*TRAITÉ DE ROME*

Il est important de se rappeler d'où nous venons. Après les tragédies de la Seconde Guerre mondiale, le Traité de Rome fut un accord clé entre six pays qui a lié leur destinée via la Communauté économique européenne. À l'occasion du 60ème anniversaire de sa signature, nous revenons sur la manière dont le traité a posé les bases de l'Europe et de sa réalisation, défendues par le Parlement européen.

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🇪🇺POUR QUE L'EUROPE, EN TANT QU’ACTEUR MONDIAL, NE SOIT PAS LOINTAINE DES EUROPÉENS & DES FRANÇAIS!. BIENVENUE, WELCOME, BIENVENIDO, WILLKOMMEN, WELKOM, BENVENUTO, BOAS-VINDAS, WITAJ, VITAJTE... By @MorganeBravo.

2010*50Years of Traineeships at the European Commission*

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*Founded in 2006. From Paris, France. Fondatrice du "HUB EUROPEAN UNION", Morgane BRAVO* "United in diversity", that's the motto of the EU! *Mieux informer les citoyens UE! « So that Europe, as a global player, is not far from Europeans » * *Ancienne stagiaire (Blue Book) de la Commission Européenne, au Secrétariat Général. Bruxelles. * President & Founder HUB « DIGITAL DIPLOMACY» «DIPLOMATIE NUMERIQUE ». *‪Fondatrice HUB 
‪« DIGITAL DIPLOMACY» : « POLITIQUE & SOCIAL NETWORKING ». *Fondatrice HUB « ECOLOGIE &INNOVATION : DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIE SIÈCLE!»* Présidente et Fondatrice du «Think Tank» Europe-Mexique.

*LES PRINCIPALES INSTITUTIONS DE L'UNION EUROPÉENNE*

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🇪🇺L'EUROPE. « L'Europe ne doit pas être un commentateur du monde. Elle doit en être l'architecte.🕊 La diplomatie européenne doit être une » 🕊 May the force be with you! Que la force soit avec vous!

samedi, février 17, 2007

* Le lobby énergétique européen gagne la partie...!

*** Réunis jeudi 15 février à Bruxelles, les ministres européens de l'Energie et de l'Economie ne sont pas parvenus à définir des directives contraignantes sur les énergies renouvelables. Ils n'ont pas non plus retenu certaines recommandations de la Commission européenne contenues dans un plan présenté le mois dernier. Les groupes energétiques ne devraient ainsi pas être obligés de dissocier production et distribution.

Die Presse (Autriche)
"Le lobby énergétique européen a montré une fois de plus à ces messieurs les défenseurs de la concurrence qui est le chef", ironise Franz Schellhorn à propos de la réunion du Conseil européen sur l'énergie qui s'est tenue jeudi 15 février. "Après leur victoire à Bruxelles, les compagnies d'électricité conservent leur monopole de fait et font ainsi un pied de nez aux consommateurs qui aimeraient bien changer de fournisseur. Pourquoi en est-on arrivé là ? C'est simple : presque tous les fournisseurs sont détenus majoritairement par les Etats. La concurrence sur un marché qui fourmille d'entreprises publiques est une contradiction en soi. En effet, les Etats n'ont pas grand intérêt à ce qu'une concurrence accrue tire les prix vers le bas - et par la même occasion les dividendes de 'leurs' compagnies d'électricité. Les bénéfices de ces compagnies sont la dernière planche à billets qui leur reste."

Der Tagesspiegel (Allemagne)
Ingrid Müller est horrifiée par les décisions [prises par les ministres] lors du Conseil européen sur l'énergie. "La crédibilité est un bien précieux - surtout lorsqu'on doit négocier. Toutefois, la dernière réunion du Conseil européen sur l'énergie laisse supposer que les ministres de l'Energie et de l'Economie ne connaissent pas ce terme. En renonçant à imposer un pourcentage d'énergies renouvelables dans la production énergétique globale et en se contentant d'une recommandation non contraignante, ils contrecarrent les projets de leurs chefs d'Etat et de gouvernement (...) Les Français obsédés par l'énergie nucléaire ne sont pas les seuls à avoir pris un ascendant funeste lors du Conseil. Manifestement, les groupes énergétiques, plus rentables que jamais, ont également réussi à embobiner les ministres avec leurs intérêts à court terme."

El Periódico de Catalunya (Espagne)
Le quotidien souligne la difficulté pour l'UE d'adopter une politique énergétique commune. "La lenteur dans la prise de décision au sein de l'Europe communautaire était décrite dans les années 80 comme une stratégie du 'deux pas en avant, un pas en arrière'. Aujourd'hui, alors que s'éloigne chaque jour un peu plus le dernier grand succès de l'Europe des Quinze, la mise en place et la consolidation de l'euro comme une devise alternative au dollar américain, la définition a changé : elle fait deux pas en arrière et un pas timide vers l'avant. (...) On a pu le vérifier hier une fois de plus. Face à l'inquiétude croissante que suscite le futur énergétique de l'UE, avec la question de l'approvisionnement et celle du réchauffement climatique, l'accord minimum trouvé entre les ministres de l'Energie a de nouveau souligné l'absence d'un véritable élan commun permettant d'affronter le défi majeur de la décennie : l'obtention d'une énergie moins chère, moins polluante et moins dépendante des importations."

Courrier International
16/02/2007

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