lundi, mai 31, 2010
*Une stratégie numérique pour l’Europe*
***COMMISSION EUROPÉENNE
Bruxelles, le COM(2010) 245
COMMUNICATION DE LA COMMISSION AU PARLEMENT EUROPÉEN, AU CONSEIL, AU COMITÉ ÉCONOMIQUE ET SOCIAL EUROPÉEN ET AU COMITÉ DES RÉGIONS
Une stratégie numérique pour l’Europe
* INTRODUCTION
L'objectif global de la stratégie numérique est de procurer des avantages économiques et sociaux durables grâce à un marché unique numérique basé sur l'internet rapide et ultrarapide et des applications interopérables.
La crise a annulé les effets d'années de progrès économique et social et fait apparaître les faiblesses structurelles de l'économie européenne. Aussi, aujourd'hui, notre principal objectif est-il de remettre l'Europe sur la voie. Pour s'assurer un avenir durable, l'Europe doit dès à présent l'envisager au-delà du court terme. Face au vieillissement de la population et à la concurrence mondiale, trois possibilités s'offrent à nous: travailler plus dur, travailler plus longtemps ou travailler plus intelligemment. Il nous faudra probablement faire les trois, mais la troisième possibilité est la seule façon de garantir la hausse du niveau de vie des Européens. À cette fin, la stratégie numérique consiste en des propositions d'action qu'il faut entreprendre d'urgence pour mettre l'Europe sur la voie d'une croissance intelligente, durable et intégratrice. Ces propositions planteront le décor des évolutions à long terme que provoquera la numérisation croissante de l'économie et de la société.
En mars 2010, la Commission européenne a lancé la stratégie Europe 20201 pour sortir de la crise et préparer l'économie de l'UE aux défis de la décennie à venir. Europe 2020 fixe une perspective pour atteindre des niveaux élevés d'emploi, de productivité et de cohésion sociale et une économie à faible taux d'émission de carbone, à mettre en œuvre par des actions concrètes au niveau national et de l'UE. Cette bataille pour la croissance et l'emploi exige une prise de conscience au niveau politique le plus élevé et la mobilisation de tous les acteurs en Europe.
La stratégie numérique pour l'Europe est l'une des sept initiatives phare de la stratégie Europe 2020 et vise à définir le rôle moteur éminent que les technologies de l'information et des communications (TIC) sont appelées à jouer si l'Europe veut voir ses ambitions pour 2020 couronnées de succès2.
Cette stratégie a pour but de tracer une voie afin d'exploiter au mieux le potentiel social et économique des TIC, surtout de l'internet qui constitue désormais le support essentiel de toute activité économique et sociétale, qu'il s'agisse de faire des affaires, de travailler, de s'amuser, de communiquer ou de s'exprimer librement. Mise en œuvre avec succès, cette stratégie sera un facteur d'innovation, de croissance économique et de progrès dans la vie quotidienne des particuliers comme des entreprises. Le déploiement plus large et l'utilisation plus efficace des technologies numériques permettront donc à l'Europe de relever les principaux défis auxquels elle
*******************
EUROPE 2020 – Une stratégie pour une croissance intelligente, durable et inclusive, COM(2010) 2020. La stratégie numérique se fonde sur les résultats de larges consultations, notamment sur des éléments du Rapport sur la compétitivité numérique de 2009, COM(2009) 390; de la consultation publique sur les priorités futures en matière de TIC organisée par la Commission en 2009; des conclusions du Conseil TTE de décembre 2009, de la consultation sur la stratégie Europe 2020; de la contribution du partenariat industriel TIC à la stratégie pour une Europe numérique de la présidence espagnole; du rapport sur 2015.eu établi par le Parlement européen à son initiative et de la déclaration adoptée à la réunion ministérielle informelle de Grenade en avril 2010. Tous ces documents sont disponibles à l'adresse: http://ec.europa.eu/information_society/eeurope/i2010/index_en.htm.
FR3 FR
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est confrontée et procureront aux Européens une plus grande qualité de vie sous la forme, par exemple, de meilleurs soins de santé, de solutions de transport plus sûres et plus efficaces, d'un environnement plus propre, de nouvelles possibilités de communication et d'un accès plus aisé aux services publics et au contenu culturel.
Le secteur des TIC génère directement 5 % du PIB européen et représente une valeur marchande annuelle de 660milliardsEUR, mais il contribue bien davantage à l'augmentation globale de la productivité (due à 20 % au secteur des TIC et à 30 % aux investissements dans les TIC). Cela s'explique par le degré élevé de dynamisme et d'innovation inhérent au secteur et par le rôle moteur que celui-ci joue dans la transformation des modes opératoires des autres secteurs d'activité. En même temps, l'impact social des TIC est désormais patent. Par exemple, le fait qu'il y ait plus de 250 millions d'utilisateurs quotidiens de l'internet en Europe et que pratiquement tous les Européens disposent d'un téléphone portable a changé notre mode de vie.
Le développement de réseaux à haut débit aujourd'hui est aussi révolutionnaire que le développement des réseaux électriques et de transport il y a un siècle. En outre, avec l'évolution en cours dans l'électronique grand public, les frontières entre appareils numériques s'estompent. Il y a convergence des services qui, en passant du monde physique au monde numérique, sont accessibles partout sur n'importe quel appareil, qu'il s'agisse d'un téléphone intelligent, d'un bloc-notes électronique, d'un ordinateur personnel, d'une radio numérique ou d'un téléviseur haute définition. Il est prévu que, d'ici à 2020, la quasi-totalité du contenu et des applications numériques sera fournie en ligne.
Le grand potentiel offert par les TIC peut être exploité grâce à un cercle vertueux d'activité fonctionnant bien. Tout d'abord, du contenu et des services attrayants doivent être mis à disposition dans un environnement internet interopérable et sans frontière. Cela a pour effet de stimuler la demande de débit et de capacité et, partant, justifie commercialement d'investir dans des réseaux plus rapides. Avec le déploiement et l'adoption de tels réseaux, la voie est ensuite ouverte pour des services novateurs tirant parti de vitesses plus élevées.
*LA SUITE :
http://ec.europa.eu/information_society/digital-agenda/documents/digital-agenda-communication-fr.pdf
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*Des sans-papiers manifestent devant...et à l'intérieur : d'un centre d'impôt ...Paris XVIe*
***Dernier jour en France, 31 mai 2010, pour déposer sa déclaration d'impôt sur le revenu 2010.
Une fois cette date passée, reste la possibilité de télédéclarer par internet.
Les contribuables qui effectuent la déclaration des revenus qu'ils ont perçus en 2009, sur le formulaire papier que leur a adressé l'administration fiscale, doivent impérativement le remettre avant le lundi 31 mai 2010, à minuit.
*Il est possible de télédéclarer ses revenus, par internet, sur le site www.impot.gouv.fr.
La date limite de cette télédéclaration varie selon le département de résidence du contribuable.
Pour les contribuables des départements de :
*1 à 19, la date limite est fixée au jeudi 10 juin 2010, à minuit ;
*Pour les contribuables des départements de 20 à 49, la date limite est fixée au jeudi 17 juin 2010, à minuit ;
*Pour les contribuables des départements de 50 à 974, la date limite est fixée au jeudi 24 juin 2010, à minuit.
***Plusieurs dizaines de travailleurs Sans-Papiers ont manifesté lundi devant et à l'intérieur d'un centre des impôts du XVIe arrondissement de Paris.
BREF APERCU,
*Photos: Morgane BRAVO
Bien à vous,
Morgane BRAVO
dimanche, mai 30, 2010
*Le plan de sauvetage de la zone Euro et l'hôtellerie en Europe*
***EUROPE HEBDO
Le plan de sauvetage de la zone Euro et l'hôtellerie en Europe
La zone Euro en crise: les 27 ont mis en oeuvre un plan de grande envergure en cas de défection d'un pays de l'Union. Cela sera t'il suffisant ? Faut il aller plus loin dans la gouvernance économique et politique ? Sylvie Goulard, député européenne sur groupe ADLE, sera notre invitée. Notre grand format nous plongera cette semaine dans les critères parfois obscurs de l'hôtellerie européenne.
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*M. Sarkozy : pilotage économique de l'Europe...*
***M. Sarkozy relance l'idée d'un pilotage économique de l'Europe par la zone euro.
Nicolas Sarkozy cherche les moyens de faire revenir l'Allemagne dans le jeu européen. Selon son entourage, le président français envisage à nouveau la constitution d'un forum des chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro, doté d'un secrétariat, qui serait le véritable gouvernement économique de l'Europe.
La France s'inquiète de l'isolement allemand. La chancelière Angela Merkel a montré ses réticences à agir dans la crise grecque, elle a fait cavalier seul sur l'interdiction des ventes à découvert, et elle encourage l'orthodoxie budgétaire et les exportations au détriment de la consommation.
Mais Berlin n'est pas prêt à accepter la proposition française. M. Sarkozy avait déjà osé l'idée en 2008, à la fin de sa présidence de l'Union européenne, et Mme Merkel lui avait opposé une fin de non-recevoir. Cet Eurogroupe s'est réuni dans l'urgence de la crise de l'euro, mais la chancelière ne veut pas exclure les pays non membres de l'euro de la conduite des affaires européennes. Et, dans un pays où l'équilibre budgétaire est à la fois une règle constitutionnelle et un principe identitaire, le sauvetage de la Grèce et de l'euro, bien qu'approuvé par le Bundestag, a constitué un véritable traumatisme.
Les Français et les autres partenaires européens savent qu'ils vont devoir concéder à l'Allemagne des garanties pour qu'un tel accident ne se reproduise pas : des sanctions plus fermes à l'égard des pays qui ne respecteraient pas le pacte de stabilité, un rééchelonnement de la dette des Etats pour éviter d'autres transferts financiers à l'avenir et, sans doute, la présidence de la BCE à l'actuel président de la Bundesbank, Axel Weber. "Il faut un Allemand pour rassurer les Allemands", estime l'économiste Jean Pisani-Ferry.
La proposition récente de M. Sarkozy d'inscrire dans la Constitution française l'obligation de l'équilibre budgétaire est un gage de vertu apporté aux Allemands, pour les convaincre de la crédibilité de la France et de cette Union européenne dispendieuse, pour laquelle ils estiment payer un prix trop fort. L'Allemagne a les yeux rivés sur la santé économique de la France. Chaque fois qu'Angela Merkel rencontre Nicolas Sarkozy, elle l'interroge sur l'avancée des réformes en France.
Si elle estime que les gages obtenus sont suffisants, l'Allemagne pourrait peut-être accepter l'Eurogroupe. D'autant que la crise a accouché d'une nouvelle répartition des pouvoirs, qui n'est pas celle prévue par les traités : la Commission, conduite par un José Manuel Barroso dénué d'initiatives, s'est effeuillée ; le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, a pris le pas sur la présidence tournante.
Le coeur de décision européen se réduit à l'Allemagne et à la France, entourées de grands responsables internationaux : Jean-Claude Trichet, président de la Banque centrale européenne (BCE), et Dominique Strauss-Kahn, directeur général du Fonds monétaire international (FMI). Rien que des Français ! L'Allemagne a de quoi se sentir cernée. "Je ne suis pas sûre que Merkel apprécie le gag", commente un ministre à Paris.
Les Français doivent agir avec doigté. Faute de quoi l'Europe pourrait se retrouver dans une situation semblable à celle des années 1980, quand le deutschemark existait encore et que les Européens n'avaient d'autre choix que de s'aligner sur l'Allemagne. "On est revenu à ce modèle, argue M. Pisani-Ferry. L'Allemagne est au centre, elle suit ses propres règles. Tout le monde a peur des marchés, et tout le monde se compare à l'Allemagne. Le juge de paix, c'est l'écart de taux d'intérêts avec elle." Les Allemands sont convaincus de leur bon droit. "Leurs résultats économiques confortent leurs prétentions", avance un responsable du Quai d'Orsay.
Le président français a pris la précaution de ne pas décrire publiquement le gouvernement économique qu'il imagine, car l'affichage aujourd'hui d'un désaccord franco-allemand pourrait être fatal à l'euro. Il a évité de suggérer qu'il pourrait être le président de cet Eurogroupe, comme il l'avait fait il y a un an. Le candidat tout désigné semble être M. Van Rompuy : il a présidé les réunions convoquées pendant la crise grecque et doit remettre des propositions pour réformer la gouvernance de la zone euro.
M. Sarkozy a un avantage : le couple franco-allemand, qui était jugé nécessaire mais insuffisant, est désormais le seul moteur qui reste à l'Europe. La Commission a perdu toute capacité d'entraînement, tandis que le Royaume-Uni est hors-jeu. "Il n'y a plus d'alternative", assure-t-on au quai d'Orsay.
Arnaud Leparmentier et Marion Van Renterghem
30.05.10
Bien à vous,
Morgane BRAVO
Nicolas Sarkozy cherche les moyens de faire revenir l'Allemagne dans le jeu européen. Selon son entourage, le président français envisage à nouveau la constitution d'un forum des chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro, doté d'un secrétariat, qui serait le véritable gouvernement économique de l'Europe.
La France s'inquiète de l'isolement allemand. La chancelière Angela Merkel a montré ses réticences à agir dans la crise grecque, elle a fait cavalier seul sur l'interdiction des ventes à découvert, et elle encourage l'orthodoxie budgétaire et les exportations au détriment de la consommation.
Mais Berlin n'est pas prêt à accepter la proposition française. M. Sarkozy avait déjà osé l'idée en 2008, à la fin de sa présidence de l'Union européenne, et Mme Merkel lui avait opposé une fin de non-recevoir. Cet Eurogroupe s'est réuni dans l'urgence de la crise de l'euro, mais la chancelière ne veut pas exclure les pays non membres de l'euro de la conduite des affaires européennes. Et, dans un pays où l'équilibre budgétaire est à la fois une règle constitutionnelle et un principe identitaire, le sauvetage de la Grèce et de l'euro, bien qu'approuvé par le Bundestag, a constitué un véritable traumatisme.
Les Français et les autres partenaires européens savent qu'ils vont devoir concéder à l'Allemagne des garanties pour qu'un tel accident ne se reproduise pas : des sanctions plus fermes à l'égard des pays qui ne respecteraient pas le pacte de stabilité, un rééchelonnement de la dette des Etats pour éviter d'autres transferts financiers à l'avenir et, sans doute, la présidence de la BCE à l'actuel président de la Bundesbank, Axel Weber. "Il faut un Allemand pour rassurer les Allemands", estime l'économiste Jean Pisani-Ferry.
La proposition récente de M. Sarkozy d'inscrire dans la Constitution française l'obligation de l'équilibre budgétaire est un gage de vertu apporté aux Allemands, pour les convaincre de la crédibilité de la France et de cette Union européenne dispendieuse, pour laquelle ils estiment payer un prix trop fort. L'Allemagne a les yeux rivés sur la santé économique de la France. Chaque fois qu'Angela Merkel rencontre Nicolas Sarkozy, elle l'interroge sur l'avancée des réformes en France.
Si elle estime que les gages obtenus sont suffisants, l'Allemagne pourrait peut-être accepter l'Eurogroupe. D'autant que la crise a accouché d'une nouvelle répartition des pouvoirs, qui n'est pas celle prévue par les traités : la Commission, conduite par un José Manuel Barroso dénué d'initiatives, s'est effeuillée ; le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, a pris le pas sur la présidence tournante.
Le coeur de décision européen se réduit à l'Allemagne et à la France, entourées de grands responsables internationaux : Jean-Claude Trichet, président de la Banque centrale européenne (BCE), et Dominique Strauss-Kahn, directeur général du Fonds monétaire international (FMI). Rien que des Français ! L'Allemagne a de quoi se sentir cernée. "Je ne suis pas sûre que Merkel apprécie le gag", commente un ministre à Paris.
Les Français doivent agir avec doigté. Faute de quoi l'Europe pourrait se retrouver dans une situation semblable à celle des années 1980, quand le deutschemark existait encore et que les Européens n'avaient d'autre choix que de s'aligner sur l'Allemagne. "On est revenu à ce modèle, argue M. Pisani-Ferry. L'Allemagne est au centre, elle suit ses propres règles. Tout le monde a peur des marchés, et tout le monde se compare à l'Allemagne. Le juge de paix, c'est l'écart de taux d'intérêts avec elle." Les Allemands sont convaincus de leur bon droit. "Leurs résultats économiques confortent leurs prétentions", avance un responsable du Quai d'Orsay.
Le président français a pris la précaution de ne pas décrire publiquement le gouvernement économique qu'il imagine, car l'affichage aujourd'hui d'un désaccord franco-allemand pourrait être fatal à l'euro. Il a évité de suggérer qu'il pourrait être le président de cet Eurogroupe, comme il l'avait fait il y a un an. Le candidat tout désigné semble être M. Van Rompuy : il a présidé les réunions convoquées pendant la crise grecque et doit remettre des propositions pour réformer la gouvernance de la zone euro.
M. Sarkozy a un avantage : le couple franco-allemand, qui était jugé nécessaire mais insuffisant, est désormais le seul moteur qui reste à l'Europe. La Commission a perdu toute capacité d'entraînement, tandis que le Royaume-Uni est hors-jeu. "Il n'y a plus d'alternative", assure-t-on au quai d'Orsay.
Arnaud Leparmentier et Marion Van Renterghem
30.05.10
Bien à vous,
Morgane BRAVO
jeudi, mai 27, 2010
*Le Sénat vote le projet de loi sur le Grand Paris...*
***Le Sénat a voté à son tour, dans la nuit de lundi 26 à mardi 27 avril, après l'Assemblée nationale, le projet de loi sur le Grand Paris, qui prévoit la création d'un métro automatique autour de Paris, à l'issue d'un débat houleux entre la majorité et la gauche victorieuse aux récentes régionales. Les sénateurs n'avaient pu boucler l'examen du texte, vendredi 9 avril, avant les vacances parlementaires, comme prévu. Le texte a été adopté par 179 voix contre 153. La majorité UMP et Union centriste a voté pour, tandis que l'opposition PS, PCF, Verts et radicaux de gauche du RDSE ont voté contre.
Le projet de loi prévoit la création d'une double boucle de métro automatique autour de Paris reliant des pôles économiques (Saclay, La Défense, Plaine-Commune, Roissy, Orly...) avec des contrats d'aménagement autour des futures gares et permettant des liaisons banlieue-banlieue. D'un coût de 21,4 milliards d'euros (en investissements), ce métro est censé favoriser le développement de l'Ile-de-France. Il doit, selon le secrétaire d'Etat au développement de la région capitale, Christian Blanc, permettre de maintenir Paris et l'Ile-de-France "dans le peloton de tête des quatre premières villes-monde, avec New York, Londres et Tokyo".
La gauche, revigorée par la reconduction de Jean-Paul Huchon (PS) à la tête de la région Ile-de-France, a longuement bataillé contre un "projet hors sol qui ne tient compte ni des besoins des populations, ni des attentes des élus, ni de la réalité", selon la sénatrice Nicole Bricq (PS), sans parvenir à diviser la majorité.
LE MONDE
Bien à vous,
Morgane BRAVO
Le projet de loi prévoit la création d'une double boucle de métro automatique autour de Paris reliant des pôles économiques (Saclay, La Défense, Plaine-Commune, Roissy, Orly...) avec des contrats d'aménagement autour des futures gares et permettant des liaisons banlieue-banlieue. D'un coût de 21,4 milliards d'euros (en investissements), ce métro est censé favoriser le développement de l'Ile-de-France. Il doit, selon le secrétaire d'Etat au développement de la région capitale, Christian Blanc, permettre de maintenir Paris et l'Ile-de-France "dans le peloton de tête des quatre premières villes-monde, avec New York, Londres et Tokyo".
La gauche, revigorée par la reconduction de Jean-Paul Huchon (PS) à la tête de la région Ile-de-France, a longuement bataillé contre un "projet hors sol qui ne tient compte ni des besoins des populations, ni des attentes des élus, ni de la réalité", selon la sénatrice Nicole Bricq (PS), sans parvenir à diviser la majorité.
LE MONDE
Bien à vous,
Morgane BRAVO
*BREF APERCU : Convention UMP pour l'avenir des retraites...*
***Pour Xavier Bertrand, secrétaire général de l'UMP, «les 60 ans ne sont pas un totem. Le seul «dogme», c'est la retraite par répartition. Le seul tabou, c'est la baisse des pensions.»
Si tous s'accordent sur ce point, la convention de l'UMP a démontré que les avis divergent sur d'autres modalités de la réforme.
Du ministre, personne n'attendait de grandes annonces. Ce n'était pas le lieu. Et pas encore l'heure : Éric Woerth avait réservé l'annonce que l'âge légal de départ à la retraite était «une option logique pour le gouvernement» au magazine «Paris Match». Tant pis pour la convention organisée par l'UMP dont il était l'invité d'honneur ce mardi et au cours de laquelle il n'a jamais été aussi affirmatif.
Le suspense était mince, mais consigne avait été donnée à tous les intervenants de ne pas trop se prononcer, «de rester évasif» et, surtout, «de ne pas s'avancer sur le nouvel âge légal», précise un participant. «C'est la force du gouvernement, d'avoir mis en place un calendrier et de s'y tenir. Après, à nous de nous débrouiller avec», justifie la secrétaire générale adjointe de l'UMP Nathalie Kosciusko-Morizet.
Se débrouiller, donc ne rien dire. Le député Arnaud Robinet, qui enchaîne les meetings dans les fédérations sur ce thème, aurait ainsi dû tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant d'évoquer, dans «Les Échos», un report à 62 ans «minimum», voire à 65 ans. À moins qu'il ne s'agisse d'un ballon d'essai ? Tous le nient en bloc. Certains, main sur le cœur, expliquent même que le jeune élu s'est fait remonter les bretelles.
À la convention, Éric Woerth ne manque d'ailleurs pas de minimiser ces chiffres dont la presse bruisse. «J'entends parfois dire que les dés sont jetés, que le gouvernement a déjà absolument tout décidé, a expliqué le ministre du Travail. Il n'en est rien.» C'est à Xavier Bertrand que reviendra l'honneur, au nom du parti qu'il dirige, de prononcer la seule phrase agréée et précieusement construite : «Nous soutiendrons toute proposition du gouvernement reportant l'âge légal de départ à la retraite.»
Sur ce point, tous semblent d'accord. Sur le reste, la convention a cependant démontré que les avis divergent parfois au sein de la famille présidentielle. Rien de commun, par exemple, entre le libéral Hervé Mariton, pour qui «la retraite, c'est affaire d'épargne et de cotisations, pas de taxations», et son collègue chrétien-démocrate Pierre Méhaignerie, qui soutient que les 20% des Français les plus aisés, «parce qu'ils sont ceux qui ont le plus accès aux niches fiscales», paient beaucoup moins d'impôts sur le revenu que leurs homologues européens.
Xavier Bertrand prouve même qu'il peut entretenir le débat tout seul. Par exemple, quand il défend les déclarations de Nicolas Sarkozy qui, en 2008, excluait de repousser l'âge légal. «Je dis que je ne le ferai pas. Ce n'est pas un engagement que j'ai pris devant les Français, je n'ai donc pas de mandat pour faire cela», avait expliqué le président. «Qu'est-ce qui s'est passé depuis ? défend Bertrand. On a connu une crise historique !» Certes, mais quelques minutes plus tard, à la tribune, le même secrétaire général justifiait tout autrement la réforme : «On peut toujours invoquer la crise, mais la réalité est démographique.» On ne sait qui blâmer, ni même qui croire.
par, Jean-Baptiste Garat, Valentine ANTONOVA
Le Figaro
***BREF APERCU :
Photos : Morgane BRAVO
Éric Woerth, Ministre du Travail
Xavier Bertrand, Secrétaire Général de l'UMP
Jean-François Copé,
Président du groupe UMP à l'Assemblée Nationale
Bernard Accoyer (UMP), Président de l'Assemblée Nationale
Xavier Bertrand, Secrétaire Général de l'UMP
*****Les retraites en France et à l’étranger : 7 indicateurs clés...OCDE :
http://bit.ly/cfnPUm
*BREF APERCU : Convention UMP pour l'avenir des retraites...:
http://bit.ly/bTHpAk
Enfin,
l'UMP soutient un report de l'âge légal...
A SUIVRE...!
Bien à vous,
Morgane BRAVO
mercredi, mai 26, 2010
*Très haut débit en France : déploiement uniforme ou priorité aux zones très denses ?*
***Forum des Décideurs - THD : trois élus (Patrice Martin-Lalande, Thierry Solere et Yves Censi) et trois représentants télécoms (Iliad-Free, Covage, Motorola) abordent la manière d'étendre le très haut débit.
(Correction apportée le 26/05/10) Lors d’un Forum des Décideurs portant sur le très haut débit organisé à Paris dans la journée du jeudi 20 mai, une table ronde a réuni un panel d’acteurs du monde des opérateurs et des pouvoirs publics pour faire le déploiement.
Patrice Martin-Lalande, député UMP du Loir-et-Cher [et non PS comme précédemment indiqué, NDLR], co-président du groupe d’études sur Internet, a fixé l’état des lieux.
“Nous avons beaucoup à faire, tout à faire sans se leurrer sur la difficulté du chemin à suivre. Il y a une mobilisation grande des pouvoirs publics, tous horizons confondus”, a déclaré l’élu.
“Nous avons les outils juridiques et financiers pour la diffusion du très haut débit, notamment à travers le volet numérique du grand emprunt (4,5 milliards d’euros).” Une enveloppe de 2,5 milliards d’euros est dédié aux infrastructures très haut débit.
“Nous avons des efforts à fournir avec des moyens différenciés en fonction des zones (très denses, semi-denses, rurales). Trois chemins de fer à conduire en parallèle.”
L’élu du Loir-et-Cher est conscient que le “terminal principal, c’est le mobile maintenant”. Tout en poursuivant : “Il va falloir y répondre”. C’est même même plus important que le fixe”, considère-t-il.
De son côté, Olivier de Baillenx, Directeur des relations institutionnelles chez le groupe Iliad-Free, ne perçoit guère de déploiement simultané.
D’un point de vue opérateurs, “le déploiement se fait d’abord sur les zones urbaines (…)Le déploiement horizontal de Paris sera bientôt terminé et la petite couronne sera bientôt couverte par différents opérateurs.” Reste à savoir “comment avancer dans d’autres régions…”.
En tant que nouvel opérateur mobile détenteur d’une licence 3G, le groupe Iliad-Free regarde également l’arrivée de la 4G. “Mais pas avant 2012″.
**Thierry Solere (Hauts-de-Seine) : “le délai THD, c’est stratégique”
Le département des Hauts-de-Seine constitue un laboratoire intéressant en termes de déploiement du très haut débit à l’échelle d’un grand territoire.
C’est une question “d’attractivité” dans un cadre de concurrence capitale européennes (Londres, Barcelone, Berlin, Paris…), considère Thierry Solere, Vice-président du conseil général des Hauts-de-Seine. “Il fallait que le territoire soit maillé en fibre optique. C’est un berceau économique : le tiers du CAC 40 a son siège social dans le département.”
L’élu des Hauts-de-Seine insiste sur la dimension du délai nécessaire au déploiement du très haut débit. “C’est stratégique. En 2005, Nicolas Sarkozy [alors président du conseil général, ndlr] et les élus du département ont mis en place une délégation de service public pour mailler l’ensemble du territoire en 2005. L’intégralité du territoire - particuliers + entreprises - sera couvert dans un délai de six ans”, rappelle Thierry Solere.
“La Commission européenne regardait cela : elle s’est fait un corps de doctrine à cette occasion. Quel rôle des collectivités pour le déploiement du très haut débit ?” Selon le représentant du conseil général, la DSP a permis d’éviter “une fracture au sein d’un même territoire qui risquait un aménagement en tâches de léopards”.
Olivier de Baillenx nuance les propos de l’élu des Hauts-de-Seine, soulignant l’écart de déploiement entre les efforts fournis par la DSP et les autres opérateurs qui considèrent les Hauts-de-Seine comme un carrefour stratégique.
“Free n’était pas très favorable sur la manière de faire. La plupart des communes sont sur des zones très denses. Que se passe-t-il avec des opérateurs comme nous et d’autres ? On se retrouve avec un projet public qui a avancé. Il y a quelques jours, une présentation du délégataire a été faîte à des opérateurs potentiels. Il y a un petit souci là-dessus.”
Thierry Solere rétorque : “Les opérateurs sont dans un logique d’investissement et donc de rentabilité. C’est normal. Ils iront là où les gens paieront. L’Etat n’a pas le même objectif : c’est l’attractivité dans une logique de respect de la concurrence. Il a fallu un examen de quatre ans par la Commission européenne. Encore une fois, le délai, c’est stratégique.”
Pour illustrer le cas d’une zone moins dense, Yves Censi, député UMP de l’Aveyron, est venu apporter son témoignage.
“La problématique des Hauts-de-Seine ne peut pas être calquée en Aveyron en termes de densité. Il faut que les collectivités participent aux autoroutes de l’information (…)Il faut se poser sur les leviers de développement. La puissance publique doit intervenir pour les zones moyennement denses.”
L’élu plaide pour l’aménagement numérique du territoire.
“S’il ya des espaces de création à valeur ajoutée, elle se situe dans les 36 000 communes de France. L’organisation tournera autour du numérique”. Néanmoins, l’évolution des technologies posent quelques soucis : “On parlait de diverses technos du Wimax et maintenant du satellite”.
Juste au moment où Free Mobile débutera la commercialisation de ses offres.
http://www.itespresso.fr/tres-haut-debit-en-france-deploiement-uniforme-ou-priorite-aux-zones-tres-denses-35216.html/3
ITespresso.fr
Philippe Guerrier
25 mai 2010
Bien à vous,
Morgane BRAVO
(Correction apportée le 26/05/10) Lors d’un Forum des Décideurs portant sur le très haut débit organisé à Paris dans la journée du jeudi 20 mai, une table ronde a réuni un panel d’acteurs du monde des opérateurs et des pouvoirs publics pour faire le déploiement.
Patrice Martin-Lalande, député UMP du Loir-et-Cher [et non PS comme précédemment indiqué, NDLR], co-président du groupe d’études sur Internet, a fixé l’état des lieux.
“Nous avons beaucoup à faire, tout à faire sans se leurrer sur la difficulté du chemin à suivre. Il y a une mobilisation grande des pouvoirs publics, tous horizons confondus”, a déclaré l’élu.
“Nous avons les outils juridiques et financiers pour la diffusion du très haut débit, notamment à travers le volet numérique du grand emprunt (4,5 milliards d’euros).” Une enveloppe de 2,5 milliards d’euros est dédié aux infrastructures très haut débit.
“Nous avons des efforts à fournir avec des moyens différenciés en fonction des zones (très denses, semi-denses, rurales). Trois chemins de fer à conduire en parallèle.”
L’élu du Loir-et-Cher est conscient que le “terminal principal, c’est le mobile maintenant”. Tout en poursuivant : “Il va falloir y répondre”. C’est même même plus important que le fixe”, considère-t-il.
De son côté, Olivier de Baillenx, Directeur des relations institutionnelles chez le groupe Iliad-Free, ne perçoit guère de déploiement simultané.
D’un point de vue opérateurs, “le déploiement se fait d’abord sur les zones urbaines (…)Le déploiement horizontal de Paris sera bientôt terminé et la petite couronne sera bientôt couverte par différents opérateurs.” Reste à savoir “comment avancer dans d’autres régions…”.
En tant que nouvel opérateur mobile détenteur d’une licence 3G, le groupe Iliad-Free regarde également l’arrivée de la 4G. “Mais pas avant 2012″.
**Thierry Solere (Hauts-de-Seine) : “le délai THD, c’est stratégique”
Le département des Hauts-de-Seine constitue un laboratoire intéressant en termes de déploiement du très haut débit à l’échelle d’un grand territoire.
C’est une question “d’attractivité” dans un cadre de concurrence capitale européennes (Londres, Barcelone, Berlin, Paris…), considère Thierry Solere, Vice-président du conseil général des Hauts-de-Seine. “Il fallait que le territoire soit maillé en fibre optique. C’est un berceau économique : le tiers du CAC 40 a son siège social dans le département.”
L’élu des Hauts-de-Seine insiste sur la dimension du délai nécessaire au déploiement du très haut débit. “C’est stratégique. En 2005, Nicolas Sarkozy [alors président du conseil général, ndlr] et les élus du département ont mis en place une délégation de service public pour mailler l’ensemble du territoire en 2005. L’intégralité du territoire - particuliers + entreprises - sera couvert dans un délai de six ans”, rappelle Thierry Solere.
“La Commission européenne regardait cela : elle s’est fait un corps de doctrine à cette occasion. Quel rôle des collectivités pour le déploiement du très haut débit ?” Selon le représentant du conseil général, la DSP a permis d’éviter “une fracture au sein d’un même territoire qui risquait un aménagement en tâches de léopards”.
Olivier de Baillenx nuance les propos de l’élu des Hauts-de-Seine, soulignant l’écart de déploiement entre les efforts fournis par la DSP et les autres opérateurs qui considèrent les Hauts-de-Seine comme un carrefour stratégique.
“Free n’était pas très favorable sur la manière de faire. La plupart des communes sont sur des zones très denses. Que se passe-t-il avec des opérateurs comme nous et d’autres ? On se retrouve avec un projet public qui a avancé. Il y a quelques jours, une présentation du délégataire a été faîte à des opérateurs potentiels. Il y a un petit souci là-dessus.”
Thierry Solere rétorque : “Les opérateurs sont dans un logique d’investissement et donc de rentabilité. C’est normal. Ils iront là où les gens paieront. L’Etat n’a pas le même objectif : c’est l’attractivité dans une logique de respect de la concurrence. Il a fallu un examen de quatre ans par la Commission européenne. Encore une fois, le délai, c’est stratégique.”
Pour illustrer le cas d’une zone moins dense, Yves Censi, député UMP de l’Aveyron, est venu apporter son témoignage.
“La problématique des Hauts-de-Seine ne peut pas être calquée en Aveyron en termes de densité. Il faut que les collectivités participent aux autoroutes de l’information (…)Il faut se poser sur les leviers de développement. La puissance publique doit intervenir pour les zones moyennement denses.”
L’élu plaide pour l’aménagement numérique du territoire.
“S’il ya des espaces de création à valeur ajoutée, elle se situe dans les 36 000 communes de France. L’organisation tournera autour du numérique”. Néanmoins, l’évolution des technologies posent quelques soucis : “On parlait de diverses technos du Wimax et maintenant du satellite”.
Juste au moment où Free Mobile débutera la commercialisation de ses offres.
http://www.itespresso.fr/tres-haut-debit-en-france-deploiement-uniforme-ou-priorite-aux-zones-tres-denses-35216.html/3
ITespresso.fr
Philippe Guerrier
25 mai 2010
Bien à vous,
Morgane BRAVO
mardi, mai 25, 2010
*FETE DE LA CITE INTERNATIONALE...*
Photo : Morgane BRAVO
***La Vie de la Cité internationale
FETE DE LA CITE
Comme chaque année, à partir du mois de mai, la Cité internationale universitaire de Paris se vide petit à petit de ses occupants.
Pour les résidents, la Fête de la Cité, qui aura lieu cette année les 28 et 29 mai prochains, reste le dernier grand rassemblement festif avant le départ.
Elle revêtira cette année un caractère exceptionnel, dans le cadre de la célébration de l'Année Honnorat à la Cité : concert symphonique en plein air sur la grande pelouse (une première!), fête foraine, et nombreuses expositions, performances, spectacles, dégustations de spécialités de chaque pays,…
L’équipe de l’Alliance Internationale sera quant à elle ravie de vous accueillir sur son stand le samedi 29 mai après-midi, et de vous faire découvrir son tout nouveau site Internet (bientôt prêt!). Cet événement est également l’occasion pour vous, anciens résidents et amis, de (re)venir à la Cité internationale, nouer des liens, faire des rencontres, ...
*CONCERT EN PLEIN AIR DE L’ORCHESTRE DE LA CITE INTERNATIONALE
Samedi 29 mai, à partir de 21h, l’Orchestre de la Cité internationale universitaire de Paris, accompagné de la chorale de la Cité internationale, sous la baguette de notre président Adrian McDonnell, directeur musical, proposent un concert symphonique en plein air sur la Grande Pelouse, derrière la Maison Internationale. Organisé à l'occasion des festivités liées à l'Année Honnorat, ce concert ponctuera l e week-end de la Fête de la Cité, pour le plus grand plaisir des petits et des grands ! Le programme original de ce concert a été conçu autour des fondateurs de la Cité, avec l'interprétation notamment d'une fanfare en hommage à André Honnorat, une création mondiale de Roger Boutry. Des oeuvres de Tchaïkovski et de Moussorgski apporteront quant à elle un esprit russe à cette soirée musicale !
A partir de 21h, Grande Pelouse
Entrée libre
Voir le programme du concert
*CONFERENCE : QUELLE(S) PRESIDENCE(S) POUR L’UE ?
Samedi 5 juin à 11h au Collège d’Espagne, l’association « Jeunes Européens Universités de Paris » organise une conférence autour du thème "Quelle(s) Présidence(s) pour l'Union européenne?". Cet événement réunira des élus européens et des personnalités de premier plan sur les questions d'Europe : Catherine Lalumière, Pervenche Bérès, Renaud Soufflot de Magny…
L’objectif est de faire un bilan du nouveau mode de gouvernance introduit par la ratification du Traité de Lisbonne, qui permet à trois présidences de coexister : la présidence tournante du Conseil de l'Union (aujourd'hui assurée par l'Espagne), la présidence permanente du Conseil européen, et la présidence de la Commission européenne. En présence des représentants de ces trois présidences, le débat développera des thèmes tels que la diplomatie, la défense et l'économie européennes.
Collège d’Espagne : 7E boulevard Jourdan, 75014 Paris
Entrée libre
Informations bientôt disponibles sur www.ciup.fr
***RIAC
N’oubliez pas de vous inscrire aux Rencontres Internationales des Anciens de la Cité, qui se dérouleront les 28 et 29 août prochain à la Cité. Des tarifs réduits sont applicables pour toute réservation avant le 31 mai !
Renseignements et inscriptions en ligne : www.riac.fr
Bien à vous,
Morgane BRAVO
***La Vie de la Cité internationale
FETE DE LA CITE
Comme chaque année, à partir du mois de mai, la Cité internationale universitaire de Paris se vide petit à petit de ses occupants.
Pour les résidents, la Fête de la Cité, qui aura lieu cette année les 28 et 29 mai prochains, reste le dernier grand rassemblement festif avant le départ.
Elle revêtira cette année un caractère exceptionnel, dans le cadre de la célébration de l'Année Honnorat à la Cité : concert symphonique en plein air sur la grande pelouse (une première!), fête foraine, et nombreuses expositions, performances, spectacles, dégustations de spécialités de chaque pays,…
L’équipe de l’Alliance Internationale sera quant à elle ravie de vous accueillir sur son stand le samedi 29 mai après-midi, et de vous faire découvrir son tout nouveau site Internet (bientôt prêt!). Cet événement est également l’occasion pour vous, anciens résidents et amis, de (re)venir à la Cité internationale, nouer des liens, faire des rencontres, ...
*CONCERT EN PLEIN AIR DE L’ORCHESTRE DE LA CITE INTERNATIONALE
Samedi 29 mai, à partir de 21h, l’Orchestre de la Cité internationale universitaire de Paris, accompagné de la chorale de la Cité internationale, sous la baguette de notre président Adrian McDonnell, directeur musical, proposent un concert symphonique en plein air sur la Grande Pelouse, derrière la Maison Internationale. Organisé à l'occasion des festivités liées à l'Année Honnorat, ce concert ponctuera l e week-end de la Fête de la Cité, pour le plus grand plaisir des petits et des grands ! Le programme original de ce concert a été conçu autour des fondateurs de la Cité, avec l'interprétation notamment d'une fanfare en hommage à André Honnorat, une création mondiale de Roger Boutry. Des oeuvres de Tchaïkovski et de Moussorgski apporteront quant à elle un esprit russe à cette soirée musicale !
A partir de 21h, Grande Pelouse
Entrée libre
Voir le programme du concert
*CONFERENCE : QUELLE(S) PRESIDENCE(S) POUR L’UE ?
Samedi 5 juin à 11h au Collège d’Espagne, l’association « Jeunes Européens Universités de Paris » organise une conférence autour du thème "Quelle(s) Présidence(s) pour l'Union européenne?". Cet événement réunira des élus européens et des personnalités de premier plan sur les questions d'Europe : Catherine Lalumière, Pervenche Bérès, Renaud Soufflot de Magny…
L’objectif est de faire un bilan du nouveau mode de gouvernance introduit par la ratification du Traité de Lisbonne, qui permet à trois présidences de coexister : la présidence tournante du Conseil de l'Union (aujourd'hui assurée par l'Espagne), la présidence permanente du Conseil européen, et la présidence de la Commission européenne. En présence des représentants de ces trois présidences, le débat développera des thèmes tels que la diplomatie, la défense et l'économie européennes.
Collège d’Espagne : 7E boulevard Jourdan, 75014 Paris
Entrée libre
Informations bientôt disponibles sur www.ciup.fr
***RIAC
N’oubliez pas de vous inscrire aux Rencontres Internationales des Anciens de la Cité, qui se dérouleront les 28 et 29 août prochain à la Cité. Des tarifs réduits sont applicables pour toute réservation avant le 31 mai !
Renseignements et inscriptions en ligne : www.riac.fr
Bien à vous,
Morgane BRAVO
lundi, mai 24, 2010
*Le iPhone déclasse la toilette...*
***L'invention de l'appareil iPhone serait-elle plus importante que celle de la toilette ou du réfrigérateur? Les Britanniques pensent que oui.
C'est à tout le moins l'opinion de 4000 d'entre eux, âgés de 18 à 85 ans, à qui le fournisseur de services de téléphones cellulaires Tesco Mobile a demandé de classer les plus importantes inventions du monde.
L'invention de la roue a pris la première place et l'ampoule s'est classée troisième, un résultat prévisible selon le magazine Fortune. Mais le iPhone surprend au huitième rang, juste après la pénicilline et devant la toilette.
Le magazine souligne que même le pdg d'Apple, Steve Jobs, n'a jamais prétendu que l'appareil avait une telle importance parmi les plus grandes inventions de tous les temps.
*Sondage Tesco Mobile - 50 plus importantes inventions :
1. Roue
2. Aéroplane
3. Ampoule
4. Internet
5. Ordinateurs personnels
6. Téléphone
7. Pénicilline
8. iPhone
9. Toilette
10. Engins à combustion
11. Pilule contraceptive
12. Machine à laver
13. Chauffage central
14. Réfrigérateur
15. Anti-douleurs
16. Engin à vapeur
17. Congélateur
18. Appareil photo
19. Automobile
20. Spectacles
21. Téléphones mobiles
22. Papier toilette
23. Hoover
24. Trains
25. Google
26. Micro-ondes
27. Courriel
28. Crayon
29. Eau chaude
30. Souliers
31. Compas
32. Ibuprofen
33. Brosse à dents
34. Fer plat
35. Ordinateur portable
36. Ciseaux
37. Couteau et fourchette
38. Papier
39. Voyage dans l'espace
40. Bouilloire
41. Calculateur
42. Lit
43. Contrôle à distance
44. Toit
45. Air climatisé
46. Navigation par satellite
47. Wi-Fi
48. Oeil-de-chat
49. Allumettes
50. Servo-direction
Tesco Mobile
Bien à vous,
Morgane BRAVO
C'est à tout le moins l'opinion de 4000 d'entre eux, âgés de 18 à 85 ans, à qui le fournisseur de services de téléphones cellulaires Tesco Mobile a demandé de classer les plus importantes inventions du monde.
L'invention de la roue a pris la première place et l'ampoule s'est classée troisième, un résultat prévisible selon le magazine Fortune. Mais le iPhone surprend au huitième rang, juste après la pénicilline et devant la toilette.
Le magazine souligne que même le pdg d'Apple, Steve Jobs, n'a jamais prétendu que l'appareil avait une telle importance parmi les plus grandes inventions de tous les temps.
*Sondage Tesco Mobile - 50 plus importantes inventions :
1. Roue
2. Aéroplane
3. Ampoule
4. Internet
5. Ordinateurs personnels
6. Téléphone
7. Pénicilline
8. iPhone
9. Toilette
10. Engins à combustion
11. Pilule contraceptive
12. Machine à laver
13. Chauffage central
14. Réfrigérateur
15. Anti-douleurs
16. Engin à vapeur
17. Congélateur
18. Appareil photo
19. Automobile
20. Spectacles
21. Téléphones mobiles
22. Papier toilette
23. Hoover
24. Trains
25. Google
26. Micro-ondes
27. Courriel
28. Crayon
29. Eau chaude
30. Souliers
31. Compas
32. Ibuprofen
33. Brosse à dents
34. Fer plat
35. Ordinateur portable
36. Ciseaux
37. Couteau et fourchette
38. Papier
39. Voyage dans l'espace
40. Bouilloire
41. Calculateur
42. Lit
43. Contrôle à distance
44. Toit
45. Air climatisé
46. Navigation par satellite
47. Wi-Fi
48. Oeil-de-chat
49. Allumettes
50. Servo-direction
Tesco Mobile
Bien à vous,
Morgane BRAVO
dimanche, mai 23, 2010
*Le cinéma européen et l’UE : Cannes 2010...*
***Le cinéma européen et l'UE à l'heure du festival de Cannes.
Que fait l'Union européenne pour encourager la production et la diffusion des films européens ? Malika Benarab-Attou, députée européenne, membre de la Commission culture et éducation du Parlement européen, évoque le programme Media et le Prix Lux.
La numérisation des salles de cinéma est en marche en Europe. Cette tendance, révélée le 17 mai 2010 lors de la Journée européenne du Festival de Cannes, implique d’énormes investissements financiers car de nouveaux outils sont nécessaires pour projeter des films… en 3D. Selon l’Observatoire européen de l’audiovisuel, la modernisation de la distribution est une bonne chose, mais attention à la myriade de salles indépendantes en Europe - essentielles pour montrer la diversité du cinéma européen et international (pas uniquement hollywoodien…). Elles représentent un tiers des 30 000 salles européennes et risquent de disparaître. Il faut les aider à assurer cette transition. C’est le rôle du programme européen Media qui vient en aide à la production du cinéma en Europe, et également du Prix Lux qui permet la diffusion et la traduction d’un film européen récompensé chaque année.
* Le programme MEDIA vise à soutenir le secteur audiovisuel européen. Il cofinance des projets audiovisuels et a pour objectif de préserver et mettre en valeur la diversité culturelle européenne et son patrimoine cinématographique, accroître la circulation des œuvres audiovisuelles européennes à l’intérieur et à l’extérieur de l’UE et renforcer la compétitivité du secteur en Europe.
*Le Prix LUX a pour objectif d’éclairer le débat public sur l’avenir de l’Europe. Il vise aussi à briser la barrière des langues qui font obstacle à la circulation des films au sein de l’Union européenne en assurant la traduction.
EE
Bien à vous,
Morgane BRAVO
vendredi, mai 21, 2010
*Le projet de cantine numérique validé : vers une métropole « 3.0 »*France
***Ce jeudi, les élus du conseil d’agglomération ont donné leur blanc-seing pour la création de la cantine numérique rennaise. Celle-ci est vouée à devenir un lieu de rencontre et d’émulation autour de l’innovation numérique.
La future cantine numérique de Rennes Métropole, dont l’ouverture est prévue pour l’été 2010, ne distribuera pas de tickets restaurants. Non. Il ne s’agit pas d’une cantine « gastronomique », mais d’un lieu de rencontre et de mise en réseau des différents acteurs de la chose numérique. Son financement a été soumis au vote, ce jeudi soir, lors du conseil de Rennes Métropole. Sans que personne ne s’y oppose.
MARMITE NUMÉRIQUE
En gestation depuis l’été 2009, la cantine investira les murs laissés vacants par l’ex-boutique des Champs libres, fermée l’an passé, au sein même du pôle culturel multifonctions de l’agglomération. Sa création résulte d’une concertation entre les services de Rennes Métropole et un panel de structures liées à l’innovation numérique. Entre autres : le pôle de compétitivité Images et réseaux, l’association BUG, Rennes Atalante, l’ESC Rennes... Le calendrier annoncé ce jeudi prévoit un lancement officiel à l’été 2010. Calqué sur la Cantine de Paris (chapeautée par l’association Silicon Sentier), ce lieu « 3.0 » comprendra un espace café « convivial », un espace de réunion ainsi qu’un « espace de coworking offrant bureau et accès wifi » et permettant l’accueil de porteur de projets. Il s’agit, en clair, de favoriser le bouillonnement de la marmite numérique rennaise, en offrant à ses acteurs une plate-forme commune. Gwénaële Hamon, vice-présidente de l’agglomération en charge du développement économique, a évoqué les « ressources très importantes du territoire » en matière d’innovation numérique. « La cantine va permettre une visibilité meilleure et l’appropriation par les citoyens de différents usages. C’est un fabuleux champ de développement du numérique et des nouvelles technologies. Et de souligner la « convivialité » qui devrait régner sur place : un « élément indispensable ».
RAYONNEMENT
Ce projet s’inscrit, manifestement, dans LE grand chantier de l’actuelle majorité au conseil d’agglomération : le « rayonnement » de la capitale bretonne. Gwénaëlle Hamon, usant d’une métaphore commerciale, a qualifié cette future cantine de « vitrine» de la « réussite » rennaise en lien avec la « marque » du territoire. Une fois inaugurée, la cantine numérique devrait ouvrir six jours sur sept, « en journée et parfois en soirée ». Une subvention de 85 000 € sera attribuée à l’association gestionnaire pour l’équipement des lieux. La métropole va également injecter 75 000 € destinés à assurer le fonctionnement des lieux pour l’année 2010.
Le Mensuel Rennes
Nicolas Legendre
20 mai 2010,
Bien à vous,
Morgane BRAVO
La future cantine numérique de Rennes Métropole, dont l’ouverture est prévue pour l’été 2010, ne distribuera pas de tickets restaurants. Non. Il ne s’agit pas d’une cantine « gastronomique », mais d’un lieu de rencontre et de mise en réseau des différents acteurs de la chose numérique. Son financement a été soumis au vote, ce jeudi soir, lors du conseil de Rennes Métropole. Sans que personne ne s’y oppose.
MARMITE NUMÉRIQUE
En gestation depuis l’été 2009, la cantine investira les murs laissés vacants par l’ex-boutique des Champs libres, fermée l’an passé, au sein même du pôle culturel multifonctions de l’agglomération. Sa création résulte d’une concertation entre les services de Rennes Métropole et un panel de structures liées à l’innovation numérique. Entre autres : le pôle de compétitivité Images et réseaux, l’association BUG, Rennes Atalante, l’ESC Rennes... Le calendrier annoncé ce jeudi prévoit un lancement officiel à l’été 2010. Calqué sur la Cantine de Paris (chapeautée par l’association Silicon Sentier), ce lieu « 3.0 » comprendra un espace café « convivial », un espace de réunion ainsi qu’un « espace de coworking offrant bureau et accès wifi » et permettant l’accueil de porteur de projets. Il s’agit, en clair, de favoriser le bouillonnement de la marmite numérique rennaise, en offrant à ses acteurs une plate-forme commune. Gwénaële Hamon, vice-présidente de l’agglomération en charge du développement économique, a évoqué les « ressources très importantes du territoire » en matière d’innovation numérique. « La cantine va permettre une visibilité meilleure et l’appropriation par les citoyens de différents usages. C’est un fabuleux champ de développement du numérique et des nouvelles technologies. Et de souligner la « convivialité » qui devrait régner sur place : un « élément indispensable ».
RAYONNEMENT
Ce projet s’inscrit, manifestement, dans LE grand chantier de l’actuelle majorité au conseil d’agglomération : le « rayonnement » de la capitale bretonne. Gwénaëlle Hamon, usant d’une métaphore commerciale, a qualifié cette future cantine de « vitrine» de la « réussite » rennaise en lien avec la « marque » du territoire. Une fois inaugurée, la cantine numérique devrait ouvrir six jours sur sept, « en journée et parfois en soirée ». Une subvention de 85 000 € sera attribuée à l’association gestionnaire pour l’équipement des lieux. La métropole va également injecter 75 000 € destinés à assurer le fonctionnement des lieux pour l’année 2010.
Le Mensuel Rennes
Nicolas Legendre
20 mai 2010,
Bien à vous,
Morgane BRAVO
jeudi, mai 20, 2010
*BREF APERCU : Journées Numériques 2010...à Paris*
***ENSEIGNER ET LE NUMÉRIQUE ?
Journées numériques
Les 17 et 18 mai 2010
L’Université Paris Descartes a organisé la 4e édition de ses JNUM : Enseigner et le numérique ?
Au centre de Paris, l’Université Paris Descartes a invité à deux journées de réflexion sur les pratiques numériques et les perspectives d’innovation des acteurs de l’enseignement supérieur.
Depuis plusieurs années, le numérique transforme la pédagogie et modifie les rapports enseignants - apprenants. Lieu d’expérimentation privilégié, celle-ci connaît aujourd’hui une profonde mutation dont le numérique augmente les moyens et la portée. L’observation de ces nouvelles pratiques et des usages de cet « artisanat numérique » est essentielle comme moteur d’innovation pour l’Université.
Les Journées numériques 2010 avaient pour ambition d’apporter des réponses à toutes les questions posées à travers des débats, des démonstrations et des ateliers pratiques, en invitant les visiteurs à participer en temps réel à la « fabrique » université (SMS, tweets, images). Elles s’inscrivaient dans une démarche recherche-action à laquelle on souhaitait associer largement tous les publics : étudiants, enseignants, acteurs de la formation, de la recherche et de l’insertion professionnelle, acteurs de la vie numérique, entrepreneurs, médias...
Temps forts :
- Des conférences réunissant des acteurs de la pédagogie numérique francophone (Canada, Suisse, Agence universitaire de la Francophonie, Collège de France);
- Des présentations sur le thème Université fabrique du futur :
1. Santé 2.0
2. Nouvelles pratiques, nouveaux usages
3. Social Learning, identité numérique
4. Usages numériques et Université durable en partenariat avec l’association Acidd
- Un carré des blogueurs en duplex avec « Second Life » : plateau-radio collaboratif, BarCamp (ateliers participatifs)
- Un Carrefour des Possibles de la Fing (Fondation Internet nouvelle génération) : présentation de 10 projets innovants autour des usages du numérique
- Un village des partenaires (Apple, Microsoft, Mitsubishi).
*BREF APERCU :
Photos : Morgane BRAVO
***Le carré des blogueurs sur Second Life :
***Table ronde Université, engagement social et numérique
Participants :
- Gilles Berhault, président d'ACIDD, auteur de "développement durable 2.0"
- Thierry Stoehr, de l'Université Paris-Diderot, s'occupe du Centre de formation
logiciels libres (CF2L) de l'UNPIdF ; militant des standards ouverts,
de l'accessibilité au web pour tous et du logiciel libre, président de
l'AFUL.
- François Taddei, qui étudie l'idée du campus ouvert et transfrontières ainsi que les nouvelles pratiques et nouvelles pédagogies associées (éducation 2.0, projet wiser-u http://wiser-u.net). Il est chercheur à l'Inserm et directeur du Centre de Recherches Interdisciplinaires de la Faculté de Médecine Paris Descartes.)
- Tristan Nitot, président de Mozilla Europe
Il s'agit d'évoquer la transformation de l'université par le numérique et l'impact que cela a sur son rôle social :
- Partage étendu et ouvert du savoir, au delà des frontières géographiques et physiques
- Accès au savoir pour le plus grand nombre (accessibilité, accès pour tous)
- Le modèle du libre : indispensable ? Ouverture des contenus, des accès, des outils.
- L'université : creuset pour des étudiants citoyens numériques, citoyens du numérique, citoyens éclairés et impliqués.
*La table ronde, animée par Gilles Berhault :
La table ronde s'inscrit dans le cadre d'une après-midi complète consacrée au thème : "usages numériques et université durable" dont l'association ACIDD est partenaire et qui se déroule en 4 temps :
1- Introduction générale
2- De la formation aux usages du numérique à la citoyenneté numérique" (John Augeri - Université numérique régionale Paris Ile-de France, Paris)
3- Table ronde " Université, engagement social et numérique"
4- Dispositif de réalité mixte, un outil d'animation pour les acteurs publics pour des événements culturels et pédagogiques (Hugues Aubin, Ville de Rennes)
Jacques Schmitten (81 ans, BRAVO! ;-)
Tristan Nitot, président de Mozilla Europe
La présentation de David Cordina, récompensée parmi 4 interventions...
****Toutes les conférences des Journées numériques 2010 sont en lignes :
http://mediatheque.parisdescartes.fr/rubrique.php3?id_rubrique=687&sens=1
**FELICITATIONS à Sophie Mahéo ;-) & aux organisateurs pour ces JNUM10!
De nombreuses perspectives d'évolution à Paris Descartes, projets dynamiques : Conférences très intéressantes...Développement Durable 2.0...!
La France au XXIe Siècle : Enseigner et le numérique...?! Aussi...pour les Seniors...la preuve ;-)!
A SUIVRE...!
Bien à vous,
Morgane BRAVO
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