dimanche, février 28, 2010

*CHILE : IN LIVE... With the Social Stream you can chat with your friends over Twitter!****














http://www.ustream.tv/channel/tv-de-chile

***CHILE : En direct...LIVE***
http://bit.ly/cNvRJD

***Lista de víctimas fatales tras el terremoto... http://bit.ly/aMRSvx

*Google :

Google a lancé un service visant à aider à retrouver les personnes disparues lors de ce séisme au Chili. Le service permet de mettre en relation ceux qui cherchent des personnes et ceux qui ont des informations… L’interface est simple et laisse le choix entre l’option “je cherche quelqu’un” et l’option “j’ai des renseignements sur quelqu’un”. Actuellement ce sontplus de 8000 informations qui sont enregistrées sur le site qui est disponible en Anglais et en Espagnol ici.

Une carte a aussi été publiée sur Google Maps, elle donne des informations sur les secousses sismiques et Google a aussi invité les utilisateurs à modifier Google Maps afin d’indiquer les routes praticables ou non.


*Embajada de México en Chile : pone en servicio telefono de emergencia 5555310486

*Embajada de Chile en Mexico. Teléfonos:00(55)(52)52809681/82/89/98, Fax:00(55)(52)5280

*TELEFONOS DE EMERGENCIA EN CHILE SE PIDEN QUE SE RETUITEEN : 568 1290/ 568 1295


*MY TWITTER :

http://twitter.com/MorganeBravo


Bien à vous,

Morgane BRAVO

samedi, février 27, 2010

*L'Europe des Régions...*



***Comme chaque semaine, Europe Hebdo revient sur l'actualité européenne. La chute du gouvernement néerlandais a réveillé la question de la guerre en Afghanistan au sein de 27. 25 pays sont engagés dans ce conflit. Comment agir en Afghanistan ? Quelle stratégie adopter face aux talibans ? Doit on pérenniser cet engagement auprès des États- Unis ? Dominique Baudis, Député européen PPE, repondra à nos questions. Notre grand format nous conduira dans le Nord-Pas-De-Calais, la région de France qui reçoit le plus de fonds de l'union européenne. Comment ces fonds sont ils gérés ? Comment les régions travaillent elles avec l'Europe ? Marie-Pierre Mesplède, représentante de la région Aquitaine à Bruxelles, sera notre invité.Comme chaque semaine, Europe Hebdo revient sur l'actualité européenne. La chute du gouvernement néerlandais a réveillé la question de la guerre en Afghanistan au sein de 27. 25 pays sont engagés dans ce conflit. Comment agir en Afghanistan ? Quelle stratégie adopter face aux talibans ? Doit on pérenniser cet engagement auprès des États- Unis ? Dominique Baudis, Député européen PPE, repondra à nos questions. Notre grand format nous conduira dans le Nord-Pas-De-Calais, la région de France qui reçoit le plus de fonds de l'union européenne. Comment ces fonds sont ils gérés ? Comment les régions travaillent elles avec l'Europe ? Marie-Pierre Mesplède, représentante de la région Aquitaine à Bruxelles, sera l'invité.

Bien à vous,

Morgane BRAVO

*Qui sont les 72 députés européens français ?*

***REMEMBER (11/06/2009) :

Qui sont les 72 députés européens français ?

* Les Français ont élu dimanche leurs 72 députés européens. Tour d'horizon des représentants français au parlement européen.

Ile-de-France :

Michel Barnier (UMP)

Jean-Marie Cavada (UMP)

Marielle Gallo (UMP)

Rachida Dati (UMP)

Philippe Juvin (UMP)

Harlem Désir (PS)

Pervenche Bérès (PS)

Daniel Cohn-Bendit (Europe Ecologie)

Eva Joly (Europe Ecologie)

Pascal Canfin (Europe Ecologie)

Karima Delli (Europe Ecologie)

Marielle de Sarnez (Modem)

Patrick Le Hyaric (Front de gauche)

Nord-ouest

Dominique Riquet (UMP)

Jean-Paul Gauzes (UMP)

Pascale Gruny (UMP)

Tokia Saïfi (UMP)

Gilles Pargneaux (PS)

Estelle Grelier (PS)

Hélène Flautre (Europe Ecologie)

Corinne Lepage (Modem)

Marine Le Pen (FN)

Jacky Hénin (Front de gauche)

Ouest :

Christophe Béchu (UMP)

Alain Cadec (UMP)

Elisabeth Morin-Chartier (UMP)

Bernadette Vergnaud (PS)

Stéphane Le Foll (PS)

Nicole Kiil-Nielsen (Europe Ecologie)

Yannick Jadot (Europe Ecologie)

Sylvie Goulard (Modem)

Philippe de Villiers (Libertas)

Est :

Joseph Daul (UMP)

Véronique Mathieu (UMP)

Michèle Striffler (UMP)

Arnaud Danjean (UMP)

Catherine Trautmann (PS)

Liem Hoang-Ngoc (PS)

Sandrine Bélier (Europe Ecologie)

Jean-François Kahn (Modem)

Bruno Gollnisch (FN )

Sud-Ouest :

Dominique Baudis (UMP)

Alain Lamassoure (UMP)

Marie-Thérèse Sanchez-Schmidt (UMP)

Christine de Veyrac (UMP)

Kader Arif (PS)

Françoise Castex (PS)

José Bové (Europe Ecologie)

Catherine Grèze (Europe Ecologie)

Robert Rochefort (Modem)

Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche)

Marie-Christine Vergiat (Front de gauche)

Sud-Est :

Françoise Grossetête (UMP)

Damien Abad (UMP)

Nora Berra (UMP)

Gaston Franco (UMP)

Mme Dominique Vlasto (UMP)

Vincent Peillon (PS)

Sylvie Guillaume (PS)

Michèle Rivasi (Europe Ecologie)

François Alfonsi (Europe Ecologie)

Malika Benarab-Attou (Europe Ecologie)

Jean-Luc Bennahmias (Modem)

Jean-Marie Le Pen (FN)

Massif central-Centre:

Jean-Pierre Audy (UMP)

Sophie Briard-Auconie (UMP)

Brice Hortefeux (UMP)

Henri Weber (PS)

Jean-Paul Besset (Europe Ecologie)

Outre-mer :

Maurice Ponga (UMP)

Patrice Tirolien (PS)

Elie Hoarau (parti communiste réunionnais)

11/06/2009

Le Figaro

***LES EURODEPUTES SUR TWITTER : 27 Février 2010...23 sur 72...NO COMMENT ;-)

*PHOTOS : Les Eurodeputes français sur Twitter...*
http://bit.ly/9ocJxT

Enfin...A SUIVRE...!

Bien à vous,

Morgane BRAVO

mercredi, février 24, 2010

*PROPOSITION DE LOI SUR LE RESPECT DE LA VIE PRIVEE...NUMERIQUE*


***COMMISSION DES LOIS

PROPOSITION DE LOI SUR LE RESPECT DE LA VIE PRIVEE
A L’HEURE DES MEMOIRES NUMERIQUES :

LA COMMISSION DES LOIS ADOPTE UN TEXTE EQUILIBRE QUI CONCILIE LES DIFFERENTS INTERETS EN PRESENCE

La commission des lois, réunie le mercredi 24 février 2010 sous la présidence de M. Jean-Jacques Hyest, président, a procédé à l’examen du rapport de M. Christian Cointat et du texte proposé par la commission pour la proposition de loi n° 93 (2009-2010), présentée par Mme Anne-Marie Escoffier et M. Yves Détraigne, tendant à mieux garantir le droit à la vie privée à l’heure du numérique.
Ce texte vise, tout d’abord, à rendre l’individu acteur de sa propre protection en le sensibilisant, au cours de sa scolarité, aux dangers de l’exposition de soi et d’autrui sur Internet. Il propose également de donner une plus grande effectivité au droit à l’oubli numérique. Il comporte enfin de nombreuses autres dispositions tendant à renforcer la protection des données personnelles.
Tout en souscrivant largement aux objectifs de cette proposition de loi, la commission des lois a cherché à parvenir à un meilleur équilibre entre la protection des données et la liberté des acteurs.
Elle a ainsi adopté 26 amendements tendant principalement à :
- assouplir le principe de consentement préalable en matière de « cookies » dans le double souci de ne pas entraver la navigation fluide des internautes et de ne pas remettre en cause le modèle économique d’Internet ;
- clarifier l’exercice du « droit à l’oubli » ;
- conforter le statut et les missions du Correspondant « informatique et libertés » dont elle a confirmé le caractère obligatoire lorsqu'une autorité publique ou un organisme privé recourt à un traitement de données à caractère personnel et que plus de cinquante personnes y ont directement accès ou sont chargées de sa mise en œuvre, tout en ne conditionnant pas la démission d’office de ce correspondant à l’avis conforme de la CNIL ;
- renforcer l’efficacité et la légitimité de la CNIL, en précisant que les quatre parlementaires membres de la CNIL doivent être désignés « de manière à assurer une représentation pluraliste », en prévoyant la publicité des avis de la CNIL chaque fois qu’un fichier de police est créé et en permettant à la CNIL d’effectuer des visites inopinées après autorisation préalable du juge des libertés et de la détention ;
- mieux encadrer par rapport au droit actuel la création des fichiers de police en prévoyant que tout fichier créé par arrêté ou par décret doit appartenir à au moins une des finalités que la commission a limitativement énumérées. A défaut, seul le législateur est compétent.

Le texte sera examiné en séance publique le mardi 23 mars 2010.

Paris, le 24 février 2010

Bien à vous,

Morgane BRAVO

*Les crues dans les Hauts-de-Seine : Qu’est ce qu’une crue centennale ? Quelles seraient ses conséquences ? France*


***Les crues dans les Hauts-de-Seine
Qu’est ce qu’une crue centennale ? Quelles seraient ses conséquences ? Que faire si ça arrive ?

La grande crue de la Seine en 1910 a marqué les esprits et, un siècle plus tard, le risque d'une crue majeure est toujours présent.

En cent ans, le département a beaucoup évolué : plus peuplé, plus construit, les conséquences d’une nouvelle grande crue seraient importantes, même si le Conseil général des Hauts-de-Seine a beaucoup investi avec l’État, les autres collectivités et les grands opérateurs de réseaux pour réduire la vulnérabilité des territoires.

Le point dans sur ce phénomène naturel :
http://www.hauts-de-seine.net/cadre-de-vie/protection-environnement/gestion-eau/Les-crues-dans-les-Hauts-de-Seine


***La prévision : un outil indispensable pour réagir***

Le système de prévision permet d’annoncer une crue à un horizon de trois jours. Les bulletins sont publiés sur www.vigicrues.gouv.fr deux fois par jour en cas de crue. Ils anticipent le plus précisément possible l’évolution quotidienne de la situation et la tendance pour les deux jours suivants.

Des prévisions quotidiennes

L’État, au moyen de ses services de prévision des crues, assure la surveillance des grands cours d’eau que sont la Seine et ses principaux affluents : l’Aube, l’Yonne, le Loing et la Marne.
Ce pronostic s’effectue à partir des données observées sur le terrain, comme la hauteur et le débit des cours d’eau, ainsi que des données météorologiques (pluviométrie et prévisions). Il fait appel à des modèles qui permettent d’élaborer des prévisions sur l’évolution du niveau de l’eau dans les 24 heures à venir, et de prévoir une tendance pour les deux jours suivants.
Cette prévision est élaborée et transmise deux fois par jour sous la forme de bulletins de vigilance. On les trouve sur www.vigicrues.gouv.fr.

3 jours pour se préparer

Au plus fort des crues, la hauteur de la Seine évolue à une vitesse moyenne de 50 cm par jour. Grâce à cette montée progressive, les pouvoirs publics et les grands opérateurs de réseau peuvent mettre en place des mesures de préparation de la crise : informer les usagers, mobiliser les équipes d'intervention, protéger leurs équipements afin d’assurer la continuité du service et de faciliter une reprise du service, en cas d’interruption.

Le dispositif de la vigilance crue est assez proche de la vigilance météorologique : Il utilise également une échelle de couleur à quatre niveaux.

NIVEAU 4
Risque de crue majeure.
Menace directe et généralisée de la sécurité des personnes et des biens.
Crue rare et catastrophique.

NIVEAU 3
Risque de crue génératrice de débordements importants susceptibles d’avoir un impact significatif sur la vie collective et la sécurité des biens et des personnes.
Débordements généralisés, circulation fortement perturbée, évacuation.

NIVEAU 2
Risque de crue ou de montée rapide des eaux n’entraînant pas de dommages significatifs, mais nécessitant une vigilance particulière dans le cas d’activités saisonnières et / ou exposées.
Débordements localisés, coupures ponctuelles de routes, maisons isolées touchées, perturbation des activités liées au cours d’eau.

NIVEAU 1
Pas de vigilance
particulière requise.
Situation normale.



***Une exposition pour en savoir plus :

Dès la fin janvier 2010, le conseil général des Hauts-de-Seine évoque, un siècle après, la grande crue de la Seine de janvier 1910 à travers une exposition, des cycles de rencontres, des débats et des animations dans le département.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre du rendez-vous annuel de la culture scientifique « La Science se livre » dont le thème cette année est l’eau, un enjeu essentiel du XXIe siècle.

L’exposition retrace le déroulement de cette crue, qui arrive en moyenne une fois par siècle, et présente les mesures de prévention mises en place par le Conseil général pour atténuer les effets de ce type de phénomène.

*Informations pratiques
Cette exposition est proposée au public dans quatre lieux des Hauts-de-Seine :

> Du 28 janvier au 13 mars
A Boulogne-Billancourt – Hôtel de Ville - 26, avenue André-Morizet.

> Du 26 janvier au 6 février
A Suresnes – médiathèque : du 26 janvier au 6 février - 5, rue Ledru-Rollin.

> Du 20 janvier au 8 février
A Sèvres – médiathèque : du 20 janvier au 8 février - 8, rue de Ville-d’Avray.

> Du 8 au 21 février
A Puteaux - dans le hall du palais de la médiathèque, 122 rue de la République

Hauts-de-Seine.net

Bien à vous,

Morgane BRAVO

*La « Cnil européenne » : plus de transparence sur l'ACTA...*

***La « Cnil européenne » demande plus de transparence sur l'ACTA.

Le contrôleur européen de la protection des données s’inquiète du flou entourant la négociation de l'Anti-Counterfeiting Trade Agreement, un accord anticontrefaçon, et des mesures relatives à Internet qui pourraient y figurer.

C'est l'Arlésienne qui excite le Web depuis plusieurs semaines : l'ACTA. Ou Anti-Counterfeiting Trade Agreement, un accord international de lutte contre la contrefaçon qui concerne aussi bien le monde physique que le piratage sur Internet.

Une dizaine de pays ainsi que l'Union européenne participent à des négociations au Mexique. Et c'est à peu près tout ce qu'il y a de sûr. Le contenu des discussions n'est pas public, les participants n'ont fait aucune communication, on ne sait pas qui négocie exactement, ni sur quoi, et seuls quelques documents de travail fuitent de temps en temps (notamment par le biais du site Wikileaks.org). Mais ces quelques rumeurs suffisent à alimenter les inquiétudes, notamment sur une généralisation du filtrage, la surveillance d'Internet ou la riposte graduée à la française.

Au point qu'un officiel européen a tenu à exprimer son trouble lundi 22 février. Dans un document de vingt pages (à lire ici, en anglais), le contrôleur européen de la protection des données (CEPD), Peter Hustinx, demande plus de transparence sur ces négociations et déplore de ne pas avoir été consulté pour le contenu du futur accord.

Le CEPD est un organisme indépendant dont le rôle s'apparente à celui de la Cnil en France, mais pour ce qui relève de l'administration européenne. Il contrôle, rend des avis, peut être consulté dans le cadre de travaux législatifs, etc.

Inquiétude autour de la riposte graduée
Or, comme l'Union européenne participe aux discussions de l'ACTA, Peter Hustinx a décidé de faire entendre sa voix, même s'il n'a pas plus d'informations sur la teneur des débats, comme il le reconnaît lui-même. Il n'exprime donc que des considérations d'ordre général. Ainsi, il forme le souhait que la protection de la vie privée et des données personnelles soit prise en compte dès le début dans les négociations.

Le CEPD s'inquiète notamment de ce que la riposte graduée, avec la sanction d'une coupure de l'accès à Internet, puisse se généraliser dans le monde. Or, « de telles mesures sont hautement intrusives pour la sphère privée. Elles impliquent un contrôle global des activités des internautes, y compris celles qui sont parfaitement légales », souligne le CEPD.

Il estime même que la coupure d'Internet est une mesure disproportionnée et n'a rien de nécessaire pour faire respecter le droit d'auteur sur le Net. Et va jusqu'à préciser que faire respecter la propriété intellectuelle ne justifie pas de bafouer des « droits fondamentaux ».

C'est donc un genre de rappel à l'ordre et aux lois qu'adresse le contrôleur européen de la protection des données, mais sur des principes généraux. Tant qu'on n'en saura pas plus sur les discussions qui ont lieu au Mexique, il ne pourra de toute façon pas être plus concret.

Arnaud Devillard
01Net
23/02/2010

Immigration : nouvelles mesures pour préserver les talents au Québec



***L’entrée en vigueur du Programme de l’expérience québécoise (PEQ) visant à faciliter l’accès à la résidence permanente aux travailleurs temporaires spécialisés et aux étudiants étrangers diplômés présents au Québec a été annoncée le 15 février dernier, par la ministre de l’Immigration et des Communautés culturelles, Yolande James.

« Environ 28 000 étudiants étrangers fréquentent nos universités et nos cégeps. Ils sont jeunes, brillants et connaissent bien le Québec. Nous avons avantage à retenir les personnes formées ici. Les travailleurs temporaires spécialisés, pour leur part, comblent déjà des besoins de main-d’œuvre qualifiée, notamment dans les domaines des technologies de l’information, de la recherche scientifique et des métiers spécialisés. Leur intégration, comme celle de leur famille, est bien amorcée. Plusieurs désirent s’établir au Québec de façon permanente et nous allons maintenant faciliter leurs démarches », a déclaré la ministre.

Cette mesure a pour objectif de combler rapidement les besoins pressants du marché du travail québécois en permettant un accès plus simple et rapide à la résidence permanente à ces deux catégories de candidats. Contrairement aux demandes régulières de Certificat de sélection du Québec (première étape de la demande de résidence permanente), celles déposées par les étudiants étrangers diplômés d’une institution québécoise et les travailleurs temporaires spécialisés, seront toutes traitées sur dossier et ne seront pas soumises à la grille de sélection habituelle.

Pour bénéficier des avantages du PEQ, les personnes visées doivent démontrer une connaissance de niveau intermédiaire du français et satisfaire à l’une des deux conditions suivantes :

avoir obtenu au Québec un diplôme d’études d’une université ou d’un établissement d’enseignement reconnu par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport. Cette mesure est rétroactive aux diplômes délivrés depuis le 13 février 2008;
être un travailleur temporaire et occuper un emploi à temps plein de niveau cadre, professionnel ou technique depuis un an au Québec.

*Programme de l’expérience québécoise :
http://www.immigration-quebec.gouv.qc.ca/fr/immigrer-installer/etudiants/demeurer-quebec/demande-csq/index.html

Gouvernement du Québec
22 février 2010

Bien à vous,

Morgane BRAVO

lundi, février 22, 2010

***Vers une Europe fédérale?...***


***La crise financière grecque et l'incertitude qu'elle fait peser sur l'euro a relancé la réflexion au sujet l'intégration européenne. Depuis plusieurs années, des économistes affirmaient qu'une union monétaire devait s'appuyer sur une politique économique coordonnée, sur une banque centrale disposant de moyens pour agir et sur un système de transferts permettant de modérer les écarts de richesse entre les pays membres. La crise grecque semble confirmer leurs dires.

Le président français, Nicolas Sarkozy, soutient depuis la crise financière mondiale que l'Union européenne devrait se doter d'un «gouvernement économique». Il y a quelques jours, l'idée a reçu pour la première fois le soutien, au moins verbal, de l'Allemagne.

Comme tout ce qui concerne l'intégration européenne, il y a encore loin de la parole aux actes. N'empêche, la volonté d'une meilleure coordination des politiques économiques et budgétaires croîtra chaque fois qu'une crise locale affaiblira la devise européenne. Déjà, les pays riches de l'Union exercent de fortes pressions sur le gouvernement grec pour qu'il mette en place un plan d'austérité très dur.

Selon un acteur expérimenté de la scène européenne, l'ancien premier ministre belge Jean-Luc Dehaene, l'Union européenne est à un tournant. Invité à Montréal par le think tank L'Idée fédérale (dont l'auteur de ces lignes est un des fondateurs) et par le Conseil de relations internationales de Montréal (CORIM), M. Dehaene a expliqué sa vision des choses devant quelque 250 personnes.

De dire ce député du Parlement européen, l'Europe devra de plus en plus «parler d'une seule voix» si elle veut conserver son influence: «À l'heure du G20, alors que des puissances émergentes comme la Chine, l'Inde et le Brésil jouent un rôle de plus en plus important, l'Europe ne peut pas se permettre d'être représentée par plusieurs acteurs: la France, la Grande-Bretagne, la Commission européenne...»

Il n'y a pas que les difficultés budgétaires de la Grèce qui devraient amener les Européens à changer leurs façons de faire. C'est aussi le cas d'autres dossiers réglés à l'international, par exemple les changements climatiques. Jean-Luc Dehaene raconte que les politiciens européens ont été traumatisés par une photo prise à la conclusion de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques, photo où on voit réunis les principaux auteurs de l'entente finale: aucun dirigeant européen n'y figure...

L'Union européenne doit donc envisager une plus grande intégration. Cette intégration se fera nécessairement à l'aide de «techniques fédérales» mais, affirme l'ancien premier ministre belge, «l'Europe ne sera jamais un État fédéral». L'UE est tout simplement trop complexe: «Imaginez un candidat à la présidence de l'Europe: il devrait faire campagne dans 27 pays en 23 langues!».

Confortées par l'union monétaire, plusieurs régions d'États-membres ont réclamé et obtenu une plus grande souveraineté, la Catalogne et l'Écosse notamment. Selon Jean-Luc Dehaene, ce mouvement de décentralisation n'est pas en contradiction avec le renforcement de l'Union.

En entrevue au Devoir, il précise sa pensée. Si l'Europe doit parler d'une seule voix, les pays devront transférer des compétences supplémentaires au niveau supranational. «Là est tout le débat, dit-il. Est-ce qu'une partie des États membres se rendront compte que leur souveraineté est devenue fort théorique dans le monde global et qu'ils ne la regagneront qu'en faisant un pool de souveraineté au niveau de l'UE?» De la réponse donnée à cette question dépendra la cohésion, et donc l'avenir de l'Europe.

André Pratte
Cyberpresse
21 février 2010

*L'Europe veut encadrer les banques...*


***La presse européenne du 19/02/2010

Des règles plus strictes attendent les banques européennes après la crise financière. Les gouvernements et la Commission européenne veulent mieux protéger les épargnants et augmenter la responsabilité des établissements financiers. La presse salue en principe ces objectifs mais elle met aussi en garde contre les dangers d'une surrégulation.

Financial Times Deutschland - Allemagne
D'après une information confidentielle, la Commission européenne prévoit de demander aux banques des placements plus sécurisés. Les épargnants doivent ainsi être mieux protégés des pertes. Mais ce plan ne devrait pas avoir pour but de punir trop sévèrement les banques, requiert le journal libéral économique Financial Times Deutschland : "Toute une série de propositions circule actuellement ; cela va du renforcement des directives concernant le capital propre au versement obligatoire d'une redevance dans un fonds de sauvetage des banques ou dans les caisses de l'État, en passant par l'interdiction du commerce indépendant et à la titrisation des crédits. Leur point commun, c'est de vouloir protéger la communauté des erreurs commis par le monde financier, mais aussi d'accabler les banques.... Il faudrait que les gouvernements et les autorités de régulation réfléchissent bien à la manière exacte dont ils veulent faire rentrer l'argent, et comment ils veulent s'en servir le plus raisonnablement possible. Contrairement à ce que les bénéfices élevés de quelques établissements pourraient laisser penser, ceux-ci ne disposent eux-mêmes pas de fonds très importants. Quand les premières directives entreront en vigueur et qu'en outre les banques centrales renforceront la politique monétaire très laxiste, la marge de manœuvre se rétrécira aussi pour l'octroi de crédits. C'est à cela que l'UE devrait penser au moment de déterminer le montant des versements dans le fonds de garantie des dépôts." (19.02.2010)

Berlingske Tidende - Danemark
Le système de régulation pour les banques danoises doit être adapté suite à la crise financière. Le dialogue avec les banques est à privilégier, estime le quotidien Berlingske Tidende : "Les demandes inflexibles de garantie des crédits des banques peuvent entraîner la naissance d'un marché sclérosé pour les crédits immobiliers, comme nous l'avons connu dans les années 1980, lorsqu'un quart de toutes les transactions immobilières étaient garanties par des obligations hypothécaires aux taux d'intérêt surélevés. La meilleure garantie que de nouvelles règles n'engendrent pas de répercussions néfastes, c'est d'initier un dialogue à ce sujet avec les banques. Au Danemark et en Europe, elles ont montré leur humilité, et veillé intelligemment à demander elles-mêmes une surveillance publique plus stricte. Il se peut que cette humilité soit le résultat d'un calcul tactique, mais il serait idiot de ne pas la mettre à profit actuellement pour obtenir un règlement qui prévienne à temps de l'arrivée des crises." (19.02.2010)

Die Presse - Autriche
L'Autriche elle aussi débat de l'introduction d'une nouvelle taxe bancaire. Le quotidien Die Presse estime que les établissements financiers doivent apporter leur contribution, mais ils doivent pour cela s'inspirer de modèles fiscaux intelligents : "Depuis que Messieurs Obama, Brown et Sarkozy ont piqué leur colère à la suite des actions bouffonnes de leurs banques, on se met à reparler d'une imposition orientée des banques. Les banques doivent apporter leur contribution à la gestion de la crise. Les quelque neuf pour cent d'intérêts qui doivent être payés en contrepartie du capital propre prêté par l'État, sont définitivement insuffisants. D'une manière ou d'une autre, il faudra les amener à apporter des 'provisions de garantie' … . Les trois grandes banques nationales ont maintenant tous les chiffres de leur bilan qui dépassent la moitié de leur PIB - elles devront ainsi être soutenues dans le cas où la situation deviendrait critique. Mais dans ce cas, à l'aide de modèles fiscaux qui poussent le secteur dans une direction saine. Et non avec des taxes substantielles qui sont finalement payées par les clients." (19.02.2010)

Eurotopics

samedi, février 20, 2010

*RÉGIONALES : LES LISTES DE LA MAJORITÉ PRÉSIDENTIELLE*


***ELECTIONS REGIONALES DES 14 ET 21 MARS 2010

RÉGIONALES : LES LISTES DE LA MAJORITÉ PRÉSIDENTIELLE :

2076 candidats dans 26 régions (1910 en métropole et 166 en Outre-mer) porteront les valeurs et les engagements de la majorité présidentielle pour les élections régionales qui se dérouleront les 14 et 21 mars prochain.

Pour connaître dans le détail la composition des listes de chacune des régions,
cliquez sur le nom de la région de votre choix ou sur la photo de la tête de liste régionale.

*CI-DESSOUS :
http://www.lemouvementpopulaire.fr/actualites/Regionales-2010-les-listes-de-la-majorite-presidentielle-3529.html

* 'Île-de-France :
Département de Paris, Département des Hauts-de-Seine... :
http://statique.lemouvementpopulaire.fr/listes_regionales_2010/liste_regionales_2010_ile-de-france.pdf

Bien à vous,

Morgane BRAVO

*Le Palmarès des 271 régions de l'Union : Eurostat*


***Eurostat, l’office statistique de l’Union, a publié un classement des régions les plus riches en Europe, mais aussi des plus défavorisées.

Plus d'une région sur sept est au-dessus de 125% de la moyenne de l'UE27 et une sur quatre est en dessous de 75%

**PIB régionaux par habitant en 2007 :

Le PIB par habitant variait entre 26% de la moyenne de l’UE27 dans la région du Severozapaden en Bulgarie et 334% dans celle d'Inner London.

En 2007, exprimé en standards de pouvoir d'achat1, le PIB par habitant2 des 271 régions NUTS-23 de l'UE27 variait entre 26% de la moyenne de l'UE27 dans la région du Severozapaden en Bulgarie et 334% de cette moyenne dans la région d'Inner London au Royaume-Uni.

Ces informations sont extraites des données publiées par Eurostat, l'office statistique de l'Union européenne.
Plus d'une région sur sept au-dessus de 125% de la moyenne de l'UE27...

En 2007, les régions qui occupaient la tête du classement des PIB régionaux par habitant, étaient Inner London au Royaume-Uni (334% de la moyenne), le Grand-Duché de Luxembourg (275%), Bruxelles/Brussels en Belgique (221%), Hamburg en Allemagne (192%), Praha en République tchèque (172%) et l'Île de France (169%). Parmi les 41 régions dépassant le seuil de 125%, neuf régions se situaient en Allemagne, cinq aux Pays-Bas ainsi qu'au Royaume-Uni, quatre en Autriche, trois en Espagne ainsi qu’en Italie, deux en Belgique ainsi qu'en Finlande, une région en République tchèque, au Danemark, en Irlande, en Grèce, en France, en Slovaquie et en Suède, ainsi que le Grand-Duché de Luxembourg.

Il convient de noter cependant que, dans certaines régions, le niveau du PIB par habitant peut être fortement influencé par les flux de navetteurs. Les arrivées nettes de navetteurs dans ces régions accroissent la production à un niveau qui ne pourrait être atteint par la seule population active résidente. En conséquence, le PIB par habitant apparaît être surestimé dans ces régions et sous-estimé dans les régions où habitent les navetteurs.

... et une sur quatre en dessous de 75%

Les régions ayant le plus faible PIB par habitant se situaient toutes en Bulgarie et en Roumanie, les niveaux les plus bas étant enregistrés dans la région de Severozapaden en Bulgarie (26% de la moyenne), suivies de celles du Nord- Est en Roumanie ainsi que de Severen tsentralen et Yuzhen tsentralen en Bulgarie (27% chacune). Parmi les 66 régions disposant d’un PIB par habitant inférieur à 75% de la moyenne, quinze régions se situaient en Pologne, sept en Grèce ainsi qu'en Roumanie, six en Bulgarie, en République tchèque ainsi qu'en Hongrie, quatre en Italie ainsi qu'au Portugal, trois en Slovaquie, deux (départements d'outre-mer) en France, une région en Espagne, en Slovénie et au Royaume-Uni, ainsi que l’Estonie, la Lettonie et la Lituanie.

*******************************************************
PIB régionaux par habitant dans l'UE27 en 2007
(en SPA, UE27 = 100)

*Les vingt plus élevés :
1. Inner London (UK)
2. Luxembourg (LU)
3. Bruxelles-Cap. / Brussels Hfdst. (BE)
4. Hamburg (DE)
5. Praha (CZ)
6. Île de France (FR)
7. Southern & Eastern (IE)
8. Groningen (NL)
9. Oberbayern (DE)
10. Stockholm (SE))
11. Wien (AT)
12. Bratislavský Kraj (SK)
13. Bremen (DE)
14. Berkshire, Buckinghamshire & Oxfordshire (UK )
15. Darmstadt (DE)
16. Utrecht (NL)
17. North Eastern Scotland (UK)
18. Hovedstaden (DK)
19. Noord-Holland (NL)
20. Åland (FI)

*Les vingt plus bas :
1. Severozapaden (BG)
2. Nord-Est (RO)
3. Severen tsentralen (BG)
4. Yuzhen tsentralen (BG)
5. Yugoiztochen (BG)
6. Severoiztochen (BG)
7. Sud-Vest Oltenia (RO)
8. Sud-Est (RO)
9. Sud-Muntenia (RO)
10. Podkarpackie (PL)
11. Lubelskie (PL)
12. Észak-Alföld (HU)
13. Észak-Magyarország (HU)
14. Nord-Vest (RO)
15. Podlaskie (PL)
16. Warmińsko-Mazurskie (PL)
17. Dél-Alföld (HU)
18. Swietokrzyskie (PL)
19. Centru (RO)
20. Dél-Dunántúl (HU)
***********************************************
http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_PUBLIC/1-18022010-AP/FR/1-18022010-AP-FR.PDF

Eurostat
18 février 2010

Bien à vous,

Morgane BRAVO

vendredi, février 19, 2010

***STRESS PROFESSIONNEL : DRH, REAGISSEZ !***


***STRESS PROFESSIONNEL : DRH, REAGISSEZ !
Par Eric SAUNIER

Un nombre stupéfiant de Dirigeants et de DRH ignorent à quel point leurs collaborateurs sont en souffrance. Pire encore, ils tournent leur stress en dérision. Après tout, pensent-ils, c’est leur problème, jusqu’au jour où... La question cruciale qui se pose aujourd’hui est de savoir comment concilier valorisation de son capital humain et enjeux stratégiques, une synergie où tout le monde y gagne à la fois en terme de qualité de vie au travail et en terme de performance. L’union de ces deux aspirations fondamentales semble pourtant constituer maintenant un socle solide et ferme qui garantit la pérennité de nos entreprises.

Dans le but de faciliter une action à ce niveau, un système de bonus-malus pour les AT –MP vient d’être mis en place début février dans le cadre du PLFSS afin d’inciter les entreprises à s’engager dans une démarche de prévention, le bonus proposant un dispositif d’aides financières sous la forme de subventions directes, le malus prévoyant un plancher de majoration de cotisations assez élevé.

Nous vous proposons de vous accompagner dans cette démarche, en accord avec les préconisations de l’ANACT, par la création d’une ‘Cellule de gestion des syndromes professionnels’ en partenariat avec les acteurs de la santé au travail, la DRH, le CHSCT, un membre du comité de Direction et une représentation managériale. Pour les plus petites entreprises, des actions similaires sont à envisager sous une forme simplifiée : consultations préventives, formations...

Osez en parler à votre Direction: cette initiative est innovante, salutaire, vecteur de performance et de management durable.

ERIC SAUNIER FORMATION

Eric SAUNIER, Consultant formateur
auteur de 'Et si on travaillait sans stress !' Seuil 2007


Presse récente : Usine Nouvelle
Liaisons Sociales
Le Parisien
Affiches Parisiennes (Le Publicateur Légal - La Vie Judiciaire)
l'Indépendant
Alternative Santé
Vie Pratique Madame (dossier)
Vie Pratique Santé (dossier)
Les Nouvelles des Yvelines (9 déc. 2009)

Contact :
E.Mail : ericsaunier@free.fr
Site : www.businessrelax.fr

Bien à vous,

Morgane BRAVO
http://www.bravo-associatesw.com

jeudi, février 18, 2010

***FRANCOIS FILLON : "FRANCE.9"***


***Le président de l'Association France.9, François FILLON :

Nous a convié à une réunion des adhérents de France.9
le 17 Février à l'Hôtel de Matignon à Paris.

*BREF APERCU :
Photos : Morgane BRAVO

M. François FILLON, Premier Ministre











M. Philippe GOUJON, Député-Maire Paris 15ème. Président de la Fédération UMP de Paris


(à droite) M. Alain CADEC,
Député Européen, Vice-Président de la Commission Pêche.
Conseiller Général des Côtes d'Armor





M. Vincent ROGER, Conseiller de Paris








M. Jean-Jacques GIANNESINI,
Conseiller de Paris, Conseiller du 19e arrondissement. Vice-Président Délégué du Groupe UMP.






Morgane BRAVO


***Cette réunion a permis d'évoquer les échéances 2010 à venir...dans une ambiance très agréable & conviviale!***

Bien à vous,

Morgane BRAVO

mardi, février 16, 2010

*RENCONTRES INTERNATIONALES : DES ANCIENS DE LA CIUP...*



***2010 est une année de fête pour la Cité internationale universitaire de Paris, qui célèbre l’un de ses pères fondateurs, André Honnorat, disparu il y a 60 ans.

C’est l’occasion d’organiser une grande première : les « Rencontres Internationales des Anciens de la Cité ». La Cité internationale souhaite ainsi renouer avec ses anciens résidents, qui ont fait la vie de la cité internationale depuis sa création en 1925.

La Cité internationale et l’Alliance Internationale, association des anciens résidents, vous invitent à participer à cet événement qui se tiendra le week-end des 28 et 29 août 2010 à la Cité internationale à Paris.

Quels que soient l’époque à laquelle vous avez vécu à la Cité internationale, votre lieu de résidence actuel, votre âge, cet événement est pour vous !

Concerts, expositions, cocktails, soirées, tables rondes, visites thématiques de la Cité, nombreuses activités pour se souvenir de nos « années Cité », visite exclusive d’un monument parisien exceptionnel, ....

Pour celles et ceux qui viendront de l’étranger ou de région, un hébergement dans les logements de la Cité internationale vous est proposé, pour mieux vous replonger dans l’atmosphère de votre séjour.

*INSCRIVEZ-VOUS DES MAINTENANT ET PROFITEZ DE LA REDUCTION « PREMIERS INSCRITS » AVANT LE 30 AVRIL 2010

http://www.allianceinternationale.org

*LA CITE INTERNATIONALE AU JOURNAL DE TF1 :
http://parisgrandparisfranceauxxiesiecle.20minutes-blogs.fr/archive/2009/12/22/la-cite-universitaire-un-paris-tf1.html


***HUB sur VIADEO : ANCIENS RESIDENTS: CITE INTERNATIONALE UNIVERSITAIRE DE PARIS :
http://www.viadeo.com/hu03/002gg65y4donxpy/anciens-residents-cite-internationale-universitaire-de-paris

A SUIVRE...

Bien à vous,

Morgane BRAVO

*Les réseaux sociaux : nouvelles sources pour les journalistes*



***Peter Horrocks, le nouveau patron de BBC Global News, a été clair dès son arrivée : les journalistes doivent apprendre à se servir des réseaux sociaux et le faire effectivement. "Ils ne font pas leur boulot s'ils ne savent pas faire ça. Ce n'est pas facultatif", a-t-il tempêté.

Aux Etats-Unis, ces nouvelles sources comment à s'installer dans les usages, révèle une étude réalisée par le cabinet d'études Cision et la George Washington University auprès de journalistes de la presse écrite et Internet.

Plus de la moitié des journalistes sondés (56%) estime que les médias sociaux ont eu une certaine importance dans l'enquête et la production de certains articles. La statistique est tirée vers le haut par les journalistes du Web (69%), vers le bas par ceux qui travaillent en presse magazine (48%). Au total, 28% n'y accordent peu ou pas d'importance.

Quelles sont leurs sources sociales ? Les blogs restent loin devant, cités par 89% des journalistes. Les réseaux sociaux come LinkedIn et Facebook sont utilisés par 75% des journalistes Web, 72% des journalistes de presse quotidienne et 58% des journalistes de presse magazine.

Le micro-blogging perce doucement : très largement adopté comme source par les journalistes Web (69%), il commence à séduire les plumes de la presse quotidienne (49%) et magazine (45%).

Prêts à écouter ces sources, les journalistes n'en sont pas moins prudents sur leur qualité : 84% des sondés estiment que les contenus des médias sociaux sont moins ou légèrement moins fiables que ceux contenus dans les médias traditionnelles. Plus un journaliste est expérimenté, plus il semble se méfier de ces sources, être issu de la presse écrite renforce encore cette idée. Principal grief : le manque de vérification (cité par 49% des sondés).

La fiabilité de l'info sur les médias sociaux

Enfin, les journalistes embrassent aussi les médias sociaux pour publier, partager et promouvoir leurs papiers : 64% utilisent le blog, 60% les réseaux sociaux et 57% des sites comme Twitter. Ils se fient ensuite à l'audience, au nombre de liens entrants, aux commentaires et follower sur Twitter pour mesurer l'impact d'un papier.

Marie-Catherine Beuth
Le Figaro
15 février 2010

lundi, février 15, 2010

*Retraite à 60 ans, durée de cotisation : les paramètres sur la table des négociations...*


***En moins de vingt ans, quatre rendez-vous majeurs (1993, 1995, 2003, 2007) ont déjà eu lieu sur les retraites. Le constat est connu depuis le Livre blanc sur les retraites que Michel Rocard avait préfacé en 1991. Le régime par répartition, mis en place au lendemain de la seconde guerre mondiale, se retrouve aujourd'hui sous la double pression de la démographie et du chômage. Il est fondé sur la solidarité intergénérationnelle puisque les cotisations des actifs financent la pension des retraités.

Une retraite sur dix n'est plus financée. Alors qu'au moment de la création du système on comptait quatre cotisants pour un retraité, ce ratio tombera à 1,2 à l'horizon 2050. C'est la conséquence du vieillissement de la population et de la persistance d'un taux de chômage élevé. "Dès 2010, une retraite sur dix n'est plus financée", déclarait Xavier Darcos, le ministre du travail, le 12 janvier. Cette année, le déficit devrait tourner autour de 10 milliards d'euros. François Fillon répète que, "si nous ne faisons rien, il manquera 100 milliards par an à l'horizon 2050". Dans le rapport qu'il publiera mi-avril, le Conseil d'orientation des retraites (COR) insistera sur le fait qu'un taux de chômage durablement élevé pourrait en plus aggraver le déficit de quelque 30 milliards d'euros à l'horizon 2050. Le gouvernement a d'ores et déjà évoqué quelques pistes de réforme.

Repousser l'âge légal de la retraite. En France, la retraite à 60 ans, effective depuis le 1eravril 1983, n'a pas bougé sur le papier depuis cette date. Une exception en Europe, où le seuil légal est généralement de 65, voire de 67 ans.

Dans la réalité, l'âge moyen auquel les salariés font valoir leur droit au départ est de 61,5 ans, tandis que l'âge moyen de cessation d'activité tourne, lui, autour de 58 ans. Comme le souligne Danièle Karniewicz, la présidente de la Caisse nationale d'assurance-vieillesse (CNAV), 40% des salariés ne sont plus en activité au moment de faire valoir leurs droits à la retraite : ils sont au chômage, en maladie ou en invalidité.

Repousser l'âge légal est politiquement sensible, mais c'est le paramètre qui permet les économies les plus rapides. Les salariés pourraient toujours anticiper leur départ, mais ils verraient leurs pensions diminuer d'une décote. Le COR avait estimé qu'à l'horizon 2020 le gain d'un passage à 62 ans serait de 6,6 milliards d'euros. A condition que cet allongement touche tous les salariés. Y compris ceux qui ont commencé à travailler dès 16 ou 17 ans. Dans un tel système, ils seraient les premiers pénalisés. C'est la raison pour laquelle la plupart des syndicats y sont hostiles.

Augmenter la durée de cotisation. C'est sur ce paramètre qu'avait joué la loi Fillon de 2003, portant la durée de cotisation à 41ans à l'horizon 2012 dans le privé comme dans le public avec en perspective 41,5 ans en 2020.

Un nouvel allongement de la durée de cotisation aurait pour conséquence de repousser l'âge effectif de départ à la retraite. Compte tenu de l'entrée de plus en plus tardive sur le marché du travail (22 ou 23 ans), il faudrait ainsi travailler jusqu'à 64 ans, voire 65 ans pour pouvoir bénéficier d'une retraite à taux plein.

Les femmes qui ont souvent des carrières discontinues, avec des périodes d'inactivité plus longues et plus nombreuses que les hommes, risquent d'être les premières pénalisées. Selon le COR, "celles qui sont parties en retraite en 2004 ont validé en moyenne 20 trimestres de moins que les hommes". Leurs pensions sont en moyenne de 40 % inférieures à celles des hommes.

Améliorer le fonctionnement du marché du travail. Le gouvernement ne peut faire l'impasse sur l'emploi des seniors. Or le taux d'emploi des 55-64 ans n'est que de 38,2 % en France, contre 45 % en moyenne dans l'Union européenne. Depuis dix ans, les plans seniors se succèdent donc. Le dernier en date a instauré, à partir du 1erjanvier 2010, des pénalités pour les entreprises de plus de cinquante salariés qui n'auraient pas conclu un accord ou un plan d'action relatif à l'emploi des salariés âgés.

A l'autre extrémité du marché du travail, il faut aussi favoriser l'accès à l'emploi des jeunes, faute de quoi l'allongement de la durée de cotisation n'aurait guère de sens. Les syndicats proposent aussi de prendre en compte les périodes de formation ou d'apprentissage dans la durée de cotisation.

D'autres pistes de financement. Tablant sur une amélioration de l'emploi, la réforme de 2003 prévoyait un transfert des cotisations chômage vers les cotisations retraites. L'augmentation du chômage ne l'a pas permis. François Fillon maintient cependant cet objectif, que le patronat a accepté à condition qu'il n'entraîne aucune hausse de cotisations.

Les syndicats insistent, eux, sur la nécessité de trouver d'autres sources de financement comme la taxation des stock-options, de l'intéressement et de la participation. Certains dénoncent les exonérations de charges sociales.

Rémi Barroux
Le Monde
16.02.10

dimanche, février 14, 2010

*Record de plaintes à l'égard des banques...*


***La gestion des opérations de crédits ou la contestation des tarifications des banques figurent parmi les premiers motifs de mécontentement des clients.

Les plaintes auprès de la Médiation bancaire de particuliers, mécontents de la gestion de leur banque, ont atteint en 2008 le niveau record, en hausse de 15,7% par rapport à 2007, selon le bilan annuel publié lundi par la Banque de France.

Un boom qui s'explique notamment par l'extension du domaine de compétence des médiateurs bancaires, qui traitent désormais de tous les litiges concernant les crédits, à l'exception de ceux relatifs à leur octroi. Mais également par la crise financière. De nombreux plaignants ont ainsi connu des difficultés à obtenir ou à proroger en 2008 des crédits-relais, qu'ils pensaient auparavant pouvoir obtenir facilement, le remboursant une fois leur logement vendu. Le début de la crise immobilière a perturbé le processus, les banques se montrant par la suite beaucoup plus frileuses pour ce type de crédit.

Les banques sous le feu des critiques
La gestion des opérations de crédit constitue cependant la principale cause de litige (23% des cas), suivie de près par le fonctionnement du compte de dépôt (22%). Les clients protestent aussi fréquemment contre la tarification des banques (15% des cas), et contre les moyens de paiement (14% des cas), comme les chèques et les cartes de crédit. Concernant la tarification, les réclamations sont souvent irrecevables : chaque banque étant libre de fixer ses tarifs, le client est en effet libre de changer de banque.

En 2008, les médiateurs ont finalement donné raison dans 53% des cas... aux banques, et non pas aux clients mécontents. Seules 30% des requêtes ont abouti à une décision totalement favorable au client, et 17% à une décision partiellement favorable.

Les banques n'en ont cependant pas fini de s'attirer les critiques de leurs clients. Début janvier, l'Afub (association des usagers des banques) avait en effet dénoncé le fait que certaines banques n'hésitent pas à fermer le compte de leurs clients parce qu'il n'est pas assez rentable. L'Afub déclare avoir reçu 508 plaintes en témoignant en 2009.

lefigaro avec agences
08/02/2010

samedi, février 13, 2010

*IDENTITÉ NATIONALE : LES PREMIÈRES MESURES CONCRÈTES...*


***Un débat structurel se poursuivra jusqu’en 2012 :

Le séminaire gouvernemental, point d’étape du débat sur l’identité nationale, a eu lieu lundi 8 février 2010 sous la houlette du Premier Ministre
Après plus de 350 réunions en régions et 58 000 contributions sur le site, le Premier Ministre a formulé plusieurs mesures :

Le drapeau tricolore sera accroché dans chaque établissement scolaire et les salles de classe afficheront la déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
Chaque élève aura un carnet de jeune citoyen et les cours d’éducation civique et républicaine seront renforcés
La « journée d’appel à la défense » sera modifiée pour en faire un « vrai rendez-vous citoyen ».
Le contrat d’accueil des étrangers sera soumis à des droits et devoirs renforcés
L'opération portes-ouvertes à l'école à destination des parents étrangers sera généralisée.
L'accès à la nationalité sera rendu plus solennel grâce à la généralisation des cérémonies d'accueil et à la signature d'une charte des droits et devoirs du citoyen.

Souhaité par les Français, mais instrumentalisé par l’opposition, ce débat sur l’identité nationale se devait d’être recentré par le Premier Ministre qui a annoncé la mise en place d’une commission de personnalités (parlementaires, intellectuels, historiens) chargée de suivre la mise en œuvre de ces mesures.

*74% DES FRANÇAIS « FIERS » D’ÊTRE FRANÇAIS
76% estiment qu’il existe une « identité nationale française »
Ces chiffres sont ceux d’un sondage réalisé par TNS Sofres pour le compte du ministère de l’Immigration et qui reprenait les questions posées dans le cadre du débat sur l’identité nationale.

Dans le détail, 36% sont « très fiers » d’être Français, 38% « assez fiers », 24% « pas spécialement fiers » et « 2% pas fiers du tout ».

A la question « Existe-t-il à vos yeux une identité française », 33% ont répondu « oui, tout à fait », 43% « oui, plutôt », 19% « non, pas vraiment » et 4% « non, pas du tout ».

SI pour 65% de nos concitoyens ont le sentiment que l’identité française s’affaiblit, 78% estiment que l’école doit contribuer à valoriser l’identité nationale, bien avant la famille (57%) .

Pour les Français, les éléments les plus importants de la représentation de la France sont : la liberté d’expression (98%), les droits de l’homme (97%), le système de protection sociale (97%), l’égalité entre les hommes et les femmes (96%), et la langue française (96%).

Ces chiffres ont été présentés vendredi 5 février lors d’un point presse où Eric besson a annoncé qu’il voulait pérenniser la réflexion sur le sujet.
Porte-parole de l’UMP, Dominique Paillé note « la pertinence du débat et son adéquation avec les aspirations des Français ».

UMP

****François Fillon : Séminaire Identité nationale...VIDEO*: http://bit.ly/aJ5EmB

Bien à vous,

Morgane BRAVO

vendredi, février 12, 2010

***CNN MEXICO :15 Février...***



***El lunes 15 de febrero se lanza el portal CNNMexico.com, que contará con los canales: Nacional, Mundo, Vida y Salud, Entretenimiento, Deportes, Tecnología, Economía...

Bien à vous,

Morgane BRAVO

*WEB 1.0, 2.0,3.0...*











***Web 3.0, ce que nous réserve le Web d'ici 2050 [Anticipation]***


Bien à vous,

Morgane BRAVO

mercredi, février 10, 2010

*Google met un pied dans le réseau social...*

***Pour rattraper les Facebook et consorts, Google a annoncé mardi soir le lancement de Buzz, un réseau social maison qui permettra aux internautes de suivre l'actualité de leurs contacts en quelques clics et d'échanger messages, photos et vidéos.

Ce service intégré à la messagerie Gmail, sera accessible dans quelques semaines. Google n'est pas resté impassible face à l'explosion de Facebook (400 millions d'utilisateurs dans le monde) et le succès de Twitter. La firme de Mountain View, qui attire déjà des milliards de connexions tous les mois avec son moteur de recherche, les vidéos de YouTube ou encore Google Maps, aura finalement bien son propre réseau social.

Avec Buzz, qui s'intègrera bientôt dans le menu du service de messagerie Gmail, l'internaute voit apparaître les commentaires et les dernières actualités de ses contacts ainsi que sur plusieurs réseaux sociaux. Le service prend déjà en charge Picasa, Twitter, Flickr, YouTube, Blogger, et Google Reader. Facebook n'est pas dans la liste, mais celle-ci devrait "encore s'allonger", dixit Google, Buzz ayant été conçu comme un système ouvert. A noter, les utilisateurs pourront choisir entre un mode privé ou public pour partager leurs avis, actualités, photos, vidéos, etc.

Google Buzz sera accessible dans quelques semaines, a indiqué Google dans un communiqué. Cet outil sera également disponible sur téléphone mobile (Google Android, iPhone, etc.).

Site : www.google.com/buzz

par Relaxnews et Serge Leblal

LeMondeInformatique

10/02/2010

*L'économie mondiale est-elle toujours convalescente ?*

***L'intégralité du débat avec Francesco Saraceno, économiste senior à l'OFCE, mercredi 10 février 2010

Dans un chat sur le Monde.fr, Francesco Saraceno, économiste senior à l'OFCE (centre de recherche en économie de Sciences Po), estime qu'il n'y a aujourd'hui aucun risque d'éclatement de la zone euro. Il souhaiterait que la crise actuelle soit l'occasion de relancer la formation d'un gouvernement économique européen et de mettre en place une régulation efficace des marchés financiers mondiaux.

Raoul : Pouvez-vous me réexpliquer un peu simplement les inquiétudes qui entourent aujourd'hui la situation de la Grèce ?

La Grèce est un tout petit pays de la zone euro qui a eu, par le passé, un comportement irresponsable du point de vue budgétaire, en allant jusqu'à falsifier l'état des comptes publics. Le gouvernement nouvellement élu s'est trouvé face à un double problème : une situation budgétaire déjà détériorée et les effets de la crise qui ont frappé toutes les économies mondiales. Le déficit budgétaire et la dette publique ont donc explosé en Grèce plus qu'ailleurs, même si la tendance a été la même pour tous les pays de la zone euro. Les difficultés de ces dernières semaines, en revanche, sont beaucoup plus difficiles à expliquer, parce qu'elles relèvent d'une attaque spéculative : les marchés sont en train de parier sur les difficultés pour la zone euro d'un éventuel défaut de la Grèce. Défaut que, je le dis tout de suite, je ne vois pas comme probable ni possible en fait.

Ab_ : On parle toujours d'abord de la Grèce, de l'Espagne et du Portugal. La situation de l'Irlande ou de l'Italie n'est-elle pas aussi préoccupante ?

Si, ce sont tous des pays qui, pour des raisons différentes, ont des difficultés budgétaires aujourd'hui. Et cela montre ce que je disais : les difficultés de la Grèce d'aujourd'hui sont plus liées à des attaques spéculatives qu'à ses problèmes de fond. Prenons l'Espagne. Avant la crise, l'Espagne était l'élève modèle de l'Union européenne, avec un niveau de dette très bas, beaucoup plus bas que celui de la France par exemple, et des déficits quasi nuls. Aujourd'hui, l'Espagne a des difficultés énormes parce qu'elle a fondé sa croissance des dernières années sur le secteur immobilier, secteur qui a été au cœur de la crise mondiale. Les difficultés que connaît l'Espagne en ce moment sont donc exclusivement liées à la crise, et pas à un comportement irresponsable de ses autorités budgétaires. Ses déficits et la montée de sa dette devraient donc être considérés par les marchés comme normaux, et non préoccupants. L'Italie, qui a une dette beaucoup plus élevée et qui a eu dans le passé une croissance beaucoup plus faible, devrait préoccuper les marchés beaucoup plus que l'Espagne ! Le fait que cela ne soit pas le cas montre bien qu'il s'agit ici d'abord de spéculation financière, et pas de prendre en compte les problèmes fondamentaux du pays.

Eddielesbonstuyaux : On voit les problèmes de la Grèce et des pays du sud de l'Europe. Y a-t-il selon vous un risque d'éclatement de la zone euro ?

Absolument pas. Premièrement, la Grèce est minuscule par rapport à l'Europe. En termes de PIB et en termes de dette. La dette grecque se situe autour de 3 % de la dette de la zone euro et la dette des "PIGS" (Portugal, Irlande, Grèce, Espagne) ne représente même pas 15 % de la zone. Par ailleurs, le stock de dettes cumulées par les Grecs est inférieur au déficit de deux années de la France. Donc en termes quantitatifs, le problème grec est négligeable pour la zone euro.

Deuxièmement, à part les spéculateurs, aucun autre acteur aujourd'hui n'aurait intérêt à une sortie de la Grèce de la zone ou à un éclatement de la zone euro. Les Grecs n'y ont pas intérêt, parce qu'une sortie de la zone euro voudrait dire une dépréciation violente de leur nouvelle drachme, et donc un risque accru de faillite. Les autres pays européens auraient deux problèmes. Le premier serait un effet de contagion : après le pion Grèce tomberaient d'autres pions ( l'Espagne, le Portugal, etc.) Le second, c'est que la dette grecque est détenue aussi par des institutions financières de gros pays européens, notamment l'Allemagne. Celle-ci ne pourrait pas imposer ce coût à son système financier.

Pour résumer, il s'agit d'un montant finalement pas très important, et tous les acteurs ont intérêt à payer le prix d'un sauvetage de la Grèce. Donc de façon implicite ou explicite, si nécessaire, la Grèce sera sauvée.

Drey : Qui va payer la sortie de crise de la Grèce ?

Le contribuable européen. Comme malheureusement cela a déjà été le cas pour le sauvetage du système financier mondial. Cet épisode grec montre donc encore une fois, et à quelques mois seulement de distance, ce qu'a montré le sauvetage des banques : les hedge funds (fonds spéculatifs) et les grands acteurs de la finance internationale jouent un jeu où ils n'ont rien à perdre et tout à gagner. Quand l'économie va bien, ils y gagnent car ils privatisent le profit, et quand les choses vont mal, ils mutualisent les pertes. L'épisode grec montre que la régulation des marchés financiers doit être la priorité n° 1 à moyen terme. La finance est trop importante pour être laissée sans règles efficaces.

tom selleck : Comment les pays "riches" de la zone euro peuvent aider concrètement ces pays en difficulté ?

Les traités européens en principe empêchent le sauvetage des pays membres en difficulté. Mais il y a des clauses qui permettent ce sauvetage dans des circonstances exceptionnelles. Le débat porte sur des questions de droit, mais je suis sûr que si une volonté politique d'aider la Grèce émergeait, on trouverait la façon de le faire au niveau européen. Sinon, on pourrait de toute façon avoir recours à des prêts bilatéraux, des initiatives individuelles de certains pays, ou, pourquoi pas, imaginer une intervention du Fonds monétaire international. Ce serait tout à fait possible et assez intéressant, mais cette hypothèse du FMI a été écartée par plusieurs responsables politiques européens qui la jugent humiliante pour l'Europe, qui devrait être capable de résoudre ses problèmes toute seule. Moi, ce que je trouve humiliant pour l'Europe aujourd'hui, c'est la cacophonie qui jusque-là a accompagné la crise grecque. Cette crise grecque, comme le plan de relance en 2008-2009, montre que l'Europe a besoin plus que jamais d'un vrai gouvernement économique. Car jusqu'ici les marchés ont pu spéculer sur l'incertitude et sur les vides au niveau européen.

*LA SUITE : http://www.lemonde.fr/economie/chat/2010/02/05/la-zone-euro-est-elle-menacee-d-eclatement_1301393_3234_1.html

Le Monde
05.02.10

*La Poste et les activités postales : Loi promulguée...*



***Mercredi 10 février 2010

Loi promulguée :

La Poste et les activités postales :

Loi n° 2010-123 du 9 février 2010 relative à l'entreprise publique La Poste et aux activités postales

Dossier
http://www.assemblee-nationale.fr/13/dossiers/activites_postales.asp

Bien à vous,

Morgane BRAVO

mardi, février 09, 2010

NOUVEAU : Une mise en page simplifiée facilite l’accès sur Facebook...

***Une mise en page simplifiée facilite l’accès à tout ce que vous aimez sur Facebook.



***Un guide pour la page d’accueil de Facebook :

*A GAUCHE*
Nouveaux messages et nouvelles invitations
Fil d’actualité, messages et autres fonctionnalités de base
Applications et jeux préférés
Liens vers la discussion instantanée avec vos amis en ligne

*A DROITE*
Liens vers les paramètres importants, déconnexion et pages d’aide
Rappels des anniversaires et des évènements
Discussion instantanée

Bien à vous,

Morgane BRAVO

*Legrand : imite Boutin au Meeting des Hauts-de-Seine...*


Legrand imite Boutin au Meeting des Hauts-de-Seine
envoyé par Europe-Ecologie-IdF. - L'info internationale vidéo.

***Meeting départemental des Hauts-de-Seine du 5 février à Antony avec Cécile Duflot...
Bien à vous,

Morgane BRAVO

lundi, février 08, 2010

*Le réchauffement de l'Arctique : serait beaucoup plus rapide...*


***Des chercheurs ont mené une étude d'une ampleur sans précédent dans le cercle polaire arctique. Suite à cela, ils assurent que le réchauffement climatique est beaucoup plus rapide que ce qu'annonçaient les pires scénarios concernant cette région.

A partir de juin 2007 et pendant quinze mois, plus de 370 scientifiques venus de vingt-sept pays se sont relayés dans un navire de recherche, le premier à avoir passé un hiver entier en restant mobile dans la région nord du cercle polaire. Ils y ont étudié les changements climatiques et leurs impacts sur l'environnement arctique.

Les résultats de cette étude sont extrêmement alarmants. Le réchauffement climatique se produirait en effet "bien plus vite que ne l'avaient prévu nos modèles les plus pessimistes" a déploré David Barber, enseignant à l'université du Manitoba et l'un des principaux chercheurs de l'étude. Ces modèles prévoyaient que l'océan Arctique serait libre de glace en été d'ici l'an 2100 or, après quinze mois passés dans la région, les experts estiment que l'accélération du réchauffement climatique pourrait entraîner cette fonte entre 2013 et 2030.

"Nous savons que la glace disparaît, le monde entier en est conscient. Ce dont on n'est pas conscient, c'est que cela a un impact sur tout ce qui se trouve dans cet écosystème" a souligné David Barber. Et d'expliquer qu'en raison de la fonte de la banquise, de nombreux mammifères ont dû s'éloigner de la région où ils se reproduisaient, chassaient et fuyaient leurs prédateurs, tandis que d'autres espèces, et notamment des baleines, peuvent désormais s'y rendre, leurs déplacements n'étant plus entravés par les glaces.

Le changement climatique engendre également plus de cyclones en Arctique et la neige que ceux-ci projettent sur la banquise l'empêche de s'épaissir, les vents violents cassant quant à eux la glace.

D'après le Pew Environment Group, cette fonte accélérée de l'Arctique pourrait coûter 2.400 milliards de dollars d’ici 2050, la capacité de la région à refroidir le climat mondial ne cessant de diminuer.

Maxisciences
*Photo : Maxisciences
08 février 2010

LES ENTREPRISES SONT-ELLES PRÊTES POUR L’INNOVATION ?

***Hélas, pas vraiment.
Et plusieurs études le confirment. Si, malgré la crise, les entreprises ont continué à investir en R&D, “une grande majorité d’entre elles risquent néanmoins de ne pas bénéficier de cet investissement lors de la reprise, faute de maturité”, conclut l’étude Logica-Insead “Etes-vous prêt pour l’innovation” publiée début décembre 2009.

A l’issue de trois enquêtes menées courant 2009, auprès d’entreprises américaines et européennes, le cabinet Accenture arrive à la même conclusion : “les entreprises considèrent l’innovation comme une priorité stratégique pour renouer avec la croissance, mais celles-ci sont mal équipées pour la piloter”. Bon, on s’en doutait un peu. Ce qui est intéressant, c’est que ces études pointent les lacunes dans la gestion de l’innovation.

Accenture a identifié 4 lacunes majeures. Dans l’ordre :
- l’incapacité à tirer les leçons des erreurs passées
- une aversion générale pour le risque
- une collaboration insuffisante
- le manque d’audace dans les actions menées.
“Peu d’entreprises disposent des moyens suffisants pour faire les analyses bénéfices/risques pourtant indispensables pour prendre en toute connaissance de cause les décisions liées à des objectifs ambitieux ; c’est pourquoi les entreprises sont souvent déçues du résultats de leurs efforts d’innovation”, commente Christian Auriach, responsables de l’entité efficience d’ Accenture en France et au Benelux. Son conseil : “Les dirigeants doivent piloter l’innovation par l’exemple, en favorisant la collaboration entre les services, en diffusant la stratégie d’entreprise jusqu’au bas de la pyramide et en insufflant à leurs équipes l’énergie nécessaire pour concevoir les produits phare de demain.” Facile à dire ! Moins à faire. Et surement pas suffisant.

Car les causes du manque de maturité en matière d’innovation sont plus profondes. 66% des entreprises (américaine et britanniques) interrogées par Accenture reconnaissent privilégier les résultats financiers à courts termes aux investissements long termes ! Et elles imputent principalement l’échec du lancement d’un nouveau produit à son inadéquation par rapport aux besoins des clients (57%), à une mise sur le marché tardive (54%), à un prix inadapté (52%), à l’absence de valeur ajoutée aux yeux des clients (50%), des problèmes de chaines logistiques (44%) et des prévisions erronées (43%). Des chiffres qui font quand même froid dans le dos. Surtout si les entreprises n’ont pas la capacité à tirer des leçons de leurs échecs.

Le rapport à l’échec est un des points saillants de la culture des entreprises européennes aussi mis en évidence par l’étude Logica-Insead. Si au Royaume-Uni, 50% des dirigeants d’entreprise pensent que leur organisation encourage les salariés à tirer des enseignements des échecs, ils ne sont que 44% au Portugal, 40% aux Pays-Bas, 38% dans les pays Nordiques et 20% en France ! “Certains entreprises interrogées ont même déclaré “nous n’innovons qu’à coup sûr ! “, raconte Bruno Lanvin, directeur ex”cutif du laboratoire de recherches eLab de l’Insead.
La peur de l’échec est souvent un héritage scolaire. Difficile donc d’agir directement.. En revanche il est possible de contourner un peu ce frein à l’innovation : “Il faut miser sur les succes story et intégrer dans les équipes des éléments disposant d’une autre culture. Des indiens par exemple”, suggère encore Thierry Lanvin. Soit. Mais comme c’est aux équipes de direction de montrer l’exemple. C’est peut-être déjà au niveau des “comex”, qu’il faudrait varier les profils.

Usine Nouvelle
21/12/2009

Identité nationale : les mesures envisagées par le gouvernement



***A l'issuedu séminaire gouvernemental sur l'identité nationale, lundi 8 février, François Fillon devait en tirer les premières décisions et fixer des orientations en demandant à certains de ses ministres d'y travailler. Lundi matin, les propositions discutées lors de plusieurs réunions qui se sont tenues depuis vendredi à l'Elysée et à Matignon, n'étaient pas encore arbitrées. Les idées proposées par le ministre de l'immigration, Eric Besson, mais également d'autres ministres, sont un mélange de mesures rappelant les droits et devoirs des étrangers arrivant sur le territoire ou voulant acquérir la nationalité française, et de mesures plus ouvertes, orientées sur le vivre ensemble. Beaucoup sont avant tout symboliques et ne demandent pas de modifications législatives. Matignon voulait retenir les propositions les plus intéressantes et les plus simples à mettre en œuvre. Voici quelques mesures soumises à l'arbitrage du premier ministre.

Renforcer le contrat d'accueil et d'intégration. Ce contrat, auquel sont soumis depuis 2007 tous les étrangers arrivant en France, comporte d'ores et déjà une formation civique centrée sur les principes et les valeurs de la République et le cas échéant, une formation linguistique modulable selon les besoins établis lors d'un bilan linguistique. Aujourd'hui minimal, le niveau de connaissance du français devrait être élevé. La secrétaire d'Etat à la famille, Nadine Morano, a également proposé d'inclure dans ce contrat une mention indiquant explicitement l'interdiction du port du voile intégral et des mutilations sexuelles.

Parrainages républicains. Le ministre de l'immigration a proposé d'instaurer un parrainage entre des citoyens volontaires et des ressortissants étrangers dans leur démarche d'intégration.

Solenniser, par un serment citoyen, l'accession à la citoyenneté des étrangers. Les étrangers au moment de leur naturalisation seraient appelés à attester solennellement de leur connaissance d'une "Charte des droits et devoirs".

Ouvrir l'école aux parents. En 2008, Brice Hortefeux et Xavier Darcos, alors respectivement ministres de l'immigration et de l'éducation, avaient lancé "l'école des parents", afin de permettre aux immigrés d'améliorer leur français et de mieux connaître le cadre scolaire. Cette "école des parents" pourrait désormais être ouverte à l'ensemble des parents, étrangers comme français.

La Déclaration des droits de l'homme affichée dans toutes les classes. L'idée est proposée par Luc Chatel, ministre de l'éducation.

Faire chanter "La Marseillaise" aux jeunes Français au moins une fois par an. Cette mesure avait été proposée dès le lancement du débat en novembre 2009 par M. Besson. Mais certains au sein du gouvernement, dont Luc Chatel, craignent une crispation des enseignants, d'autant que l'enseignement de l'hymne national est déjà inscrit dans les programmes scolaires.

Un Haut conseil ou une commission sur l'identité nationale ? Lors de la réunion à l'Elysée, vendredi 5 février, a été mis sur la table l'idée d'un Haut Conseil à l'identité nationale, composé d'historiens, de sociologues et d'élus. Le commissaire à la diversité, Yazid Sabeg, qui devait participer au séminaire gouvernemental, voulait proposer que soit mise en place une commission, sur le mode de la Commission sur le code de la nationalité instaurée en 1987 et présidée par Marceau Long. "Pour sortir du mauvais pas dans lequel on s'est mis, pourquoi ne pas demander ponctuellement à des personnalités compétentes de réfléchir à ce que représentent et quels sens ont aujourd'hui les valeurs d'égalité, de solidarité, de laïcité…", fait valoir M. Sabeg qui souligne qu'il existe déjà un Haut conseil à l'intégration.

S. La. et L.V.E.
Le Monde
09.02.10