Emmanuel Macron défend l’idée d’une
"souveraineté européenne"
- Le Parlement européen est le siège de la légitimité européenne, déclare Emmanuel Macron.
- Le Président français appelle à une "souveraineté réinventée" de l'Europe face aux replis nationaux.
- French President Emmanuel Macron shares his vision for the #FutureOfEurope with Parliament.
- Parlement Européen, 17 Avril 2018.
* #StandingOvation pour @EmmanuelMacron,des socialistes grecs aux conservateurs allemands.Les élections #Europeennes2019 se tiendront entre le 23 et le 26 mai 2019A SUIVRE...! *@MorganeBravo,Pro-européenneCandidate : "Elections Européennes 2019".*Ancienne stagiaire (Blue Book) de la Commission Européenne, au Secrétariat Généralà Bruxelles.*Fondatrice du HUB (2006)UNION EUROPÉENNE, EUROPEAN UNION, UNION EUROPEA.🇪🇺CANDIDAT PRIX EUROPCOM 2017:"THE HUB EUROPEAN UNION"🇫🇷
Emmanuel Macron, Président de la République française, s'adresse aux deputés du Parlement européen en plenière à Strasbourg.
DIRECT 🔵 Débat avec le Président de la République française @EmmanuelMacron sur l'avenir de l'Europe en session plé… https://t.co/0NjIwkggGR— Parlement européen (@Europarl_FR) 17 avril 2018
LIVE | Débat sur l'avenir de l'Europe au Parlement européen. #FutureOfEurope #EPlenary https://t.co/cURSRZ5jUc— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) 17 avril 2018
"Le Président de la République française, Emmanuel Macron, a débattu mardi de l’avenir de l’Europe avec les députés et le Président de la Commission, Jean-Claude Juncker.
"Le Parlement européen est, à mes yeux, le siège de la légitimité européenne, de sa responsabilité et donc de sa vitalité. C’est ici que se joue une partie de l’avenir de l’Europe, (...), ici que nous devons ancrer la renaissance d’une Europe portée par l’esprit même de ses peuples. Je souhaite que nous dépassions nos clivages entre le Nord et du Sud, l’Est et l’Ouest, les petits et les grands, les replis nationaux", a déclaré le Président Emmanuel Macron.
"Notre responsabilité dans les mois à venir est d’organiser le vrai débat européen, d’avoir les vraies échéances européennes qui permettront à nos peuples de choisir", a-t-il déclaré aux députés, un an avant les élections européennes. "Face aux grands bouleversements du monde, nous avons besoin d’une souveraineté plus grande que la nôtre, complémentaire, une souveraineté européenne".
En accueillant M. Macron, le Président du Parlement, Antonio Tajani, a déclaré: "Je vous remercie de participer à un vrai débat avec les députés. L'avenir de l'Europe se joue maintenant et commence ici, au cœur de la démocratie européenne. Il est temps de transformer cette vision en réalité: une migration contrôlée, une politique étrangère et de défense forte pour une Europe sûre".
La plupart des dirigeants des groupes politiques du Parlement ont salué l’élan pro-européen du Président Macron ainsi que la récente co-intervention militaire en Syrie de la France, tout en appelant à davantage d’unité européenne et la finalisation d’une armée européenne. D’autres députés ont souligné les enjeux auxquels fait face l’Union européenne actuellement: la lutte contre le terrorisme, la gestion de la crise migratoire, les technologies numériques et le parachèvement de l’Union économique et monétaire.
Pour revoir les différentes interventions, cliquez sur les hyperliens :
Antonio Tajani, Président du Parlement européen
Emmanuel Macron, Président de la République française - Première partie
Emmanuel Macron, Président de la République française - Deuxième partie
Jean-Claude Juncker, Président de la Commission européenne
Manfred Weber, PPE
Udo Bullmann, S&D
Syed Kamall, ECR
Guy Verhofstadt, ADLE
Philippe Lamberts, Verts/ALE
Patrick Le Hyaric, GUE/NGL
Florian Philippot, EFDD
Nicolas Bay, ENL
Réponses du Président Macron après le premier tour de parole
Contexte
Le Président de la République française était le quatrième dirigeant de l’UE à s’adresser à la plénière sur l’avenir de l’Europe, après le Premier ministre irlandais Leo Varadkar le 17 janvier, le Premier ministre croate Andrej Plenković le 6 février, et le Premier ministre portugais António Costa le 14 mars. Les débats suivants auront lieu avec le Premier ministre belge, Charles Michel, ainsi qu’avec le Premier ministre du Luxembourg, Xavier Bettel, en mai. La chancelière de la République fédérale d’Allemagne, Angela Merkel, débattra avec les députés en novembre."
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