n’importe quelle entreprise d’une certaine taille qui souhaite être impactante, d’avoir une méthode structurée et organisée de A à Z. Une méthode qui permet d’avoir des stratégies, des actions qu’elle pourra suivre et mesurer tout au long du processus ».
Eric BOUSTOULLER, Président de Microsoft France
*Une référence « in »
« Ce qui est particulièrement intéressant avec le Guide de l’Influence, c’est sa souplesse, sa capacité à changer de direction, de position et de vitesse. Bien qu’il se situe dans une démarche de théorisation de l’existant, comme une photographie d’un paysage à un instant donné, il n’est pas non plus complètement figé : il permet que chacun de ses éléments puissent être à la fois source, analyse d’opinion, moteur de recherche, réseau social, etc. »
Jack DORSEY, Co-fondateur de Twitter
*Approfondit l’angle de l’influence
« L’objectif du Guide de l’Influence, c’est de permettre non seulement de diffuser un message, au sens « top down » traditionnel, mais aussi de créer les conditions pour qu’il soit auto-diffusé, et donc amplifié, par un certain nombre d’intermédiaires dont les récepteurs finaux : les gens eux-mêmes ».
Nicolas BORDAS, Président de l’AACC
*Practice to survive
« Le Guide de l’Influence, c’est « practice to survive » […] pour comprendre non seulement les mécaniques du web mais aussi les relations entre les médias et toutes les composantes de la médiasphère. »
Pierre CHAPPAZ, Fondateur de Wikio
*Avec le Guide de l’Influence, on comprend tout !
« Ce qui me frappe dans la démarche, c’est l’impression que pour la première fois on m’expliquait de manière claire et synthétique la globalité et l’interdépendance de tous les réseaux d’information. »
Dominique Moisi, Conseiller spécial à l’Ifri
*Un énorme impact
« La méthode préconisée dans ce livre peut avoir un énorme impact pour n’importe quelle société qui a besoin de maîtriser son contenu et tout ce qui concerne son secteur d’activité dans les médias ».
Yann Bell, senior manager chez Hays
*L’outil de l’homme-orchestre d’aujourd’hui
*« Le Guide de l’Influence est l’outil de l’homme-orchestre d’aujourd’hui, qui doit à la fois surveiller les relais d’informations montants et descendants, publier des contenus et observer ce qui se dit sur sa marque ».
Johan Hufnagel, rédacteur en chef et cofondateur de Slate.fr
*Les clés pour monitorer son message
« Le grand intérêt du Guide de l’Influence, c’est d’avoir répertorié et cartographié tous les relais de l’influence, et de donner les clés pour monitorer son message dans cette sphère médiatique en temps réel »
Stéphane Bodier, président de l’OJD
*une méthode de management innovante
*L'EXPRESS
****Le guide de L'Influence...Salon du Livre à Paris*
http://bit.ly/cDJ8W8
A SUIVRE...!
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*Eric Woerth et Georges Tron : communiquent les chiffres...Grève*
***Eric Woerth et Georges Tron communiquent les chiffres relatifs au taux de grève dans la Fonction publique
Selon les estimations disponibles en fin d’après-midi, le taux de participation au mouvement de grève de ce mardi 23 mars 2010 est de 18,9% pour la Fonction publique de l’Etat (16% hors Education nationale). Il était d’environ 25,9% le 19 mars 2009 (23,1% hors Education nationale), date du dernier mouvement comparable par le nombre d’organisations syndicales appelant à faire grève et les revendications exprimées. Pour la Fonction publique territoriale, il est de 11,1% (15,1% le 19 mars 2009). Pour la Fonction publique hospitalière, il est de 7,9% (18,4% le 19 mars 2009).
Concernant l’Education nationale, le taux de participation est de 20,4% (27,9% le 19 mars 2009).
Au sein du ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, le taux est de 15,8% (23,5% le 19 mars 2009).
Au sein du ministère du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l’Etat, le taux est de 37,5% (43,7% le 19 mars 2009).
Bien à vous,
Morgane BRAVO
mardi, mars 23, 2010
*Sarkozy : l'arroseur arrosé...*
***Presse européenne du 23/03/2010
Après le revers essuyé par l'UMP, le parti au pouvoir, lors des élections régionales, le président français Nicolas Sarkozy a remanié son gouvernement. Pour la presse européenne, le manque d'orientation politique du dirigeant et son mode autoritaire de gouverner sont en premier lieu responsables de la défaite des conservateurs.
El País - Espagne
La défaite du parti du président Nicolas Sarkozy (UMP) aux élections régionales françaises n'est pas seulement liée à la crise économique, estime le quotidien progressiste de gauche El País : "Contrairement à ce que prétendent les représentants de l'UMP, la lourde défaite ne s'explique pas par la crise économique et par la déception normale éprouvée envers le président et son gouvernement, phénomène que l'on peut habituellement observer à mi-mandat. A ces facteurs, il convient d'en ajouter un autre, certainement le plus important : les Français ont rejeté une forme de gouvernance qui place toujours au premier plan un président qui, dans un tête-à-tête avec lui-même, s'emploie davantage à s'attribuer les mérites de la mise en œuvre des réformes plutôt que de les mettre réellement en pratique." (23.03.2010)
NRC Handelsblad - Pays-Bas
Les élections régionales en France ont été avant tout un vote à l'encontre du président Nicolas Sarkozy, qui doit désormais changer, estime le quotidien NRC Handelsblad : "En tant que président, il a mis fin à une tradition française selon laquelle le chef de l'Etat à l'Elysée ne s'occupe pas expressément de l'exécution politique du programme gouvernemental. … Cela n'a probablement pas beaucoup de sens non plus qu'il modifie son programme. Ce n'est pas sa politique de réformes qui a été refusée, mais bien plus sa mise en pratique et l'homme qui l'incarne. Comme dans l'économie, une culture de dirigisme narcissique est également apparue dans la politique. L'électeur a surtout montré sa déception à l'égard de Sarkozy en tant que personne. Le président devra donc à l'avenir changer sa personnalité et son attitude s'il veut avoir une chance d'obtenir un second mandat. C'est une tâche difficile pour un homme politique qui a construit un culte autour de sa personne et qui y a placé tout son bonheur." (23.03.2010)
Le Soir - Belgique
La défaite de l'UMP, le parti au gouvernement, lors des élections régionales françaises, montre que le président Nicolas Sarkozy dirige son pays sans la moindre orientation : "En 2007, le président avait été élu sur le programme d'une nouvelle droite. Il mettait l'accent sur le pouvoir d'achat, la sécurité, et le contrôle de l'immigration. Toutes ces cartes sont désormais brouillées. La promesse du 'travailler plus pour gagner plus' a été ensevelie par la crise. La délinquance n'a pas été enrayée. ... Quant à l'immigration et à l'identité nationale, le débat qui devait empêcher le FN de relever la tête a eu l'effet inverse à celui escompté. ... Alors que la crise a plongé les Français dans un profond désarroi, c'est d'un président rassembleur qu'ils auraient besoin. Un président qui saurait les rassurer en leur montrant le bout du tunnel. Mais l'Elysée donne désormais l'impression de ne plus savoir lui-même où il va." (22.03.2010)
Eurotopics
Après le revers essuyé par l'UMP, le parti au pouvoir, lors des élections régionales, le président français Nicolas Sarkozy a remanié son gouvernement. Pour la presse européenne, le manque d'orientation politique du dirigeant et son mode autoritaire de gouverner sont en premier lieu responsables de la défaite des conservateurs.
El País - Espagne
La défaite du parti du président Nicolas Sarkozy (UMP) aux élections régionales françaises n'est pas seulement liée à la crise économique, estime le quotidien progressiste de gauche El País : "Contrairement à ce que prétendent les représentants de l'UMP, la lourde défaite ne s'explique pas par la crise économique et par la déception normale éprouvée envers le président et son gouvernement, phénomène que l'on peut habituellement observer à mi-mandat. A ces facteurs, il convient d'en ajouter un autre, certainement le plus important : les Français ont rejeté une forme de gouvernance qui place toujours au premier plan un président qui, dans un tête-à-tête avec lui-même, s'emploie davantage à s'attribuer les mérites de la mise en œuvre des réformes plutôt que de les mettre réellement en pratique." (23.03.2010)
NRC Handelsblad - Pays-Bas
Les élections régionales en France ont été avant tout un vote à l'encontre du président Nicolas Sarkozy, qui doit désormais changer, estime le quotidien NRC Handelsblad : "En tant que président, il a mis fin à une tradition française selon laquelle le chef de l'Etat à l'Elysée ne s'occupe pas expressément de l'exécution politique du programme gouvernemental. … Cela n'a probablement pas beaucoup de sens non plus qu'il modifie son programme. Ce n'est pas sa politique de réformes qui a été refusée, mais bien plus sa mise en pratique et l'homme qui l'incarne. Comme dans l'économie, une culture de dirigisme narcissique est également apparue dans la politique. L'électeur a surtout montré sa déception à l'égard de Sarkozy en tant que personne. Le président devra donc à l'avenir changer sa personnalité et son attitude s'il veut avoir une chance d'obtenir un second mandat. C'est une tâche difficile pour un homme politique qui a construit un culte autour de sa personne et qui y a placé tout son bonheur." (23.03.2010)
Le Soir - Belgique
La défaite de l'UMP, le parti au gouvernement, lors des élections régionales françaises, montre que le président Nicolas Sarkozy dirige son pays sans la moindre orientation : "En 2007, le président avait été élu sur le programme d'une nouvelle droite. Il mettait l'accent sur le pouvoir d'achat, la sécurité, et le contrôle de l'immigration. Toutes ces cartes sont désormais brouillées. La promesse du 'travailler plus pour gagner plus' a été ensevelie par la crise. La délinquance n'a pas été enrayée. ... Quant à l'immigration et à l'identité nationale, le débat qui devait empêcher le FN de relever la tête a eu l'effet inverse à celui escompté. ... Alors que la crise a plongé les Français dans un profond désarroi, c'est d'un président rassembleur qu'ils auraient besoin. Un président qui saurait les rassurer en leur montrant le bout du tunnel. Mais l'Elysée donne désormais l'impression de ne plus savoir lui-même où il va." (22.03.2010)
Eurotopics
*Et si la taxe carbone était européenne ?*
***Le 30 décembre, le Conseil constitutionnel a retoqué la taxe carbone voulue par Nicolas Sarkozy. Trop d'exemptions, trop d'inégalités aussi. Tant qu'à revoir la copie, autant reprendre le problème par le menu. Terra eco a sondé plusieurs économistes et vous propose trois scénarios, sur le chemin d'une taxe carbone idéale.
Les plus :
Une taxe carbone en France, c’est bien. Sauf que les émissions ne rebroussent pas chemin aux frontières de l’Hexagone. Alors une taxe franco-française "c’est un peu comme de cracher en l’air", estime Rémy Prud’homme, ex-professeur d’économie à l’université Paris XII. Mal compensée, celle-ci risquerait même de rendre les entreprises de l’Hexagone moins compétitives que leurs rivales. "Idéalement, il faudrait une taxe carbone mondiale", rêve Emmanuel Combet, doctorant au Centre international de recherche sur l’Environnement et le développement (Cired). Mais difficile de faire peser identiquement le poids carbone sur les épaules d’un Américain et d’un Bangladeshi. Limitons-nous donc au carré bruxellois. C’est l’idée défendue par la Suède, elle-même dotée d’une dîme carbone nationale.
Et pourquoi ne pas supprimer carrément le marché d’échange de quotas européen ? Car la coexistence des deux systèmes - quotas pour les entreprises très émettrices, taxe carbone pour les autres – risque de poser des problèmes. D’équité notamment : dans un cas le prix du carbone dépend des aléas du marché, dans l’autre, il est fixe pour une année donnée. Ainsi, une PME devrait s’affranchir d’une tonne de CO2 à 17 euros tandis que son voisin pétrolier profiterait d’un taux du marché à 9 euros ! Le 6 janvier, Michel Rocard a résolu d’un coup l’équation dans les colonnes des Échos : "Il faut supprimer le marché des quotas de CO2 au profit d’une taxe carbone européenne", a-t-il expliqué en substance.
Les moins :
Imposer une taxe à l’échelle européenne, ce n’est pas tout à fait de la tarte. “En matière de fiscalité, il faut l’unanimité des pays membres de l’UE”, rappelle Emmanuel Combet. Quant à supprimer le marché des quotas, l’idée ne fait pas sauter les économistes de joie. "Il a fallu un effort considérable pour le mettre en place. Ce n’est pas une décision à prendre à la légère. Et dans tous les cas, la France ne pourrait pas en décider unilatéralement", martèle pour sa part Patrick Criqui, directeur du Laboratoire d’économie de la production et de l’intégration internationale de Grenoble (Lepii) "Le système des quotas a l’avantage de la souplesse, souligne pour sa part Rémy Prud’homme. Il permet de prendre en compte la situation de certaines entreprises très dépendantes en carbone, comme les cimenteries." Plus simplement, il a le mérite d’exister tandis que la taxe carbone peine à s’installer. "On pourrait au contraire étendre le système des quotas négociables à toutes les entreprises", ose même Rémy Prud’homme en prenant le problème à rebrousse poil.
La solution ?
Ronger son frein. "Une taxe carbone européenne risque d’être très longue à mettre en place. Or, si l’on en croit les travaux du Giec, il y a urgence à agir. Nous ne pouvons pas faire l’économie d’un système parce qu’il n’est pas parfait", souligne Emmanuel Combet qui préconise un système mixte : taxe carbone française, marché des quotas européens. En attendant mieux...
TerraEco
11-01-2010
*Taxe carbone : "on va vers quelque chose d’horriblement complexe"
http://www.terra-economica.info/Taxe-carbone-on-va-vers-quelque,8183.html
*Taxe carbone : si on allait plus loin ?
http://www.terra-economica.info/Taxe-carbone-si-on-allait-plus.html
***L'annonce par le Premier ministre mardi matin d'abandonner la taxe carbone « pour ne pas plomber la compétitivité » des entreprises françaises a provoqué une vive réaction de la secrétaire d'Etat à l'Ecologie.
Chantal Jouanno, se déclare « désespérée de ce recul » :
« Je suis désespérée que ce soit l'écolo-scepticisme qui l'emporte. Je ne suis pas en phase avec cette décision. C'était possible de le faire en France avant de le faire en Europe. (…). »
"Paris ne devait pas nécessairement attendre que la taxe carbone se fasse au niveau européen. "Les deux sujets n'ont pas à être liés. Il y a plusieurs pays européens qui ont mis en place une taxe carbone ou une contribution carbone, que ce soit le Royaume-Uni, le Danemark, la Suède ou même plus loin la Norvège, qui économiquement ne s'en sortent pas plus mal, loin de là".
*En fait, Il y a 7 pays européens qui appliquent une taxe carbone...!
A SUIVRE...!
Bien à vous,
Morgane BRAVO
Les plus :
Une taxe carbone en France, c’est bien. Sauf que les émissions ne rebroussent pas chemin aux frontières de l’Hexagone. Alors une taxe franco-française "c’est un peu comme de cracher en l’air", estime Rémy Prud’homme, ex-professeur d’économie à l’université Paris XII. Mal compensée, celle-ci risquerait même de rendre les entreprises de l’Hexagone moins compétitives que leurs rivales. "Idéalement, il faudrait une taxe carbone mondiale", rêve Emmanuel Combet, doctorant au Centre international de recherche sur l’Environnement et le développement (Cired). Mais difficile de faire peser identiquement le poids carbone sur les épaules d’un Américain et d’un Bangladeshi. Limitons-nous donc au carré bruxellois. C’est l’idée défendue par la Suède, elle-même dotée d’une dîme carbone nationale.
Et pourquoi ne pas supprimer carrément le marché d’échange de quotas européen ? Car la coexistence des deux systèmes - quotas pour les entreprises très émettrices, taxe carbone pour les autres – risque de poser des problèmes. D’équité notamment : dans un cas le prix du carbone dépend des aléas du marché, dans l’autre, il est fixe pour une année donnée. Ainsi, une PME devrait s’affranchir d’une tonne de CO2 à 17 euros tandis que son voisin pétrolier profiterait d’un taux du marché à 9 euros ! Le 6 janvier, Michel Rocard a résolu d’un coup l’équation dans les colonnes des Échos : "Il faut supprimer le marché des quotas de CO2 au profit d’une taxe carbone européenne", a-t-il expliqué en substance.
Les moins :
Imposer une taxe à l’échelle européenne, ce n’est pas tout à fait de la tarte. “En matière de fiscalité, il faut l’unanimité des pays membres de l’UE”, rappelle Emmanuel Combet. Quant à supprimer le marché des quotas, l’idée ne fait pas sauter les économistes de joie. "Il a fallu un effort considérable pour le mettre en place. Ce n’est pas une décision à prendre à la légère. Et dans tous les cas, la France ne pourrait pas en décider unilatéralement", martèle pour sa part Patrick Criqui, directeur du Laboratoire d’économie de la production et de l’intégration internationale de Grenoble (Lepii) "Le système des quotas a l’avantage de la souplesse, souligne pour sa part Rémy Prud’homme. Il permet de prendre en compte la situation de certaines entreprises très dépendantes en carbone, comme les cimenteries." Plus simplement, il a le mérite d’exister tandis que la taxe carbone peine à s’installer. "On pourrait au contraire étendre le système des quotas négociables à toutes les entreprises", ose même Rémy Prud’homme en prenant le problème à rebrousse poil.
La solution ?
Ronger son frein. "Une taxe carbone européenne risque d’être très longue à mettre en place. Or, si l’on en croit les travaux du Giec, il y a urgence à agir. Nous ne pouvons pas faire l’économie d’un système parce qu’il n’est pas parfait", souligne Emmanuel Combet qui préconise un système mixte : taxe carbone française, marché des quotas européens. En attendant mieux...
TerraEco
11-01-2010
*Taxe carbone : "on va vers quelque chose d’horriblement complexe"
http://www.terra-economica.info/Taxe-carbone-on-va-vers-quelque,8183.html
*Taxe carbone : si on allait plus loin ?
http://www.terra-economica.info/Taxe-carbone-si-on-allait-plus.html
***L'annonce par le Premier ministre mardi matin d'abandonner la taxe carbone « pour ne pas plomber la compétitivité » des entreprises françaises a provoqué une vive réaction de la secrétaire d'Etat à l'Ecologie.
Chantal Jouanno, se déclare « désespérée de ce recul » :
« Je suis désespérée que ce soit l'écolo-scepticisme qui l'emporte. Je ne suis pas en phase avec cette décision. C'était possible de le faire en France avant de le faire en Europe. (…). »
"Paris ne devait pas nécessairement attendre que la taxe carbone se fasse au niveau européen. "Les deux sujets n'ont pas à être liés. Il y a plusieurs pays européens qui ont mis en place une taxe carbone ou une contribution carbone, que ce soit le Royaume-Uni, le Danemark, la Suède ou même plus loin la Norvège, qui économiquement ne s'en sortent pas plus mal, loin de là".
*En fait, Il y a 7 pays européens qui appliquent une taxe carbone...!
A SUIVRE...!
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*Nouveau tour de négociations entre l'UE et pays d'Amérique centrale...*
***Nouveau tour de négociations entre l'UE et les six pays d'Amérique centrale en vue de conclure un accord d'association en mai :
*Costa Rica,
*Salvador,
*Guatemala,
*Honduras
*Nicaragua,
*Panama
L'UE et l'Amérique centrale démarrent cette semaine à Bruxelles un nouveau tour de négociations en vue de la conclusion d'un accord d'association, auquel participe Panama pour la première fois en qualité de partie négociatrice et non en tant qu'observateur.
Dans le cadre de ce tour, qui sera consacré aux questions commerciales, est prévue la tenue, mardi 23, d'une rencontre entre les ministres d'Amérique centrale et le commissaire européen en charge du Commerce, Karel de Gucht, et, vendredi 26, une réunion spécifique visant à aborder le sujet de la création d'un instrument financier afin d'investir dans le développement d'infrastructures demandé par l'Amérique centrale.
Bien que les négociations aient beaucoup avancées, il reste encore à trouver un accord sur des questions importantes comme l'accès au marché européen de produits agricoles d'Amérique centrale, en particulier la banane et le sucre.
La Présidence espagnole accorde une importance stratégique aux relations de l'UE avec l'Amérique latine et travaille afin que l'accord puisse être signé au cours du sommet UE-Amérique latine et Caraïbes, qui se tiendra à Madrid le 18 mai. Dans ce but, deux tours finaux ont été programmés en avril, l'un à caractère commercial, du 19 au 23, et un autre du 26 au 30 pour clôturer les affaires concernant la coopération et le dialogue politique, les autres deux piliers de l'accord.
L'accord d'association représente le type d'accord le plus avancé que l'UE peut signer avec un pays ou une région. Il est généralement offert aux partenaires avec lesquels l'UE a l'intention d'approfondir ses relations, sur la base de la confiance mutuelle et des valeurs et principes partagés.
La Commission européenne a entrepris depuis 2007 des négociations, au nom de l'UE, avec le Costa Rica, le Salvador, le Guatemala, le Honduras et le Nicaragua, auxquels s'ajoute maintenant le Panama, qui a accepté comme condition requise pour s'incorporer aux négociations tous les points de l'accord déjà convenus.
UE
22-03-2010
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*Costa Rica,
*Salvador,
*Guatemala,
*Honduras
*Nicaragua,
*Panama
L'UE et l'Amérique centrale démarrent cette semaine à Bruxelles un nouveau tour de négociations en vue de la conclusion d'un accord d'association, auquel participe Panama pour la première fois en qualité de partie négociatrice et non en tant qu'observateur.
Dans le cadre de ce tour, qui sera consacré aux questions commerciales, est prévue la tenue, mardi 23, d'une rencontre entre les ministres d'Amérique centrale et le commissaire européen en charge du Commerce, Karel de Gucht, et, vendredi 26, une réunion spécifique visant à aborder le sujet de la création d'un instrument financier afin d'investir dans le développement d'infrastructures demandé par l'Amérique centrale.
Bien que les négociations aient beaucoup avancées, il reste encore à trouver un accord sur des questions importantes comme l'accès au marché européen de produits agricoles d'Amérique centrale, en particulier la banane et le sucre.
La Présidence espagnole accorde une importance stratégique aux relations de l'UE avec l'Amérique latine et travaille afin que l'accord puisse être signé au cours du sommet UE-Amérique latine et Caraïbes, qui se tiendra à Madrid le 18 mai. Dans ce but, deux tours finaux ont été programmés en avril, l'un à caractère commercial, du 19 au 23, et un autre du 26 au 30 pour clôturer les affaires concernant la coopération et le dialogue politique, les autres deux piliers de l'accord.
L'accord d'association représente le type d'accord le plus avancé que l'UE peut signer avec un pays ou une région. Il est généralement offert aux partenaires avec lesquels l'UE a l'intention d'approfondir ses relations, sur la base de la confiance mutuelle et des valeurs et principes partagés.
La Commission européenne a entrepris depuis 2007 des négociations, au nom de l'UE, avec le Costa Rica, le Salvador, le Guatemala, le Honduras et le Nicaragua, auxquels s'ajoute maintenant le Panama, qui a accepté comme condition requise pour s'incorporer aux négociations tous les points de l'accord déjà convenus.
UE
22-03-2010
Bien à vous,
Morgane BRAVO