**** Nous avons changé d’ère…
" Nous devons être le changement que nous voulons voir dans le monde " Gandhi"
La politique environnementale de l'Union européenne repose sur la conviction qu'en optant pour des normes écologiques ambitieuses, on favorisera l'innovation et les débouchés commerciaux. Il y a intégration étroite des politiques économique, sociale et environnementale." UE
** Ce hub est destiné à tous ceux qui s'intéressent à la survie de la planètel & à l'innovation : Ecologie, Environnement, Développement Durable, Nouvelles Technologies... & à l'International...
* Le Réseau Professionnel ECOLOGIE & INNOVATION: DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIsiècle! a pour but de vous permettre de vous informer: sur l'Ecologie, l’Environnement et le Développement durable, l'Energie, Energies Renouvelables (solaire, éolien), Nouvelles Technologies.. & D’échanger, de partager vos expériences, donner votre avis, proposer des solutions, et trouver la possibilité de contribuer...entre autres, à l'innovation & à la survie de la planète..
* Il s'adresse particulièrement aux entreprises, institutions, organismes, aux entrepreneurs, aux hauts dirigeants, aux fonctionnaires et aux managers des fonctions liées à l'international, entre autres...
* N'hésitez pas à nous faire part de vos idées et à vous associer à nous pour le développement de ce réseau.
http://www.viaduc.com/invitationpersonnelle/0021scavl7h5suf2
mercredi, juin 28, 2006
lundi, juin 26, 2006
L’Europe à la traîne en informatique...
*** Utilisation de l'informatique et d'internet: quel est le niveau de compétence des Européens?
* Les Européens sont à la traîne en informatique. En effet, plus d’un tiers de la population Européenne n’a pas de connaissances de base en informatique et des disparités existent selon les pays, les catégories d’âge, et selon le niveau d’instruction. L’étude a été réalisée sans les données de la Belgique, de la République Tchèque, de l’Espagne, de la France, de l’Irlande, de Malte, des Pays-Bas, et de la Finlande. Cependant les données disponibles concernent plus de 60% de la population de l’UE, et plus de 55% des Etats membres, ce qui autorise Eurostat à calculer une moyenne européenne.Plus de la moitié de la population interrogée dans les états membres concernés n’avait aucune connaissance de base en informatique : 65% pour la Grèce, 59% pour l’Italie, 57% pour la Hongrie, 54% pour Chypre et le Portugal, et 53% pour la Lituanie.A l’inverse, les pays les moins touchés par ce fait sont le Danemark (seulement 10%), la Suède (11%), le Luxembourg (20%), l’Allemagne (21%) et le Royaume-Uni (25%).Les disparités selon les catégories d’âgeLes données changent selon les catégories d’âges. Ainsi, en moyenne dans l’UE25, 65% des personnes âgées de 55 à 74 ans n’avaient aucune connaissance en informatique (27% au Danemark, jusqu’à 93% en Grèce).En ce qui concerne la catégorie des 25-54 ans, 29% des personnes interrogées n’avaient aucune connaissance de base, 17% un faible niveau de compétences, 29% un niveau moyen et 25% un niveau élevé. En effet, si au Danemark et au Luxembourg, 45% des personnes de cette catégorie déclaraient avoir un niveau de compétence élevé, seulement 10% pouvaient dire la même chose en Grèce, et 11% en Lettonie et en Pologne.Enfin pour les jeunes de 16 à 24 ans, en moyenne seulement 10% n’étaient pas capables de se servir d’un ordinateur (34% pour la Hongrie, 32% pour la Grèce, 28% pour l’Italie) et 40% affirmaient avoir un niveau élevé de compétences (67% pour la Slovénie, 64% au Luxembourg, 59% au Danemark). Les jeunes sont donc plus ouverts à l’informatique qui est entrée dans les mœurs.Les disparités selon le niveau d’instructionLe niveau d’analphabétisme informatique diminue avec l’augmentation du niveau d’instruction. Ainsi, en moyenne seulement 11% des personnes ayant un niveau d’instruction élevé ont déclaré ne pas avoir de connaissances de base en informatique et 41% affirmaient posséder un niveau élevé.Chez les étudiants, 4% ont affirmé ne pas avoir de connaissances, 11% ont déclaré avoir un faible niveau, 41% un niveau moyen, et 43% un niveau élevé.
Selon une étude réalisée fin 2005 et publiée par Eurostat l’Office statistique des Communautés européennes mardi 20 Juin. édito du 21/06/2006
* Les Européens sont à la traîne en informatique. En effet, plus d’un tiers de la population Européenne n’a pas de connaissances de base en informatique et des disparités existent selon les pays, les catégories d’âge, et selon le niveau d’instruction. L’étude a été réalisée sans les données de la Belgique, de la République Tchèque, de l’Espagne, de la France, de l’Irlande, de Malte, des Pays-Bas, et de la Finlande. Cependant les données disponibles concernent plus de 60% de la population de l’UE, et plus de 55% des Etats membres, ce qui autorise Eurostat à calculer une moyenne européenne.Plus de la moitié de la population interrogée dans les états membres concernés n’avait aucune connaissance de base en informatique : 65% pour la Grèce, 59% pour l’Italie, 57% pour la Hongrie, 54% pour Chypre et le Portugal, et 53% pour la Lituanie.A l’inverse, les pays les moins touchés par ce fait sont le Danemark (seulement 10%), la Suède (11%), le Luxembourg (20%), l’Allemagne (21%) et le Royaume-Uni (25%).Les disparités selon les catégories d’âgeLes données changent selon les catégories d’âges. Ainsi, en moyenne dans l’UE25, 65% des personnes âgées de 55 à 74 ans n’avaient aucune connaissance en informatique (27% au Danemark, jusqu’à 93% en Grèce).En ce qui concerne la catégorie des 25-54 ans, 29% des personnes interrogées n’avaient aucune connaissance de base, 17% un faible niveau de compétences, 29% un niveau moyen et 25% un niveau élevé. En effet, si au Danemark et au Luxembourg, 45% des personnes de cette catégorie déclaraient avoir un niveau de compétence élevé, seulement 10% pouvaient dire la même chose en Grèce, et 11% en Lettonie et en Pologne.Enfin pour les jeunes de 16 à 24 ans, en moyenne seulement 10% n’étaient pas capables de se servir d’un ordinateur (34% pour la Hongrie, 32% pour la Grèce, 28% pour l’Italie) et 40% affirmaient avoir un niveau élevé de compétences (67% pour la Slovénie, 64% au Luxembourg, 59% au Danemark). Les jeunes sont donc plus ouverts à l’informatique qui est entrée dans les mœurs.Les disparités selon le niveau d’instructionLe niveau d’analphabétisme informatique diminue avec l’augmentation du niveau d’instruction. Ainsi, en moyenne seulement 11% des personnes ayant un niveau d’instruction élevé ont déclaré ne pas avoir de connaissances de base en informatique et 41% affirmaient posséder un niveau élevé.Chez les étudiants, 4% ont affirmé ne pas avoir de connaissances, 11% ont déclaré avoir un faible niveau, 41% un niveau moyen, et 43% un niveau élevé.
Selon une étude réalisée fin 2005 et publiée par Eurostat l’Office statistique des Communautés européennes mardi 20 Juin. édito du 21/06/2006
vendredi, juin 23, 2006
20 MYTHES ET REALITES ... UNION EUROPEENNE!
*** 20 MYTHES ET REALITES AU SUJET DE L'ÉLARGISSEMENT...
http://ec.europa.eu/comm/enlargement/faq/pdf/myth-FR.pdf
http://ec.europa.eu/comm/enlargement/faq/pdf/myth-FR.pdf
jeudi, juin 22, 2006
2008 : Année européenne du dialogue interculturel...
* Le Parlement européen accueille favorablement la proposition de la Commission de déclarer 2008 "Année européenne du dialogue interculturel". Le rapport d'Erna HENNICOT-SCHOEPGES (PPE-DE, LU) adopté jeudi 1er juin par 548 voix pour, 62 contre et 22 abstentions, propose 48 amendements. Une faible majorité (299 voix pour, 298 contre et 17 abstentions) a soutenu un amendement mentionnant le dialogue interreligieux parmi les thèmes des projets de l'Année européenne du dialogue interculturel. L'Année 2008 devrait se conclure par un forum interculturel au Parlement européen, rassemblant la société civile et les représentants politiques et religieux. Les députés cherchent également à développer le dialogue interculturel dans les politiques communautaires. Ils préconisent de renforcer toutes les mesures de l'UE concernant le dialogue interculturel et de les rendre plus cohérentes. Une campagne devrait également valoriser la contribution des différentes cultures au patrimoine et aux modes de vie européens ainsi que promouvoir le dialogue interculturel dans les écoles. Le Parlement propose également de créer un prix pour le dialogue interculturel destiné à récompenser un projet destiné aux jeunes dans le cadre de programmes communautaires comme Socrates, Jeunesse ou Culture. Enfin, les députés appellent à une coopération avec le secteur privé, les organismes de radiodiffusion et autres médias en tant que partenaires pour diffuser l’information sur l’Année européenne du dialogue interculturel, notamment dans le cadre des grandes manifestations sportives prévues en 2008, à savoir la coupe d'Europe de football et les Jeux Olympiques de Pékin, "tout en luttant contre le trafic des êtres humains et la prostitution forcée des femmes au cours de ces événements".Le dialogue interculturel occupe déjà une place importante dans de nombreuses politiques communautaires (par exemple l'enseignement, la jeunesse, l'antiracisme, la politique d'asile) ainsi que dans les relations extérieures de l'UE. Les objectifs clés sont la promotion de la diversité culturelle et d'une citoyenneté active. La proposition de la Commission devrait être revue dans ce contexte.
mercredi, juin 21, 2006
Adoption d’une Convention sur la Diversité culturelle à l’UNESCO: UE!
Bruxelles, le 20 octobre 2005
Adoption d’une Convention sur la Diversité culturelle à l’UNESCO
La Conférence générale de l’UNESCO a adopté le 20 octobre 2005 la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles. Négociée conjointement par la Commission européenne, au nom de la Communauté, et par la Présidence du Conseil, au nom des Etats membres, cette Convention est une première historique dans les relations internationales. Elle consacre en effet un consensus jamais atteint jusqu’alors par la communauté internationale autour d’une série de principes directeurs et de concepts liés à la diversité culturelle. Ce texte constitue la base d’un nouveau pilier de gouvernance mondiale en matière culturelle.
1. Quelle est la portée du texte adopté par l’UNESCO?
La Convention de l’UNESCO consacre des règles, principes et référents communs en matière de diversité culturelle au niveau mondial. C’est la première fois qu’un tel consensus a pu être trouvé sur ces questions par la communauté internationale. Ce texte contribue notamment à reconnaître le rôle et la légitimité des politiques publiques dans la protection et la promotion de la diversité culturelle, à reconnaître l'importance de la coopération internationale et la promouvoir pour faire face aux situations de vulnérabilités culturelles, notamment vis-à-vis des pays en développement, et à définir une articulation adéquate avec les autres instruments internationaux qui permette la mise en œuvre effective de la Convention. La Convention représente par ailleurs une nouvelle plateforme pour aborder la culture dans le contexte plus large du développement durable.
2. Union européenne et diversité culturelle : comment la Communauté défend-t-elle le principe de la diversité culturelle ?
La préservation et la promotion de la diversité culturelle figurent au titre des principes fondateurs de la Communauté. Ils sont inscrits au Traité, à l’article 151 et dans la Charte des Droits Fondamentaux de l’Union européenne, à l’article 22.3.
Au sein de l’Union, l’article 151 du Traité, qui a permis le développement d’actions culturelles, notamment à travers le Programme Culture 2000, exige en outre la prise en compte de la dimension culturelle dans les autres politiques communautaires, par exemple dans la politique industrielle dans le cas du Programme MEDIA Plus et dans le marché intérieur (libre circulation des services) pour ce qui est de la Directive « Télévision sans Frontières ».
Ce principe est également pertinent au regard de la dimension extérieure de l’action communautaire, et l’article 151 requiert de la CE et de ses Etats membres la promotion de ce modèle dans leurs relations internationales, à titre de contribution à un ordre mondial fondé sur le développement durable, la coexistence pacifique et le dialogue entre les cultures.
La Communauté a ainsi élaboré une politique de développement ambitieuse qui comprend une composante culturelle avec certaines régions du monde, en particulier la région Afrique Caraïbes Pacifique (ACP), ainsi que la Méditerranée et, plus généralement, le voisinage de l’Union. Dans ce cadre, les politiques de la Communauté soutiennent et mettent en œuvre certains objectifs spécifiques consacrés dans la Convention adoptée, tels que le développement d’industries culturelles locales viables et l’amélioration de la circulation des œuvres culturelles au niveau global, en particulier en provenance des pays en développement.
3. Qui a négocié cette Convention au nom de l’Union européenne?
La Communauté européenne, par la voix de la Commission européenne et en vertu du mandat que lui a conféré le Conseil en novembre 2004, a négocié aux côtés des Etats Membres à l’UNESCO, dont la voix était portée par la Présidence du Conseil en exercice (trois présidences successives : Pays-Bas, Luxembourg et Royaume-Uni) tout au long du processus. Il s’agit du modus operandi classique à chaque fois que les compétences en jeu dans une négociation internationale sont partagées entre la Communauté et ses Etats membres. Les positions communes exprimées par la Commission ou par la Présidence, selon les matières, ont été intégralement coordonnées tout au long des négociations.
Il s’agissait d’une première pour la Communauté européenne, car jamais auparavant elle n’avait pris part à une négociation sur un texte normatif à l’UNESCO.
Parlant donc d’une seule voix, l’Union européenne a pu pour la première fois agir en tant qu’acteur majeur de la négociation au sein de l’UNESCO.
Le Parlement européen, et en particulier sa Commission “Culture”, a suivi avec attention ces négociations et a soutenu la démarche Communautaire tout au long du processus.
Adoption d’une Convention sur la Diversité culturelle à l’UNESCO
La Conférence générale de l’UNESCO a adopté le 20 octobre 2005 la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles. Négociée conjointement par la Commission européenne, au nom de la Communauté, et par la Présidence du Conseil, au nom des Etats membres, cette Convention est une première historique dans les relations internationales. Elle consacre en effet un consensus jamais atteint jusqu’alors par la communauté internationale autour d’une série de principes directeurs et de concepts liés à la diversité culturelle. Ce texte constitue la base d’un nouveau pilier de gouvernance mondiale en matière culturelle.
1. Quelle est la portée du texte adopté par l’UNESCO?
La Convention de l’UNESCO consacre des règles, principes et référents communs en matière de diversité culturelle au niveau mondial. C’est la première fois qu’un tel consensus a pu être trouvé sur ces questions par la communauté internationale. Ce texte contribue notamment à reconnaître le rôle et la légitimité des politiques publiques dans la protection et la promotion de la diversité culturelle, à reconnaître l'importance de la coopération internationale et la promouvoir pour faire face aux situations de vulnérabilités culturelles, notamment vis-à-vis des pays en développement, et à définir une articulation adéquate avec les autres instruments internationaux qui permette la mise en œuvre effective de la Convention. La Convention représente par ailleurs une nouvelle plateforme pour aborder la culture dans le contexte plus large du développement durable.
2. Union européenne et diversité culturelle : comment la Communauté défend-t-elle le principe de la diversité culturelle ?
La préservation et la promotion de la diversité culturelle figurent au titre des principes fondateurs de la Communauté. Ils sont inscrits au Traité, à l’article 151 et dans la Charte des Droits Fondamentaux de l’Union européenne, à l’article 22.3.
Au sein de l’Union, l’article 151 du Traité, qui a permis le développement d’actions culturelles, notamment à travers le Programme Culture 2000, exige en outre la prise en compte de la dimension culturelle dans les autres politiques communautaires, par exemple dans la politique industrielle dans le cas du Programme MEDIA Plus et dans le marché intérieur (libre circulation des services) pour ce qui est de la Directive « Télévision sans Frontières ».
Ce principe est également pertinent au regard de la dimension extérieure de l’action communautaire, et l’article 151 requiert de la CE et de ses Etats membres la promotion de ce modèle dans leurs relations internationales, à titre de contribution à un ordre mondial fondé sur le développement durable, la coexistence pacifique et le dialogue entre les cultures.
La Communauté a ainsi élaboré une politique de développement ambitieuse qui comprend une composante culturelle avec certaines régions du monde, en particulier la région Afrique Caraïbes Pacifique (ACP), ainsi que la Méditerranée et, plus généralement, le voisinage de l’Union. Dans ce cadre, les politiques de la Communauté soutiennent et mettent en œuvre certains objectifs spécifiques consacrés dans la Convention adoptée, tels que le développement d’industries culturelles locales viables et l’amélioration de la circulation des œuvres culturelles au niveau global, en particulier en provenance des pays en développement.
3. Qui a négocié cette Convention au nom de l’Union européenne?
La Communauté européenne, par la voix de la Commission européenne et en vertu du mandat que lui a conféré le Conseil en novembre 2004, a négocié aux côtés des Etats Membres à l’UNESCO, dont la voix était portée par la Présidence du Conseil en exercice (trois présidences successives : Pays-Bas, Luxembourg et Royaume-Uni) tout au long du processus. Il s’agit du modus operandi classique à chaque fois que les compétences en jeu dans une négociation internationale sont partagées entre la Communauté et ses Etats membres. Les positions communes exprimées par la Commission ou par la Présidence, selon les matières, ont été intégralement coordonnées tout au long des négociations.
Il s’agissait d’une première pour la Communauté européenne, car jamais auparavant elle n’avait pris part à une négociation sur un texte normatif à l’UNESCO.
Parlant donc d’une seule voix, l’Union européenne a pu pour la première fois agir en tant qu’acteur majeur de la négociation au sein de l’UNESCO.
Le Parlement européen, et en particulier sa Commission “Culture”, a suivi avec attention ces négociations et a soutenu la démarche Communautaire tout au long du processus.
mardi, juin 20, 2006
Quelle Union européenne souhaitez-vous?
Les frontières de l'Europe et son rôle dans le monde!
L'Union européenne peut-elle, selon vous, continuer à accueillir de nouveaux membres?Qu'attendez-vous de l'UE dans un monde globalisé? Comment l'UE devrait-elle aborder des questions telles que le commerce international, le changement climatique, la sécurité ou l'aide aux pays en développement? Quelles devraient être les relations de l'Europe avec ses voisins et avec les autres grands blocs mondiaux? UE
L'Union européenne peut-elle, selon vous, continuer à accueillir de nouveaux membres?Qu'attendez-vous de l'UE dans un monde globalisé? Comment l'UE devrait-elle aborder des questions telles que le commerce international, le changement climatique, la sécurité ou l'aide aux pays en développement? Quelles devraient être les relations de l'Europe avec ses voisins et avec les autres grands blocs mondiaux? UE
lundi, juin 19, 2006
UE : les objectifs de la présidence finlandaise ..
** Mercredi, le premier ministre finlandais Matti Vanhanen présente les grandes lignes de sa politique. Il prend le 1er juillet la présidence de l'Union européenne pour six mois. * QUI L'EûT cru ? En Finlande, la situation du marché de l'emploi n'est pas florissante : le taux de chômage s'élève à 8,4%, soit un peu moins que celui de la France. Et pourtant, le pays des 17 000 lacs, qui va prendre la présidence tournante de l'Union européenne le 1er juillet prochain, entend bien «vendre son modèle» au Vieux Continent. Yeux verts entourés de mèches rousses savamment effilées, la jeune ministre du Commerce extérieur et du Développement, également en charge des Affaires européennes, est très déterminée : «Nous sommes classés parmi les pays les plus compétitifs car nous avons su investir dans la recherche et le développement et dans l'éducation.» Les résultats sont là. Cet État de 5,2 millions d'habitants a consacré l'an dernier 5,4 milliards d'euros à la R&D, ce qui représente 3,46% du PIB, beaucoup plus que la moyenne européenne (1,9%). Selon le classement Pisa (Program of international student assessment), il est leader en enseignement secondaire. Le meilleur étendard de ce cocktail gagnant est sans nul doute le groupe Nokia. Cette belle santé s'affiche aussi à travers la croissance économique soutenue (plus de 3,5% attendus cette année), l'excédent des finances publiques (2,5% du produit intérieur brut) et la faiblesse de l'inflation (1%). Bref, on est très loin de la crise qu'a traversée le pays au début des années 1990 peu après l'effondrement de l'Union soviétique, à l'époque l'un de ses plus gros clients. La Finlande avait alors subi une grave récession. Absence de politique incitative Seul bémol à ce tableau «idyllique» : le taux de chômage. S'il a été réduit de moitié par rapport au pic de 16,8% atteint lors de la récession, il se situe dans la moyenne européenne. Surtout, il souffre de la comparaison avec les performances des autres pays nordiques, même si l'importance des congés maladies, sortis des statistiques, donne lieu à débat. La Suède, la Norvège et le Danemark affichent des taux compris entre 4% et 5%. Quel est donc ce «modèle social» encore vanté par Dominique de Villepin début juin lors de sa venue à Helsinki ? Peut-on vraiment parler de «flexsécurité» scandinave en Finlande ? «Pas vraiment !», répond dans un grand sourire Mikko Kautto, jeune directeur de la division Protection sociale de Stakes, centre national de la santé sociale. Certes, en Finlande, où le consensus social est une réalité, les licenciements, pour peu qu'ils soient dûment motivés, sont assez souples. «Trop aux yeux des syndicats, mais pas suffisamment selon nous», souligne Seppo Saukkonen, spécialiste du marché du travail chez EK, la Confédération des entreprises finlandaises (équivalente de notre Medef), dont les bureaux dominent la baie du golfe de Finlande. Mais la faiblesse du système social du pays porte sur le volet sécurité. Les indemnités de chômage représentent 60% à 65% du salaire brut pendant environ seize mois. «Si ce régime est généreux, il ne l'est pas plus spécialement que celui de ses voisins», remarque Seppo Saukkonen. Le problème est que ces allocations s'avèrent pratiquement aussi intéressantes que les revenus du travail, une fois déduits les 30% de charges fiscales et sociales. Surtout, et c'est là la grande différence avec les autres pays scandinaves, il n'existe pas en Finlande de politique «pro-active» incitant les chômeurs à trouver un emploi. La formation reste faible : seulement un tiers des chômeurs en reçoit une, contre la quasi-totalité au Danemark. Si l'octroi des allocations a été durci il y a cinq ou six ans, le système reste très peu coercitif. Seppo Saukkonen voit deux raisons à cette absence de politique pro-active. «Le taux de chômage de 3% qui existait avant la crise ne nous a guère habitués à mener une telle politique. Ici, il n'y a pas comme dans les autres pays scandinaves d'unité de vue entre le ministère des Affaires sociales, par nature enclin à lutter contre le chômage, et celui des Finances, toujours gardien des cordons de la bourse.» Et de soupirer : «C'est vrai que les droits sociaux sont supérieurs aux devoirs.» De ce point de vue, la Finlande n'est finalement pas si différente de la France. Marie-Laetitia Bonavita 19 juin 2006, LE FIGARO
dimanche, juin 18, 2006
Carte européenne d'assurance maladie!
* Une nouvelle version du site de la carte européenne d'assurance maladie a vu le jour le 1er juin 2006. Cette carte facilite les soins médicaux que doivent éventuellement recevoir des citoyens européens en voyage dans un autre pays de l'UE.
CONSULTATION PUBLIQUE
*** UNION EUROPEENNE...
*** France
Consultation ouverte :
Participez au projet 2007
N. Sarkozy vous invite au débat pour
élaborer le projet de 2007
*** France
Consultation ouverte :
Participez au projet 2007
N. Sarkozy vous invite au débat pour
élaborer le projet de 2007
Immigrés, à vos copies !
De plus en plus de pays européens instaurent des tests pour les candidats à la naturalisation, voire, comme aux Pays-Bas, pour les personnes désirant entrer dans le pays. Politique, culture, mœurs, voici un échantillons de ces questions!
samedi, juin 17, 2006
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