samedi, février 28, 2009
***Sauvons l'Europe avant qu'il ne soit trop tard...***
***Un effondrement des pays de l'est du continent menacerait l'UE telle que nous la connaissons. A la veille du sommet européen du 1er mars consacré à la crise économique, The Economist appelle les Vingt-Sept à prendre les mesures qui s'imposent.
Dégringolade des taux de change, creusement du déficit de la balance commerciale, redoutables emprunts en devises étrangères et grave récession, tous les ingrédients d'une crise typique des années 1980 et 1990 dans un lointain pays du tiers-monde étouffé par la dette semblent réunis. A cela près que le désordre vient des pays d'Europe orientale, dont bon nombre sont désormais membres de l'Union européenne (UE). Cette partie de l'Europe a connu une période d'euphorie économique alimentée par les investissements étrangers, la volonté de rattraper le niveau de vie de l'Ouest et l'espoir de bientôt rejoindre la zone euro.
Les critiques font valoir – non sans raison – que certains pays d'Europe orientale n'étaient pas prêts à entrer dans l'UE, qu'ils ont bâclé ou négligé les réformes et qu'ils ont dilapidé des milliards d'euros d'emprunts pour soutenir artificiellement leur consommation et le développement.
Mais, si un pays comme la Hongrie ou l'un des trois Etats baltes devait s'effondrer, l'ouest de l'Europe serait l'une des principales victimes de l'onde de choc. Les banques autrichiennes, italiennes et suédoises, qui ont massivement investi et prêté aux nations d'Europe orientale, enregistreraient des pertes colossales si la valeur de leurs avoirs dégringolait subitement. La vague de défauts de paiement qui s'ensuivrait, ajoutée aux réflexes protectionnistes de chacun, pourrait facilement réduire à néant l'une des plus grandes réussites européennes, le marché unique. Un effondrement des pays de l'est de l'Europe soulèverait rapidement de nouvelles interrogations sur l'avenir de l'UE, et la zone euro serait déstabilisée car certains de ses membres, comme l'Irlande ou la Grèce, ne sont pas en meilleure forme que l'Europe orientale.
Toute perspective de nouvel élargissement serait de plus condamnée, ce qui ne manquerait pas de faire ressurgir des doutes sur l'avenir des Balkans, de la Turquie et de plusieurs pays de l'ancienne Union soviétique.
Les conséquences politiques pourraient être pires encore. L'une des plus belles réussites de l'Europe ces vingt dernières années est d'être parvenue à réunifier le continent de manière pacifique après la chute de l'empire soviétique. La Russie traverse elle-même de graves difficultés économiques mais ses dirigeants n'ont pas perdu leur habitude d'exploiter la moindre occasion pour réaffirmer leur influence sur la région. En outre, si les populations d'Europe orientale avaient le sentiment d'avoir été abandonnées par l'Ouest, elles pourraient être tentées par le genre de populistes et de nationalistes qui ont trop souvent pris le pouvoir au cours de l'histoire de l'Europe.
La question qui se pose aux dirigeants européens est de savoir comment éviter une telle catastrophe. Même si les marchés considèrent souvent l'Europe orientale comme un seul bloc économique, les pays de cette région sont différents. Trois grands groupes se dégagent. Le premier comprend des pays qui ne sont pas près de rejoindre l'UE, comme l'Ukraine. Les institutions européennes peuvent aider ces pays financièrement ou par des conseils, mais c'est surtout au FMI de supporter le fardeau.
Les choses sont différentes pour les pays plus à l'ouest, qui sont tous membres de l'UE et donc sous la responsabilité de l'Union. L'un des remèdes les plus préconisés serait d'accélérer leur accession à l'euro ou même de les laisser adopter immédiatement la monnaie unique. Une proposition qui aurait un sens pour les quatre pays dont les taux de change sont indexés sur l'euro : le trio baltique Estonie, Lettonie et Lituanie plus la Bulgarie (la Slovénie et la Slovaquie sont déjà passées à l'euro). Mais la Banque centrale et la Commission européennes s'opposent fermement à cette forme d'euroïsation.
Une adoption unilatérale ou accélérée de l'euro serait beaucoup moins raisonnable pour un troisième groupe composé de pays plus grands, aux taux de change flottants : la République tchèque, la Hongrie, la Pologne et la Roumanie. Aucun d'eux n'est prêt à endurer l'exigeante discipline d'une monnaie unique qui exclut la possibilité d'une éventuelle dévaluation. Leur entrée prématurée pourrait même affaiblir l'euro de manière fatale. La première des priorités pour ces quatre pays est d'endiguer l'effondrement de leur monnaie. L'UE doit également pousser les pays d'Europe orientale à reprendre les réformes structurelles auxquelles ils se sont pour l'instant soustraits.
Pour les dirigeants européens, le sauvetage de ce même plombier polonais qui a volé le pain des travailleurs sera difficile à faire passer auprès de la population à Berlin, Bradford et Bordeaux, d'autant plus que la droite xénophobe se fait chaque jour plus tonitruante. Les contribuables allemands craignent pour leur argent si durement gagné.
La facture risque en effet d'être salée mais, à vrai dire, les pays d'Europe occidentale n'ont pas les moyens de ne pas la payer. L'effondrement d'un pays de l'UE, sans parler du démantèlement de l'euro ou du marché unique, serait une catastrophe pour l'Europe entière ; et il y a peu de chances pour que les Etats-Unis, la Chine ou tout autre pays nous viennent en aide. Il n'est sans doute pas trop tard pour porter secours à l'Est [le 27 février, la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), la Banque européenne d'investissement (BEI) et la Banque mondiale se sont associées pour aider les banques des pays d'Europe orientale à hauteur de 24,5 milliards d'euros sur deux ans] ; mais les politiques doivent dès maintenant se prononcer en faveur de ce sauvetage.
The Economist
Courrier International
27 févr. 2009
vendredi, février 27, 2009
jeudi, février 26, 2009
***Barnier, champion du Salon de l'agriculture...***
***Le ministre de l'Agriculture, désigné tête de liste UMP pour les européennes en Ile-de-France, quittera le gouvernement début mai.
Et si Michel Barnier devenait tendance ? Aussi improbable que cela paraisse, le ministre de l'Agriculture, qui fait un tabac ces jours-ci au Salon du même nom, est en train de connaître un regain de faveur, y compris à l'Élysée - mercredi au Conseil des ministres, Nicolas Sarkozy a salué avec chaleur le travail accompli par le ministre. «Quand la crise dure, ce sont les marques fiables, les personnalités discrètes, les hommes de dossiers, bosseurs et réguliers, qui rassurent», se réjouit déjà un proche de Michel Barnier. Nommé par l'UMP animateur national de la campagne pour les européennes et tête de liste en Ile-de-France, ce grand Savoyard sportif est desservi par une voix blanche et monotone. Jacques Chirac le surnommait «le prof de ski», et il n'a jamais été un proche de Nicolas Sarkozy, qui n'avait pas d'enthousiasme pour ce «bonnet de nuit». Mais il connaît l'Europe. Ses copains à lui s'appellent Mario Monti, Romano Prodi, Hans-Gert Pöttering, José Manuel Barroso et même Angela Merkel, qui fut ministre de l'Environnement en même temps que lui.
C'est sa compétence et sa légitimité qui ont permis au peu charismatique Michel Barnier de devancer Rachida Dati dans le sondage confidentiel réalisé par l'UMP pour déterminer s'il devait rester candidat dans la grande région Sud-Est, ou prendre la tête de liste en Ile-de-France, face à des européens chevronnés, comme Daniel Cohn-Bendit, Marielle de Sarnez ou Harlem Désir. En fait, Barnier, c'est l'anti-Dati. Mais, avant de mener la campagne européenne à plein-temps, début mai, Michel Barnier peut goûter le plaisir d'être dans un ministère qui lui va bien au teint.
Cette semaine, c'est au Salon de la Porte de Versailles que Barnier récolte les fruits de deux années discrètes de travail de terrain. Certains le surnomment déjà «le Robin des Bois des agriculteurs». En prenant une partie des aides européennes aux céréaliers - c'est-à-dire à ceux dont le revenu est deux fois plus élevé que la moyenne - pour les redistribuer aux éleveurs, qui gagnent quatre fois moins que les premiers, il a fait ce qu'aucun de ses prédécesseurs n'avait osé faire. «Vous n'imaginez pas les pressions et les menaces que j'ai reçues, finit-il par avouer. Mais cela est nécessaire pour donner une légitimité à la PAC aux yeux des agriculteurs et de l'opinion publique. J'en suis convaincu.»
Et il est tellement convaincu de ce qu'il fait qu'il n'hésite pas à aller au contact des personnes qui l'invectivent. En marge d'un sommet européen sur l'élevage ovin, il va, contre toute attente, au-devant des manifestants des militants de la Confédération paysanne. Ces derniers, qui ont bravé les barrages des forces de l'ordre, baissent d'un ton en le voyant venir et sont impressionnés par sa connaissance des dossiers. D'autant plus qu'il leur promet qu'il ne les abandonnera pas dans les réaménagements des aides. C'est chose faite. « Les aides au secteur ovin sont réellement au rendez-vous», dira plus tard Régis Hochart, porte-parole de la Confédération paysanne, à la présentation de la réforme des aides.
C'est avec la même foi en une agriculture économiquement viable et écologiquement responsable qu'il prend son bâton de pèlerin pour aller défendre son plan «bananes durables», début décembre, en Martinique et en Guadeloupe, au risque, là encore, d'affronter les barrages de manifestants. Le président PS de la région, Victorin Lurel, saluera officiellement en public «son courage et sa ténacité». Une politique que Michel Barnier assume totalement.
Cet enfant de la vallée d'Albertville, qui a été transformée par l'organisation des Jeux olympiques d'hiver en 1992, n'a jamais dévié de ses deux sujets de prédilection : l'Europe et l'environnement. Récupéré in extremis dans le gouvernement Fillon au ministère de l'Agriculture, parce que Gérard Larcher et Pierre Méhaignerie avaient décliné l'offre, Michel Barnier n'a pas raté cette occasion de rebondir. Rénovant les bureaux du ministère, plus chic et plus contemporain, il a voulu «déringardiser» l'agriculture et la mettre au diapason du développement durable.
«C'est un fervent défenseur des territoires dans un contexte national et européen. C'est en gérant les trois à la fois qu'on aboutit à quelque chose», explique Erik Orsenna, à qui Michel Barnier a demandé d'être président des premiers trophées de l'agriculture durable qui, au Salon, récompensent les exploitations et structures innovantes dans leur environnement. «Je connais Michel Barnier depuis vingt ans et suis frappé par la profondeur de cet homme, toujours chercheur de sens et d'équilibre, la vraie tradition chrétienne, j'ai été élevé là-dedans et je sais de quoi je parle», ajoute l'écrivain et académicien, ex-conseiller de François Mitterrand.
Le secret de cette mesure dont il ne se départ jamais : sa mère croit au Ciel, son père n'y croyait pas. Et le secret de sa bonne forme : le sport. «Trois fois par semaine, je prends le temps de faire de l'exercice physique, c'est très important. Le week-end, je cours, et en semaine je vais à la piscine et aussi à la salle de sport.» Et quand il est en déplacement ministériel, il n'hésite pas à se réveiller une heure plus tôt pour faire des longueurs dans la piscine de l'hôtel.
Si Michel Barnier se prépare à rejoindre Strasbourg - mais son ambition réelle est de redevenir Commissaire européen-, on ne connaît pas encore le nom de son successeur. Déjà les candidatures affluent. Christine Boutin est venue repérer les lieux. On évoque aussi les noms des secrétaires d'État Luc Chatel et Laurent Wauquiez, et on susurre aussi le nom du sénateur centriste Michel Mercier et du député-maire de Nice, Christian Estrosi.
Éric de La Chesnais et Charles Jaigu
Le Figaro
26/02/2009
*Photo : Récupéré in extremis dans le gouvernement Fillon, le ministre de l'Agriculture, Michel Barnier, a su rebondir. (AFP/FOLLIOT)
***LA FRANCE & LE MEXIQUE! : Relations bilatérales...***
***État actuel de la relation bilatérale :
Au cours des dernières années, la nature et le cadre des rapports bilatéraux entre le Mexique et la France n’ont pas cessé de refléter leur volonté et leur intérêt croissants d’intensifier les liens tissés au fil de l’histoire.
Il est possible de mettre en évidence le haut degré de convergence entre les deux pays au niveau multilatéral. Notons ainsi la similitude de leurs conceptions respectives des principes et pratiques devant régir les relations internationales entre États. Ajoutons que le Mexique comme la France accordent une importance fondamentale à la nécessité de promouvoir le droit international. Tous deux réservent également un rôle crucial au renforcement des institutions multilatérales et partagent la conviction selon laquelle il est impératif de renouveler et de renforcer les organisations internationales afin de pouvoir relever les défis mondiaux auxquels nous sommes confrontés (dans le domaine de l’environnement, des droits de l’homme et de la lutte contre le terrorisme notamment), comme l’ont démontré en particulier les rencontres qui ont eu lieu dans le cadre du dialogue élargi du G8 et les discussions au sein des Nations unies.
En outre, il convient aussi souligner que le Mexique comme la France défendent une vision du monde articulée autour des principes de tolérance, de diversité et de dialogue entre les cultures.
Au niveau bilatéral, le Mexique et la France disposent d’organes solides en vue de mettre en œuvre les différents objectifs de leur calendrier commun. Dans ce contexte, il convient de noter l’importance de la Commission binationale France-Mexique, dont la IIIe réunion s’est tenue le 21 et 22 octobre 2004 à Paris. À cette occasion, la volonté commune de donner un nouvel élan à la relation bilatérale a été réaffirmée, à travers la participation de représentants de différents secteurs qui interviennent et enrichissent quotidiennement les échanges entre les deux pays (législateurs, entrepreneurs, chercheurs et intellectuels en particulier).
L’adoption de la déclaration conjointe intitulée « France-Mexique : Fonder une alliance stratégique pour faire face aux défis communs » témoigne de cette détermination. Dans ce document, souscrit au terme de la IIIe réunion de la Commission binationale France-Mexique, les deux gouvernements s’engagent à renforcer la coopération franco-mexicaine au moyen de différentes mesures, aussi bien au niveau bilatéral que multilatéral, dans les domaines économique, culturel, éducatif, scientifique et technique.
Le cadre juridique qui régit les relations entre la France et le Mexique a été renforcé. Il couvre différents sujets, notamment la promotion économique et commerciale, la protection des investissements, les transports, la coopération éducative, la suppression des visas, le tourisme, la protection de l’environnement, la protection intellectuelle. Actuellement, cinq accords sont en cours de négociation et/ou de ratification. Une liste recensant les accords souscrits entre le Mexique et la France est consultable sur ce site.
De même, il existe un Groupe d’amitié franco-mexicain au Sénat français, et récemment, le Sénateur Eloy Cantú a été nommé Président du Groupe d’amitié franco-mexicain du Sénat de la République mexicaine.
Les multiples rencontres, au cours de ces dernières années, entre des représentants des pouvoirs législatifs de la France et du Mexique ont pu témoigner de l’excellente qualité des liens qui unissent les deux pays.
La coopération bilatérale avec la France se traduit aujourd’hui par des réalisations importantes dans le domaine culturel, éducatif, scientifique et technique. Plusieurs institutions françaises très prestigieuses sont représentées dans notre pays, à l’instar de l’Institut français d’Amérique latine (IFAL), l’Alliance française, la Maison de la France, le Lycée franco-mexicain, pour citer quelques uns des principaux services coordonnés par l’Ambassade de France.
Du côté mexicain, il existe également une longue tradition d’échanges culturels avec la France. Actuellement, nous disposons d’un Institut culturel à Paris, ainsi que d’une Maison du Mexique située dans la Cité universitaire de la capitale française.
Il faut souligner également l’importance de la présence économique et commerciale de la France au Mexique. Il y a au Mexique près de 400 entreprises françaises : 300 filiales, succursales et bureaux de représentation et quelque 100 sites secondaires de production de ces entreprises. Selon les autorités françaises, les investissements français au Mexique s’élèvent en moyenne à 600 millions de dollars par an.
De janvier à novembre 2006, les échanges commerciaux entre le Mexique et la France ont représenté 2 943 000 000 dollars. La balance commerciale a enregistré un solde négatif pour le Mexique de 1 920 000 000 dollars. Les exportations ont représenté 511 600 000 dollars et les importations 2 431 800 000 dollars. Cette situation est à mettre en rapport avec le contexte général de nos rapports commerciaux avec l’Europe, lesquels sont largement déficitaires.
À cet égard, il est évident que le Mexique doit déployer davantage d’efforts afin de mettre à profit les avantages offerts par le Traité de libre-échange conclu avec l’Union européenne. En ce qui concerne la France, quand bien même notre relation économique et commerciale avec ce pays est très développée, il faut reconnaître que tout son potentiel n’est pas encore exploité.
C’est pourquoi l’Ambassade, en coordination avec les autorités mexicaines compétentes et le secteur privé, effectue un effort considérable de promotion en vue de multiplier les opportunités commerciales et économiques ainsi que d’attirer des investissements français au Mexique, en particulier dans des domaines qui contribuent au développement national, à la création d’emplois et à la lutte contre la pauvreté.
Le tourisme constitue un autre rayon d’action important. On a observé récemment une augmentation constante des touristes français dans notre pays, jusqu’à atteindre, l’an passé, le chiffre de 173 182 touristes français.
***Panorama Actual de la relación bilateral :
Durante los últimos años, el alcance y contenido de la relación entre México y Francia han reflejado, sin duda, el interés y la disposición crecientes por profundizar los vínculos que históricamente han definido la interacción entre ambas naciones.
En el ámbito multilateral se ha evidenciado el alto grado de convergencia entre ambos países. Para tal efecto, basta señalar: la similitud de sus respectivas concepciones acerca de los principios y prácticas que deben regir las relaciones entre los Estados; la importancia otorgada a la necesidad de promover el derecho internacional; el papel fundamental otorgado al fortalecimiento de las instituciones multilaterales; así como la convicción compartida de que es imperativo renovar y reforzar los mecanismos internacionales para hacer frente a los retos globales (medio ambiente, derechos humanos y lucha contra el terrorismo entre otros), que se ha hecho patente en foros como las Naciones Unidas y los encuentros en el marco del Diálogo ampliado con el Grupo de los Ocho, entre otros.
A lo anterior, habría que sumar el hecho innegable de que México y Francia comparten una visión articulada en torno a los principios del respeto a la tolerancia, la promoción de la diversidad y la necesidad de propiciar el dialogo entre las culturas.
En un plano bilateral, México y Francia cuentan con mecanismos sólidos para dar seguimiento a los distintos capítulos de la agenda bilateral. En este contexto, destaca la Comisión Binacional México-Francia cuya III reunión se celebró los días 21 y 22 de octubre de 2004 en París. En dicha ocasión se evidenció la voluntad común por imprimir un nuevo impulso a la relación bilateral, a través de la incorporación en dicho mecanismo de representantes de los distintos sectores que en forma cotidiana intervienen y dan sustento a los intercambios entre ambos países (poder legislativo, empresarios, académicos e intelectuales, entre otros).
Lo anterior se puso de manifiesto en la adopción de la declaración conjunta “México-Francia: Construyendo una Alianza Estratégica para Enfrentar Retos Comunes”, suscrita al término de la III Reunión de la Comisión Binacional México-Francia, mediante la cual los gobiernos de ambos países decidieron fortalecer la cooperación franco-mexicana sobre la base de diversas acciones tanto en el ámbito bilateral como multilateral, así como en el económico, cultural, educativo, científico y técnico.
México y Francia han consolidado un importante marco jurídico diverso que cubre materias diversas desde promoción económica y comercial, protección de inversiones, transporte, cooperación educativa, supresión de visas, turismo, protección al medio ambiente, protección intelectual, entre otros. Actualmente, cinco acuerdos se encuentran en proceso de negociación y/o ratificación. Una lista completa de este marco jurídico, se ha incluido como anexo.
Asimismo, existe un Grupo de Amistad Francia-México en el Senado francés y, recientemente, el Senador Eloy Cantú fue designado Presidente del Grupo de Amistad con Francia del H. Senado de la República Mexicana.
El excelente estado de estas relaciones se ha visto reflejado en los múltiples encuentros celebrados durante los últimos años entre representantes de los poderes legislativos de ambos países.
La cooperación bilateral con Francia abarca hoy en día importantes realizaciones en los capítulos culturales, educativo y científico técnico. Varias instituciones francesas de gran prestigio están presentes en nuestro país, como es el caso del Instituto Francés de América Latina (IFAL), la Alianza Francesa, la Casa de Francia, el Liceo Franco Mexicano, por mencionar algunos de los principales servicios coordinados por la Embajada de Francia.
Por parte de México, existe también una larga tradición de intercambios culturales con Francia y actualmente mantenemos un Instituto Cultural en Paris, así como la Casa de México en la ciudad universitaria de la capital francesa.
La presencia económica y comercial de Francia en México es también muy importante. Existen en México cerca de 400 empresas francesas: 300 filiales, sucursales y oficinas de representación, y unos 100 establecimientos secundarios productivos de estas empresas. Según las autoridades de ese país europeo, se estima que las inversiones en nuestro país alcanzan en promedio 600 millones de dólares anuales.
En el periodo enero-noviembre de 2006, el intercambio entre México y Francia sumó 2,943 mdd. La balanza comercial registró un saldo deficitario para México de 1,920 mdd. Las exportaciones sumaron 511.6 mdd, mientras que las importaciones alcanzaron 2,431.8 mdd. Esta situación está relacionada con el contexto general de nuestro comercio con Europa que, igualmente, refleja un déficit considerable para nuestro país.
En este orden de ideas, no puede obviarse que México debe realizar un mayor esfuerzo para aprovechar mejor las ventajas de nuestro Tratado de Libre Comercio con la Unión Europea. En el caso de Francia, y aún cuando nuestra relación económica y comercial con Francia es muy importante, hay que reconocer que se encuentra por debajo de su potencial.
En consecuencia, la Embajada trabaja activamente en coordinación con las autoridades mexicanas competentes y con el sector privado para realizar un gran esfuerzo de promoción que permita multiplicar las oportunidades de negocios y comercio, así como atraer más inversiones francesas a México, sobre todo en áreas que coadyuven al desarrollo nacional, la creación de empleos y la lucha contra la pobreza.
Otra esfera de acción importante está representada por el turismo. En años recientes se ha observado un constante incremento de visitantes franceses a nuestro país, hasta llegar el año pasado a la cifra de 173,182 turistas franceses.
Ambassade du Mexique en France
http://www.sre.gob.mx/francia
***La suite :
http://parisinternational.blogspot.com/2009/02/la-france-le-mexique-relations.html
Bien à vous,
Morgane BRAVO
http://www.facebook.com/pages/Morgane-BRAVO/42491554804
*"Malgré la crise, les pays doivent continuer à intégrer les immigrés, car ils font partie de leur économie"...*
***Les travailleurs migrants sont-ils particulièrement frappés par la crise économique ?
La crise intervient dans un paysage singulier : ces dernières années ont été caractérisées par des flux migratoires très importants, avec un regain de l'immigration de travail. Les immigrés ont largement bénéficié des créations nettes d'emplois dans les pays de l'OCDE.
La crise inverse tout, selon la règle "dernier entré, premier sorti". Les immigrés sont plus touchés que les autres parce qu'ils sont concentrés dans les secteurs les plus exposés, dans les qualifications peu élevées, les emplois temporaires, les statuts précaires. Dans les premiers pays touchés, ils ont été très vite balayés.
Au-delà du chômage, quel est l'impact de la crise sur les migrations ?
Certains prédisent une explosion du nombre de clandestins, une chute des migrations, la multiplication des retours au pays... Tout cela est basé sur du vent. A ce jour, on a très peu d'éléments de mesure. Je crois qu'on ne peut pas s'attendre à des retours massifs de travailleurs migrants, car la situation est pire dans les pays d'origine.
On a vu, dans les années 1970, que les immigrés ne rentraient pas chez eux. Dernièrement, l'Espagne a annoncé un objectif de 100 000 retours, avec une forte incitation financière. Ils n'ont même pas 2 000 demandes... Quant aux clandestins, la crise à elle seule aurait plutôt tendance à réduire leur nombre, en limitant l'intérêt économique de la migration.
Beaucoup de migrants en Europe viennent de nouveaux adhérents à l'Union européenne : Pologne, Roumanie... Y a-t-il une situation spécifique aux Vingt-Sept ?
L'élargissement de l'Union européenne a déclenché des migrations bien plus importantes que ce qu'avait prédit la Commission. L'immigration au Royaume-Uni et en Irlande a très fortement augmenté, et des pays comme l'Espagne, le Portugal ou la Grèce sont devenus des destinations pour les migrants à la recherche de travail.
En quelques années, les Roumains sont devenus la première nationalité étrangère en Espagne, devant les Marocains et les Latino-Américains ! A l'heure où le chômage pousse les Espagnols à revenir vers les emplois saisonniers qu'ils avaient abandonnés aux immigrés, le gouvernement a peu de marges de manoeuvre...
Quel message voulez-vous adresser aux pays de l'OCDE ?
La crise est porteuse de racisme, de xénophobie. On entend des discours qui dérapent. Beaucoup de pays ont durci leur politique migratoire, réduisant leurs quotas, se montrant plus sévères avec les clandestins, appliquant strictement la préférence accordée aux chômeurs nationaux...
Nous voulons inviter les gouvernements à une analyse équilibrée. Leur rappeler que la croissance s'est faite avec les immigrés, qui font partie de leur économie. Le vrai enjeu aujourd'hui, c'est de ne rien lâcher sur les politiques d'intégration. Au contraire, il faut profiter de la crise pour mettre en place des politiques de formation, afin de mieux utiliser les qualifications des travailleurs migrants ; permettre aux immigrés de passer d'un statut à un autre, puisqu'on sait qu'ils ne repartiront pas.
Pour l'OCDE, les pays développés doivent-ils rester des terres d'immigration, même en temps de crise ?
Oui. Certains besoins de main d'oeuvre sont structurels et résisteront à la crise, notamment dans le secteur de la santé, le soin aux personnes âgées. En période de reprise, les immigrés apportent souplesse et dynamisme. Restent ensuite les questions géopolitiques : on ne peut pas chercher des marchés et des matières premières dans les pays en développement et leur fermer complètement la porte.
L'histoire des migrations a toujours été celle du donnant-donnant. Les pays occidentaux n'ont pas intérêt à voir se développer à leur porte des situations explosives, qui entraîneraient une montée en flèche des migrations incontrôlées : réfugiés, demandeurs d'asile ou clandestins.
Jean-Pierre Garson, chef de la division des migrations internationales de l'OCDE
Propos recueillis par Grégoire Allix
Le Monde
26.02.09.
mercredi, février 25, 2009
***NOUVEAU-GROUPE FACEBOOK *«JE VOTERAI MICHEL BARNIER AUX EUROPEENNES! »***
***GROUPE FACEBOOK *«JE VOTERAI MICHEL BARNIER AUX EUROPEENNES! »***
Ce groupe vise à rassembler toutes celles et tous ceux qui soutiennent la candidature de Michel BARNIER lors des élections européennes de 2009!
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***GROUPE FACEBOOK ***UNION EUROPEENNE* EUROPEAN UNION* UNION EUROPEA...***
Forum d'échange pour les européens engagés!
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*** BIENVENUE* WELCOME* BIENVENIDO* WILLKOMMEN* WELKOM* BENVENUTO* BOAS-VINDAS* WITAJ* VITAJTE... ***
Bien à vous,
Morgane BRAVO
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***Roger Karoutchi dit tout ... et plus encore : Un succès en librairie!***
***Certains le voient en grognard de Sarkozy, d’autres en Zorro du Parlement chargé de tenir un planning de textes de lois comme on n’en a jamais vu depuis le début de la Ve République. Lui, Roger Karoutchi, se perçoit plutôt en homme de vérités.
Parce que toutes sont bonnes à dire, le secrétaire d’État auprès du Premier ministre chargé des relations avec le Parlement a décidé, à 57 ans, de franchir le pas et de se confier. Sans masque ni faux semblant. Pourrait-il en être autrement chez ce bourreau de travail apprécié pour sa franchise et son sens de l’honneur, chez ce bretteur redoutable qui a déjà connu quatre vies ?
Historien par vocation, il a en effet été, en 1973, le plus jeune agrégé d’Histoire et a enseigné cette discipline pendant seize ans. Militant passionné, il adhère au mouvement gaulliste dès l’âge de 16 ans, colle des affiches pour l’UDR – parfois à ses risques et périls –, participe à la création du RPR où il occupera des fonctions éminentes avant d’être l’un des principaux responsables de l’UMP. Proche du courant républicain et social, de Philippe Séguin, il suit ce mentor fougueux et ombrageux dans la bataille du perchoir comme dans l’aventure rocambolesque de la Mairie de Paris. Président du Groupe UMP au Conseil Régional d’Île-de-France, passionné par les défis de sa région qu’il sillonne sans relâche, il sera également député européen puis sénateur.
Ami depuis 1975 de Nicolas Sarkozy, celui qui fut l’un des artisans de la campagne présidentielle de 2007 raconte dans le détail leurs combats, leurs engagements, les aléas de la vie politique comme les bonheurs de la conquête.
Un parcours exemplaire de la méritocratie à la française puisque cet enfant de Casablanca avait été obligé de quitter le Maroc presque cinquante ans plus tôt.
Dans ce témoignage unique, où Roger Karoutchi révèle une part d’intimité que jamais un ministre n’avait eu le courage d’évoquer, c’est donc un parcours semé de joies et d’embûches, mis au service de ses idées, qu’il dévoile à l’encre de la vérité.
***L’Hexagone version Balladur se profile...***
***Suppression des cantons, regroupements de régions, création de métropoles et du Grand Paris… Les membres du comité, présidé par l’ex-Premier ministre, votent aujourd’hui le projet de redécoupage administratif.
Le comité Balladur s’apprête à dégoupiller la grenade de la réforme territoriale. Avant la présentation du rapport, probablement la semaine prochaine, ses 11 membres doivent voter aujourd’hui les propositions sur lesquelles ils ont planché depuis fin octobre. Résultat : un «big-bang» territorial censé, s’il est suivi, alléger le millefeuille administratif et, de fait, entraîner des économies en supprimant des doublons. (Voir la carte administrative envisagée par le comité Balladur)
Chargés par Nicolas Sarkozy d’accoucher de suggestions «audacieuses», l’ex-Premier ministre et consorts ont suivi la commande, prônant la diminution, de 22 à 15, du nombre de régions métropolitaines et la création d’un Grand Paris à l’horizon 2014. En matière de découpage toujours, les cantons, héritages de la Révolution, seraient supprimés et regroupés dans des territoires plus vastes. Un temps évoquée, la disparition des départements n’aurait pas lieu, mais leur champ de compétences serait redessiné.
Déjà vent debout contre les conclusions du comité, Martine Aubry et une brochette de responsables PS ont exprimé, hier, leur «inquiétude que des réformes nécessaires passent au second plan» et «[soient] utilisées dans un strict but politicien». Pointant une nouvelle «remise en cause des contre-pouvoirs» par Sarkozy, Aubry a annoncé la tenue d’«une grande journée pour la défense des libertés menacées» le 22 mars. Elisabeth Guigou, secrétaire nationale à la réforme de l’Etat a, elle, récusé «la fusion annoncée des élus départementaux et régionaux, sous forme de conseillers territoriaux, ce qui va affaiblir les régions». «C’est complètement taré»,s’est indigné Alain Rousset, président de l’Association des régions de France, très remonté contre un «texte conservateur et politicien», une «usine à gaz qui va coûter plus cher». «La raison, c’est la trouille d’une déculottée électorale en 2010.»
Encore sonnés par l’annonce, début février, d’une suppression partielle de la taxe professionnelle (TP) en 2010, les élus locaux espèrent profiter de la réforme pour ouvrir le débat sur une remise à plat de la fiscalité locale. Si elles regrettent une décision «précipitée» et prise «sans concertation»sur la TP, neuf associations d’élus locaux se sont dites partantes pour une réforme fiscale «ambitieuse, innovante» et garantissant «le lien entre les entreprises et les territoires».
Le jeu des régions: fusions, acquisitions
Dans une philosophie à base d’additions et de soustractions, la commission Balladur propose de passer de 22 à 15 régions «de taille européenne». Le tout en incitant les collectivités volontaires. Du côté des idées d’additions : la fusion des deux Normandie en une seule, les mariages de Rhône-Alpes et Auvergne, de la Bourgogne avec la Franche-Comté. Du côté des soustractions, la disparition de la Picardie, qui serait rayée de la carte en intégrant le département de l’Oise à la région Ile-de-France, celui de la Somme à la région Nord-Pas-de-Calais et le département de l’Aisne à la région Champagne-Ardenne. Poitou-Charentes subirait le même dépeçage, peut-être au profit des régions Aquitaine et Limousin. Dominique Bussereau, président (UMP) du conseil général de Charente-Maritime et Jean-Pierre Raffarin, sénateur (UMP) de la Vienne, avaient de leur côté proposé une fusion Poitou-Charentes et Aquitaine.
Le Grand Paris: chantier difficile
Grand Paris, grande révolution. Autour de la capitale, le comité Balladur propose rien moins que la fusion du département 75 avec ses trois voisins (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne), pour créer un département unique du Grand Paris. Les frontières actuelles disparaîtraient de la carte administrative. Autres sacrifiées : les intercommunalités, qui seraient supprimées. Cette nouvelle institution couvrirait 124 communes et six millions d’habitants. Peut-être même davantage, car les collectivités contiguës au Grand Paris pourraient solliciter leur inclusion dans la nouvelle structure. Autour de la plateforme aéroportuaire de Roissy, des morceaux du Val-d’Oise ou de la Seine-et-Marne pourraient ainsi rejoindre le Grand Paris.
Côté gouvernance, le conseil du Grand Paris serait élu par scrutin de liste avec un système à deux étages : les premiers élus seraient les conseillers territoriaux siégeant à la région Ile-de-France, les suivants siégeraient au conseil du Grand Paris. Cette assemblée compterait 135 membres, dont 45 pour Paris et 30 pour les trois anciens départements.
Le schéma semble simple. La mise en œuvre risque d’être complexe. Le Grand Paris aurait la compétence de l’action sociale, ce qui impliquerait le transfert de tous les personnels concernés, soit potentiellement 25 000 personnes, et une gestion difficile de la proximité sur une telle échelle. Même problème pour la compétence urbanisme, transférée au Grand Paris tandis que les communes, elles, ne seraient plus regroupées dans des intercommunalités de projets. Dernière difficulté, et non des moindres : la majorité des élus franciliens, même de droite, ne veut pas de cette solution.
Un nouvel élu: le conseiller territorial
Exit le conseiller régional et le conseiller général : tous deux seraient remplacés par une nouvelle créature, le conseiller territorial. A cette personne, selon sa place sur la liste des élus, d’assurer les deux fonctions ou une seule.
Le modèle serait comparable à celui qui existe à Paris, Lyon et Marseille, où les élus qui figurent en bas de la liste sont simples conseillers en mairie d’arrondissement tandis que ceux du haut de la liste deviennent aussi conseillers à l’hôtel de ville central. Dans le nouveau système, certains conseillers territoriaux siégeraient pour la région et pour le département, tandis que d’autres ne se réuniraient qu’au niveau du département.
Dans cette opération, le but est de passer d’environ 6 000 à 4 000 élus. Les cantons, base de l’élection des conseils généraux, seraient donc supprimés et remplacés par d’autres circonscriptions plus larges, redécoupage qui devrait intervenir avant 2014. Dans l’intervalle, les élections régionales et cantonales auront bien lieu comme prévu, en 2010 pour les premières et en 2011 pour les secondes, mais les mandats des uns et des autres seront raccourcis à quatre et trois ans pour que tout redémarre à zéro en 2014. Le mode de scrutin (uninominal ou de liste) pourrait être différent selon les zones, rurales ou urbaines.
Villes: naissance de huit métropoles
Tandis que le comité Balladur prie les groupements de communes de disparaître de la carte du Grand Paris, il les encourage ailleurs. Les huit plus grandes agglomérations (Lyon, Lille, Marseille, Bordeaux, Nantes, Nice, Strasbourg et Toulouse) deviendraient ainsi des «métropoles». Ce nouveau statut impliquerait des compétences élargies, dont celle de l’action sociale actuellement confiée aux départements. L’assemblée gouvernante serait élue au suffrage universel direct. Ailleurs, l’intercommunalité sera favorisée. Lors des municipales de 2014, les listes pourraient comporter un «fléchage» sur les noms des candidats appelés à siéger au sein de l’assemblée intercommunale.
Unifications en outre-mer et nouveau scrutin corse
Cela tombe bien puisque la question n’est pas «un tabou» aux yeux de Nicolas Sarkozy. Recevant jeudi les élus d’outre-mer, le Président s’est dit favorable à la création d’une collectivité unique, «si c’est le choix de la population» dans chaque DOM. Le comité reprend cette formule. Les quatre DOM (Guadeloupe, Guyane, Réunion et Martinique) sont à la fois département et région. Il s’agirait, pour faire un parallèle avec le conseil de Paris qui dispose des compétences d’un conseil général et d’un conseil municipal, qu’une seule assemblée ait les compétences du département et de la région.
Une autre proposition Balladur préconise une modification du mode de scrutin pour la désignation de l’assemblée de Corse. Dans l’île, la prime, - qui alloue des sièges supplémentaires au vainqueur des élections -, est limitée à trois sièges (pour 25 % des sièges en métropole). De même, le seuil fixé pour l’accès des listes au second tour des élections régionales ne s’élève en Corse qu’à 5 % des suffrages exprimés, contre 10 % sur le continent. Résultat: depuis des années, aucune majorité absolue et une certaine instabilité institutionnelle.
MATTHIEU ÉCOIFFIER, LAURE EQUY, SIBYLLE VINCENDON et PASCAL VIROT
Photo : La France envisagée par le comité Balladur. (Ide)
LIBERATION
25/02/2009
*La justice européenne veut pouvoir écouter les conversations par Internet...*
***Le grand banditisme est à la pointe de la technologie : il semblerait que les criminels, et plus particulièrement ceux de la mafia italienne, aient jeté leur dévolu sur la VoIP, la téléphonie par Internet, pour planifier leurs actions illégales. Ainsi, un logiciel grand public comme Skype serait devenu un des moyens de communications favori de la mafia. La VoIP pose en effet de nouveaux défis aux autorités : chiffrement très difficile à décoder, quasi-impossibilité de surprendre une conversation en direct, recours obligatoire à un matériel ultra puissant pour reconstituer la moindre bribe de conversation.
Selon la Direction nationale antimafia située à Rome, la VoIP aurait permis aux trafiquants d'armes et de drogue, ainsi qu'aux réseaux de prostitution, de communiquer en toute discrétion depuis des années. Cette autorité italienne de lutte contre la mafia a donc contacté l'agence de coopération judiciaire de l'Union européenne, Eurojust, pour lui demander d'évaluer les moyens techniques et légaux de mise sur écoute des conversations passées sur Internet.
"EMPÊCHER LES CRIMINELS D'UTILISER SKYPE"
Dans un communiqué, Eurojust annonce que son bureau italien va "jouer un rôle-clé dans la coordination et la coopération d'enquêtes sur l'utilisation de systèmes de VoIP comme Skype, pour lever les obstacles techniques et judiciaires à l'interception des conversations téléphoniques via des systèmes de téléphonie sur Internet, en prenant en compte les diverses règles de protection des données et droits civils". "Notre objectif n'est pas d'empêcher les utilisateurs de tirer profit de la téléphonie par Internet, précise l'organisme, mais d'empêcher les criminels d'utiliser Skype et d'autres systèmes pour planifier et organiser leurs actions illégales."
Cette bataille s'annonce rude : Skype a refusé jusqu'à présent de donner des informations sur le cryptage qu'il utilise, gage de confiance auprès de ses utilisateurs. Si l'objectif affiché est "d'empêcher les criminels d'utiliser Skype et d'autres systèmes pour planifier et organiser leurs actions illégales", donner aux autorités l'accès aux conversations cryptées sur Skype soulève de nombreuses questions. Comment serait appliquée une telle mesure en France, qui serait chargé de l'écoute de ces conversations et comment garantir "les diverses règles de protection des données et droits civils" auxquelles fait allusion Eurojust ?
Comme le rappelle le site spécialisé NetEco, les conversations des utilisateurs Chinois de Skype ont déjà été filtrées par le fournisseur d'accès à Internet chinois TOM Online. Sous la pression de Bruxelles, Skype, qui s'est dit prêt à collaborer, pourrait bien se laisser déchiffrer par les autorités.
Célia Heron
LEMONDE.FR
24.02.09
***Sondage EUROPANOVA : « Regards sur la citoyenneté européenne »...***
*** « Regards sur la citoyenneté européenne »
Sondage EUROPANOVA – Mairie de Paris
Avec le soutien de Welcomeurope
*RESULTATS ET ANALYSES (octobre 2008) :
http://www.europanova.eu/pdf/rapport_final.pdf
Sondage EUROPANOVA – Mairie de Paris
Avec le soutien de Welcomeurope
*RESULTATS ET ANALYSES (octobre 2008) :
http://www.europanova.eu/pdf/rapport_final.pdf
*Rama Yade n'ira pas aux européennes...*
***«Je me suis déjà exprimée maintes fois sur le sujet. Je ne sais plus comment le dire !» Rama Yade est très claire : «Il n'a jamais été question d'une candidature de ma part aux européennes, même en position non éligible.» Mardi matin sur RTL, Michel Barnier, tête de liste UMP aux européennes pour l'Ile-de-France, avait dit que la secrétaire d'État aux Droits de l'homme était «prête à l'aider» pour sa campagne.
Le ministre de l'Agriculture était même allé jusqu'à accréditer l'idée que sa consœur pourrait les rejoindre. «Pourquoi pas», avait-il dit en réponse à une question sur sa possible présence en position non éligible. «Je sais, elle me l'a dit, qu'elle était prête à m'aider. J'en suis très heureux, car c'est une femme de qualité, comme Rachida Dati.» Est-il allé jusqu'à imaginer que ce pourrait être une de ces «preuves d'amour» que Rama Yade veut offrir au président Sarkozy ? Cette dernière affirme simplement avoir croisé «il y a un mois» le ministre de l'Agriculture et avoir accepté de lui donner «un coup de main» sur des sujets spécifiques, liés à ses responsabilités.
Rama Yade avait clairement fait savoir à Nicolas Sarkozy qu'elle ne souhaitait pas s'investir sur ce scrutin, ce qui avait provoqué une brouille entre eux et entraîné la désignation de Rachida Dati.
À Paris, la course pour intégrer la liste bat son plein. A priori, la 3e place a été négociée par le Nouveau Centre pour Jean-Marie Cavada. Les places suivantes sont aussi très prisées, en particulier, chez les hommes, par le maire UMP du Ier arrondissement, Jean-François Legaret, ou par le secrétaire général de la Fédération UMP, Jean-Didier Berthault.
Sophie de Ravinel
Le Figaro
24/02/2009
***En fait, RY : Sa place..... ? Quelles sont ses compétences ? A VOUS DE JUGER!***
*Groupe Facebook : UNION EUROPEENNE* EUROPEAN UNION* UNION EUROPEA...*
http://fr-fr.facebook.com/group.php?gid=7989175339
*Groupe Facebook : « JE VOTERAI MICHEL BARNIER AUX EUROPEENNES! »*
http://www.facebook.com/group.php?gid=53078901847
Bien à vous,
Morgane BRAVO
http://www.facebook.com/pages/Morgane-BRAVO/42491554804
Le ministre de l'Agriculture était même allé jusqu'à accréditer l'idée que sa consœur pourrait les rejoindre. «Pourquoi pas», avait-il dit en réponse à une question sur sa possible présence en position non éligible. «Je sais, elle me l'a dit, qu'elle était prête à m'aider. J'en suis très heureux, car c'est une femme de qualité, comme Rachida Dati.» Est-il allé jusqu'à imaginer que ce pourrait être une de ces «preuves d'amour» que Rama Yade veut offrir au président Sarkozy ? Cette dernière affirme simplement avoir croisé «il y a un mois» le ministre de l'Agriculture et avoir accepté de lui donner «un coup de main» sur des sujets spécifiques, liés à ses responsabilités.
Rama Yade avait clairement fait savoir à Nicolas Sarkozy qu'elle ne souhaitait pas s'investir sur ce scrutin, ce qui avait provoqué une brouille entre eux et entraîné la désignation de Rachida Dati.
À Paris, la course pour intégrer la liste bat son plein. A priori, la 3e place a été négociée par le Nouveau Centre pour Jean-Marie Cavada. Les places suivantes sont aussi très prisées, en particulier, chez les hommes, par le maire UMP du Ier arrondissement, Jean-François Legaret, ou par le secrétaire général de la Fédération UMP, Jean-Didier Berthault.
Sophie de Ravinel
Le Figaro
24/02/2009
***En fait, RY : Sa place..... ? Quelles sont ses compétences ? A VOUS DE JUGER!***
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mardi, février 24, 2009
***Dans une allocution à Harvard : Charest propose d’étendre l’ALENA...***
***Devant un tableau noir et un auditoire en partie composé d'étudiants, le premier ministre Jean Charest a livré lundi après-midi un vibrant plaidoyer en faveur du libre-échange à l'Université de Harvard.
Alors que la crise économique fait ressortir les réflexes protectionnistes d'une bonne partie de la classe politique américaine, Jean Charest a plutôt prêché pour étendre la portée de l'actuel Accord de libre-échange nord-américain (ALENA).
«Je pense qu'il existe une opportunité suivant la rencontre de Barack Obama au Canada avec le premier ministre (Stephen) Harper de revisiter l'ALENA. Non pas dans le but de le restreindre, mais de l'améliorer», a soutenu M. Charest.
Prenant le contre-pied des réflexes protectionnistes américains, Jean Charest a dit qu'il était peut-être temps d'élargir l'ALENA à l'ensemble des Amériques. Il a dit souhaiter que la nouvelle administration américaine envisage un «Accord de libre-échange des Amériques».
«Peut-être que le temps est venu de regarder au reste des Amériques en termes de son développement. Pourquoi ne pas regarder comment nous pourrions entrer dans une entente avec toutes les Amériques, de l'Arctique à l'Antarctique?», a-t-il soutenu.
«Nous devrions voler une page du livre européen», a poursuivi le premier ministre en invitant les Amériques à s'inspirer de la construction de l'Union européenne.
Le premier ministre a également présenté son projet d'une entente de libre-échange entre le Canada et l'Europe à son auditoire composé d'étudiants de la prestigieuse université Harvard, de quelques professeurs et de Québécois exilés en Nouvelle-Angleterre. Et il a dit espérer que les États-Unis appuient ce projet.
Le premier ministre a aussi invité les Américains à considérer une «entente continentale sur l'énergie et l'environnement».
«Nous croyons que ce serait dans l'intérêt du continent d'avoir une entente qui inclut le Canada, le Mexique et les États-Unis. «On veut vendre une énergie propre et renouvelable à nos voisins américains. Une entente continentale nous garantirait l'accès au marché», a précisé le premier ministre.
Jean Charest a également souligné l'importance pour les Américains de s'impliquer activement dans les questions environnementales. «Nous avons besoin du leadership des États-Unis» pour lutter contre le réchauffement climatique, a-t-il dit.
Enfin, il a également plaidé pour que les États-Unis se rangent derrière le Canada pour que sa souveraineté sur le détroit du Nord-Ouest soit reconnue. Le premier ministre qui faisait l'aller-retour entre le Québec et Boston avait été invité à prononcer son discours par Gérard Bouchard, qui est l'actuel professeur invité du Centre Weatheread pour les affaires internationales de l'Université de Harvard. Le premier ministre n'a pas manqué de faire rire son auditoire en soulignant que Gérard Bouchard lui retourne finalement l'ascenseur après avoir été nommé à la tête de la commission Bouchard-Taylor sur les accommodements raisonnables.
Par Yves Schaëffner
LA PRESSE CANADIENNE
24 février 2009
Alors que la crise économique fait ressortir les réflexes protectionnistes d'une bonne partie de la classe politique américaine, Jean Charest a plutôt prêché pour étendre la portée de l'actuel Accord de libre-échange nord-américain (ALENA).
«Je pense qu'il existe une opportunité suivant la rencontre de Barack Obama au Canada avec le premier ministre (Stephen) Harper de revisiter l'ALENA. Non pas dans le but de le restreindre, mais de l'améliorer», a soutenu M. Charest.
Prenant le contre-pied des réflexes protectionnistes américains, Jean Charest a dit qu'il était peut-être temps d'élargir l'ALENA à l'ensemble des Amériques. Il a dit souhaiter que la nouvelle administration américaine envisage un «Accord de libre-échange des Amériques».
«Peut-être que le temps est venu de regarder au reste des Amériques en termes de son développement. Pourquoi ne pas regarder comment nous pourrions entrer dans une entente avec toutes les Amériques, de l'Arctique à l'Antarctique?», a-t-il soutenu.
«Nous devrions voler une page du livre européen», a poursuivi le premier ministre en invitant les Amériques à s'inspirer de la construction de l'Union européenne.
Le premier ministre a également présenté son projet d'une entente de libre-échange entre le Canada et l'Europe à son auditoire composé d'étudiants de la prestigieuse université Harvard, de quelques professeurs et de Québécois exilés en Nouvelle-Angleterre. Et il a dit espérer que les États-Unis appuient ce projet.
Le premier ministre a aussi invité les Américains à considérer une «entente continentale sur l'énergie et l'environnement».
«Nous croyons que ce serait dans l'intérêt du continent d'avoir une entente qui inclut le Canada, le Mexique et les États-Unis. «On veut vendre une énergie propre et renouvelable à nos voisins américains. Une entente continentale nous garantirait l'accès au marché», a précisé le premier ministre.
Jean Charest a également souligné l'importance pour les Américains de s'impliquer activement dans les questions environnementales. «Nous avons besoin du leadership des États-Unis» pour lutter contre le réchauffement climatique, a-t-il dit.
Enfin, il a également plaidé pour que les États-Unis se rangent derrière le Canada pour que sa souveraineté sur le détroit du Nord-Ouest soit reconnue. Le premier ministre qui faisait l'aller-retour entre le Québec et Boston avait été invité à prononcer son discours par Gérard Bouchard, qui est l'actuel professeur invité du Centre Weatheread pour les affaires internationales de l'Université de Harvard. Le premier ministre n'a pas manqué de faire rire son auditoire en soulignant que Gérard Bouchard lui retourne finalement l'ascenseur après avoir été nommé à la tête de la commission Bouchard-Taylor sur les accommodements raisonnables.
Par Yves Schaëffner
LA PRESSE CANADIENNE
24 février 2009
***Stockholm et Hambourg : Désignées "capitales vertes" de l'Europe par la Commission européenne***
***La capitale suédoise portera ce titre en 2010, la ville allemande en 2011.
Ce nouveau prix vise à encourager l’amélioration de la qualité de la vie urbaine en tenant compte de l'environnement.
A Stockholm, près de 95% des habitants résident à moins de 300 mètres d’un espace vert.
La capitale suédoise a également été récompensée pour son système de purification de l'eau et de réduction du bruit.
Hambourg, quant à elle, s'est distinguée pour sa qualité de l'air, mais aussi pour ses mesures d'économie d'énergies dans les bâtiments publics.
Ce nouveau prix vise à encourager l’amélioration de la qualité de la vie urbaine en tenant compte de l'environnement.
A Stockholm, près de 95% des habitants résident à moins de 300 mètres d’un espace vert.
La capitale suédoise a également été récompensée pour son système de purification de l'eau et de réduction du bruit.
Hambourg, quant à elle, s'est distinguée pour sa qualité de l'air, mais aussi pour ses mesures d'économie d'énergies dans les bâtiments publics.
*L'Europe fait la pub de sa carte d'assurance-maladie*
***Un accident pendant les vacances, c'est désespérant. Mais les paperasses qui s'amoncellent pour obtenir le remboursement des frais médicaux, c'est sans doute encore pire.
Il existe un moyen de simplifier les démarches : la carte européenne d'assurance-maladie (CEAM). Méconnue, elle existe pourtant depuis 2004. Pour la faire connaître à la fois au grand public et aux médecins des pays récemment entrés dans l'Union, la Commission européenne va donc lancer une campagne de promotion de sa carte.
Gratuite, la CEAM est disponible sur demande dans les caisses primaires d'assurance-maladie. Elle permet à son titulaire d'être traité comme les ressortissants du pays dans lequel il est en vacances : le malade n'avance donc les frais que si les habitants doivent le faire. La carte est valable dans les 27 Etats de l'Union européenne, ainsi qu'en Islande, en Suisse, au Liechtenstein et en Norvège. 173 millions d'Européens la possèdent déjà, dont seulement 4,5 millions de Français.
*Sur le Web : www.ameli.fr/assures/index.php.
Romain Lafont
LE MONDE
23.02.09
lundi, février 23, 2009
*La présidence tchèque salue la communication de la Commission européenne sur les cinq ans de l’élargissement de l’UE...*
***La conférence au plus haut niveau organisée par la présidence tchèque du Conseil de l’UE au Centre des congrès de Prague le 2 mars 2009 en coopération avec la Commission européenne se concentrera sur l’analyse détaillée de ce document.
Le vice-premier ministre tchèque chargé des Affaires européennes, Alexandr Vondra, a déclaré au sujet de cette communication de la Commission européenne : « Nous saluons l’étude consacrée à l’élargissement de l’Union européenne élaborée par la Commission européenne non seulement parce qu’elle a été initiée par la présidence tchèque mais aussi et surtout parce que ses résultats sont une nouvelle tout bonnement positive, ce qui n’est pas si fréquent en ce moment. Il est important de savoir, sur la base de faits solides, que la voie que nous avons prise ensemble il y a cinq ans était la bonne. L’Union européenne peut à juste titre être fière de ce qu’elle a fait. L’étude a clairement montré que l’élargissement de l’UE a apporté la prospérité à tous les pays sans exception. En avoir conscience devrait nous permettre de voir le futur de manière positive ».
*Pour consulter le texte de l'étude :
http://ec.europa.eu/economy_finance/thematic_articles/article13913_en.htm
Le vice-premier ministre tchèque chargé des Affaires européennes, Alexandr Vondra, a déclaré au sujet de cette communication de la Commission européenne : « Nous saluons l’étude consacrée à l’élargissement de l’Union européenne élaborée par la Commission européenne non seulement parce qu’elle a été initiée par la présidence tchèque mais aussi et surtout parce que ses résultats sont une nouvelle tout bonnement positive, ce qui n’est pas si fréquent en ce moment. Il est important de savoir, sur la base de faits solides, que la voie que nous avons prise ensemble il y a cinq ans était la bonne. L’Union européenne peut à juste titre être fière de ce qu’elle a fait. L’étude a clairement montré que l’élargissement de l’UE a apporté la prospérité à tous les pays sans exception. En avoir conscience devrait nous permettre de voir le futur de manière positive ».
*Pour consulter le texte de l'étude :
http://ec.europa.eu/economy_finance/thematic_articles/article13913_en.htm
***Conférence " Renforcer la compétitivité de l'UE - le potentiel des travailleurs migrants sur le marché du travail "***
***Tel est le titre de la conférence qui se tiendra les 26 et 27 février au Centre des congrès de Prague et commencera par l’intervention du vice-premier ministre et ministre tchèque du Travail et des Affaires sociales, Petr Nečas.
Le programme de jeudi sera consacré à deux blocs thématiques. Le premier portera sur le rôle du potentiel de la main d’œuvre dans l’Union européenne dans la stratégie de Lisbonne. Les représentants des employeurs y partageront leurs expériences avec l’emploi de travailleurs étrangers, et en particulier échangeront des propositions permettant de profiter de leurs connaissances et capacités. La discussion portera également sur l’impact de ces travailleurs sur le marché du travail.
Dans le cadre du deuxième bloc, intitulé « le renforcement de la compétitivité de l’Union européenne par le biais de l’utilisation maximale de la migration des travailleurs », seront débattues les méthodes de diffusion des informations essentielles pour les travailleurs migrants et leurs employeurs potentiels. Une grande attention sera prêtée aux moyens d’aider concrètement les travailleurs dans leur intégration dans la société qui les accueille.
Le vendredi sera consacré à l’étude des instruments permettant d’éliminer les obstacles à l’inclusion sociale des travailleurs migrants sur le marché du travail. Parmi ces instruments, l’accent sera mis sur la collaboration renforcée entre les secteurs public, privé et à but non lucratif d’une part et entre les partenaires sociaux d’autre part.
Outre les représentants de la Commission européenne, du Parlement européen et des partenaires sociaux, interviendront également au cours de la conférence des représentants du monde académique, des secteurs privé et public ou des organisations à but non lucratif s’intéressant à la migration et à l’intégration des étrangers.
La conférence de presse à laquelle participeront le ministre tchèque du Travail et des Affaires sociales, Petr Nečas, et le commissaire européen chargé de l’Emploi, des Affaires sociales et de l’Égalité des chances, Vladimíra Špidla, devrait être donnée le 26 février, 10h30, au Centre des congrès de Prague.
UE
dimanche, février 22, 2009
******Ils arrivent... Le 2 mars !....******
***Avez-vous une idée de ce qui va se passer le 2 mars ?
***A SUIVRE!***
Bien à vous,
MB
***A SUIVRE!***
Bien à vous,
MB
***Au Royaume-Uni, le sauvetage des banques passe avant le développement durable...***
***Sur le papier, Gordon Brown est un chevalier du développement durable. Le premier ministre britannique, qui s'est engagé à réduire les émissions de CO2 de 80 % d'ici à 2050 (comparé au niveau de 1990), a souvent répété que la crise financière serait l'occasion d'investir dans les secteurs porteurs de croissance "verte". Lord Nicholas Stern, qui a rédigé en 2006, pour le gouvernement, un rapport sur le changement climatique, avait d'ailleurs chiffré à quelque 10 milliards de livres (11,28 milliards d'euros) l'investissement public qui devait être fait en Grande-Bretagne dans les projets écologiques.
M. Brown aurait-il tout oublié, ou presque, de ce travail ? Il a surtout considéré que l'urgence, après la faillite le 15 septembre 2008 de Lehman Brothers, le joyau de Wall Street, était de sauver le système bancaire britannique : 37 milliards de livres (41,7 milliards d'euros) ont été injectés dans Royal Bank of Scotland, Halifax Bank of Scotland et Lloyds TSB. Les mois précédents, le gouvernement avait déjà dépensé 26 milliards de livres pour nationaliser Northern Rock et 42 milliards de livres pour voler au secours de Bradford & Bingley. Au total, 105 milliards de livres (118,4 milliards d'euros) d'argent public ont été dédiés aux banques. Sans compter les multiples garanties mises en place par le Trésor pour tenter de rouvrir le robinet du crédit.
La seconde urgence de M. Brown était de limiter les effets d'une récession annoncée comme violente. Le premier ministre a fait le choix de soutenir la consommation, avec un plan de relance de quelque 20 milliards de livres, soit près de 1,3 % du produit intérieur brut (PIB). La mesure phare du dispositif a été la baisse au 1er décembre de la TVA de 17,5 % à 15 %, qui prendra fin le 1er janvier 2010, et coûtera au total 12,5 milliards de livres (14 milliards d'euros). Il a aussi promis le lancement de grands travaux, où l'environnement fait figure de parent pauvre.
En dépit de l'opposition de plusieurs membres de son cabinet, dont celle d'Ed Miliband, ministre de l'énergie et du réchauffement climatique, M. Brown a même décidé de construire une troisième piste et un sixième terminal à l'aéroport d'Heathrow. Un projet privé de 9 milliards de livres qui devrait donner du travail à 65 000 personnes d'ici à 2020. "Un Heathrow étendu deviendra le plus gros émetteur de CO2 en Grande-Bretagne", s'insurge Greenpeace. De même, la préparation des JO 2012 ne semble pas très verte, même si elle ne devrait pas augmenter la pollution.
L'INTENTION "VERTE" DEMEURE
"La crise financière était une opportunité pour investir des milliards de livres dans une économie "low carbon", regrette-t-on chez Greenpeace. Pour l'heure, rien ne montre qu'elle ait été saisie." Le prince Charles, très engagé contre le réchauffement climatique, avait créé la surprise, le 25 novembre 2008, en prononçant un discours devant les journalistes étrangers à Londres qui critiquait l'action gouvernementale en faveur du climat, insuffisante selon lui.
L'annonce faite le 12 février ne devrait pas le faire changer d'avis, même si celle-ci se veut "verte". Les ménages britanniques bénéficieront d'une aide s'ils empruntent de l'argent pour isoler leur maison ou passer à des énergies moins polluantes. Le projet gouvernemental ne semble pas encore ficelé : son coût n'a pas été dévoilé et on ne sait pas encore qui paiera pour les prêts bonifiés (les groupes énergétiques ou l'Etat ?), mais l'intention est là.
Londres Correspondante
Virginie Malingre
Le Monde
22.02.09.
***Notre BLOG : 21ème Siècle-'ECOLOGIE & INNOVATION': DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIe siècle! http://developpementdurablexxis.blogspot.com***
Bien à vous,
Morgane BRAVO
http://www.facebook.com/pages/Morgane-BRAVO/42491554804
*LA TRIBUNE BFMTV : DE MICHEL BARNIER*
*** Le nouveau modèle agricole français qui vient d’être annoncé, le salon de l’agriculture qui a ouvert ses portes ce matin, et… les élections européennes du 7 juin prochain :
samedi, février 21, 2009
*Paris évoque la solidarité face aux défauts de paiements...*
***Lors d'une rencontre avec des journalistes à Paris, il s'est félicité des récents propos du ministre allemand des Finances, Peer Steinbrück allant dans ce sens, lors d'une conférence à Düsseldorf, puis dans le Financial Times.
"Il faut être très attentif et très vigilant à l'évolution de la situation des Etats et avoir à l'esprit que le principe de solidarité devra jouer", a déclaré Bruno Le Maire.
"Si jamais devaient se produire des dérapages importants (...) il est essentiel que le principe de solidarité puisse jouer et que nous puissions montrer que la solidarité européenne signifie quelque chose", a-t-il ajouté.
Il n'a pas cité de pays en particulier mais a précisé que ses propos s'appliquaient autant à la zone euro qu'aux autres pays de l'UE.
"Lorsque ce type de déclarations est tenue, cela n'inquiète pas les marchés au contraire ça les rassure et ça a permis en l'espèce de réduire l'écart de spread avec les Etats qui étaient les plus menacés", a-t-il estimé.
Le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, a confirmé vendredi qu'une réflexion était engagée sur un mécanisme d'entraide entre pays de la zone euro tout en précisant qu'il était trop tôt pour évoquer des mesures spécifiques.
Le magazine Der Spiegel a écrit que Berlin étudiait la possibilité d'une entraide au niveau des émissions de dette d'Etat, ce que le ministère des Finances a démenti.
Par Reuters
Crispian Balmer et François Murphy, édité par Laure Bretton
L'Express
20/02/2009
***Grand Paris : les propositions des cabinets français...***
***L'architecte Roland Castro souhaite mettre du «beau» dans les banlieues et propose un opéra au port de Gennevilliers (en haut). L'équipe du projet Christian de Portzamparc envisage la fusion des gares du Nord et de l'Est en créant à Aubervilliers la gare Europe (ci-dessus) autour d'une structure urbaine agréable, facteur de compétitivité internationale.
Cinq architectes français livrent au «Figaro» leur vision de la métropole de demain, conciliant qualité de vie et compétitivité.
Quel sera le nouveau visage de Paris ? Quinze millions d'habitants sont concernés. Les dix équipes d'architectes et d'urbanistes internationaux, chargées par Nicolas Sarkozy de concevoir l'agglomération parisienne du XXIe siècle, ont remis leurs copies jeudi au ministère de la Culture. Prochain rendez-vous, le « grand oral » du 12 mars au Conseil économique et social. «On ne sait pas ce que les politiques garderont, mais cela nous a passionnés», confie Didier Martin, coordinateur du projet Portzamparc. «Ce qui est intéressant est l'aspect complémentaire des dix équipes», souligne Yves Lion, mandataire du groupe Descartes. Et «la crise économique rend plus nécessaire encore de repenser l'agglomération parisienne», souligne l'architecte Roland Castro.
Yves Lion, équipe Descartes :«On pourrait fabriquer une vingtaine de villes de 500 000 habitants en poussant à fond l'intercommunalité, afin de recréer un sentiment d'attachement au territoire. Il faut marier l'agriculture vivrière avec la construction, simplement en travaillant avec les délaissés (segments d'autoroute à l'abandon). On pourrait aussi réduire l'îlot de chaleur de 2 °C en rendant la forêt d'Ile-de-France active avec des plantations, à la fois piège à carbone et source d'économies.»
Didier Martin, coordinateur du projet Christian de Portzamparc : «Une structure urbaine plus agréable sera un facteur de compétitivité internationale. Les gares du Nord et de l'Est fusionneront en une seule gare qui sera située vers Aubervilliers. La place laissée vacante fera la part belle à une coulée verte avec un front bâti, façon Central Park. L'autre projet est “l'Annulaire”, un métro au-dessus du périphérique qui permettrait d'aller vite et confortablement d'un bout de la métropole à l'autre.»
Antoine Grumbach :«Nous souhaiterions aménager une ville linéaire, le long du fleuve jusqu'au Havre. Je travaille sur cette phrase de Bonaparte : “Paris-Rouen-Le Havre, une seule et même grande ville dont la Seine est la grand-rue.” Toutes les grandes métropoles internationales sont portuaires. La vallée de la Seine doit être l'élément identitaire de l'agglomération, réconciliant l'intensité urbaine et la proximité de la nature.»
Roland Castro: «C'est un vrai projet de civilisation. Il s'agit de fabriquer une métropole dans laquelle il n'y a plus d'apartheid. Le rayonnement mondial de Paris est très lié à sa beauté. Nous voulons mettre du “beau” dans les banlieues, créer un opéra au port de Gennevilliers, et un quartier d'affaires à Vitry, sur une île artificielle.»
Djamel Klouche :«Le Grand Paris doit prendre en charge la ville pavillonnaire. La voiture électrique obligera à penser des villes plus agglomérées, avec des rapports de proximité, au lieu des grandes voies actuelles qui renforcent l'effet périphérie.»
Jean Nouvel : l'architecte refuse de révéler quoi que ce soit avant le 12 mars. «Jusque-là, l'œuvre est en cours», argue-t-il. Il est l'un des seuls à parler de «tours » et à s'intéresser à Paris intra-muros.
Valérie Sasportas
Le Figaro
20/02/2009
vendredi, février 20, 2009
***Pour la CE : l'élargissement est un succès, la crise une menace...***
***L'élargissement de l'Union européenne aux pays issus du bloc de l'Est a été un succès économique et politique mais la récession actuelle constitue un défi pour l'unité de l'ensemble européen, estime la Commission dans un rapport.
"Economiquement, l'élargissement a conduit à un accroissement du niveau de vie dans les nouveaux Etats membres, tout en offrant aux anciens des possibilités d'exportation et d'investissement", souligne l'exécutif communautaire.
Cet élargissement historique a débuté en mai 2004 avec l'entrée de dix nouveaux Etats, tous anciens pays communistes d'Europe centrale et orientale à l'exception de Malte et Chypre. Il s'est poursuivi début 2007 avec l'intégration de la Roumanie et de la Bulgarie.
A ce stade du processus, l'UE constitue la plus grande zone économiquement intégrée du monde avec une population d'un demi-milliard d'habitants produisant 30% du PIB mondial.
"L'élargissement a servi d'ancre de stabilité et de facteur de démocratie et d'état de droit en Europe", affirme le commissaire européen à l'Elargissement Olli Rehn.
Mais la crise économique et les tentations protectionnistes qui en découlent menacent de réduire les bénéfices créés par le marché unique, estime Bruxelles.
"Nous ne devons pas laisser la crise assombrir ce succès incontesté. Unis, nous pouvons donner forme à une solution aux questions mondiales comme le changement climatique ou une nouvelle gouvernance financière internationale. Divisés, nous ne parviendrons à rien", note le commissaire aux Affaires monétaires, Joaquin Almunia.
L'UE tiendra le 1er mars un sommet d'urgence en partie consacrée au protectionnisme, dont certains nouveaux membres redoutent qu'il ne tente les pays plus riches du bloc communautaire, à même de dépenser des milliards d'euros pour protéger leurs banques ou leurs industries.
Sur le bilan de l'élargissement, le rapport de la Commission relève que le revenu par habitant dans les nouveaux Etats membres était en 1999 de 40% du revenu moyen par habitant des anciens Etats membres. En 2008, il a progressé à 52%.
De même, la croissance de l'économie des nouveaux Etats qui se développait au rythme annuel de 3,5% sur la période 1999-20003 s'est accéléré pour atteindre un rythme moyen de 5,5% sur la période 2004-2008.
Ce développement ne s'est pas fait aux dépens des anciens pays membres de l'UE, dont la croissance moyenne s'est maintenue à 2,2% sur ces deux périodes de référence.
Par Reuters
Version française Henri-Pierre André
BRUXELLES
L'Expess
20/02/2009
jeudi, février 19, 2009
*Le 12/13 de France Ile de France du 19/02/2009...*
***France 3 Ile de France évoque le café débat de Roger Karoutchi au café de la Contrescarpe à Paris avec les étudiants d'Assas sur le thème " quelle réforme pour la France ?"
***PRESS CARTOON EUROPE...: Le dessin du Suédois Riber!***
***Prix européen du dessin de presse :
*Le jury, auquel Jean Quatremer participait, a rendu son verdict. C'est le dessin du Suédois Riber, paru en décembre dernier qui a été plébiscité.*
"Le PCE (Press Cartoon Europe) est une initiative du PCB (Press Cartoon Belgium) en collaboration avec le Festival International du Cartoon à Knokke-Heist (Belgique). Ce prix annuel récompense les meilleurs dessins de presse parus dans un des pays membres de l’Union Européenne.
La participation au PCE est gratuite pour tous les dessinateurs qui publient dans un quotidien ou périodique accessible au grand public.
Les dessinateurs désireux de participer au PCE sont invités à faire parvenir avant le 4 janvier 2009 trois dessins de leur choix parus au cours de l’année 2008 nathalie@presscartoon.com, auprès de qui ils peuvent obtenir toute information désirée.
Le jury sera constitué par des journalistes accrédités auprès du Parlement Européen à Bruxelles.
La session du jury aura lieu le mercredi 18 février 2009 au KVS (Koninklijke Vlaamse Schouwburg) de Bruxelles. Le jour même le nom du gagnant ou de la gagnante du grand prix PCE sera rendu public.
Ce prix est doté d’un montant de 10.000 euros en espèces et d’un trophée de bronze créé par l’artiste belge Ever Meulen.
La remise du prix aura lieu à Knokke-Heist le samedi 27 juin 2009, lors de l’ouverture du Festival International du Cartoon et du vernissage de l’exposition des dessins nominés du PCE 2009. Ces dessins seront également publiés dans un annuaire multilingue.
*************
*The PCE (Press Cartoon Europe) is an initiative of PCB (Press Cartoon Belgium) in association with the International Cartoon Festival of Knokke-Heist (Belgium). This new award is to be presented annually for the best cartoons published in any European Union member state.
The competition is open to all press cartoonists who publish in any newspaper or magazine available to the general public in any EU member state. Participation is free of charge.
Cartoonists who wish to compete in the PCE are invited to send three of their best cartoons published in 2008 to nathalie@presscartoon.com before 4 January 2009. Requests for more information can be sent to the same address.
The PCE award is judged by a panel of journalists accredited to the European Parliament in Brussels, who will convene on Wednesday 18 February 2009 at the Brussels’ Royal Flemish Theatre to select one grand prize winner to be announced the same day.
The PCE grand prize carries a cash prize of 10,000 euro and a bronze statue designed by the Belgian illustrator Ever Meulen.
The award ceremony will be held in the seaside resort of Knokke-Heist on Saturday 27 June 2009, at the opening of the International Cartoon Festival 2009. All nominated cartoons will be exhibited at the Festival, and will also appear in the multilingual annual catalogue".
*Lien ci-dessous :
http://www.presscartoon.com/fr/pce
Toute l'Europe
*ROGER KAROUTCHI...*
mercredi, février 18, 2009
***Intervention du Président Nicolas Sarkozy***
***Intervention radiotélévisée à l’issue de la réunion avec les partenaires sociaux du Président de la République Nicolas Sarkozy, le 18/02/09.
***Conférence de presse conjointe de François Fillon, Premier ministre, et José Manuel Barroso, Président de la commission européenne...***
***Roger Karoutchi passe en Web 2.0 & lance un site mobile...***
***Connectez vous à http://www.rogerkaroutchi.com
* Une plate forme interactive en web 2.0
Pour vous permettre de donner votre avis
Une véritable plate forme interactive web 2.0 mise en place par la société feedback 2.0. Cette plateforme permet à tous les franciliens de faire des propositions pour leur région mais aussi de noter et commenter les propositions des autres franciliens. Les équipes de Roger Karoutchi réagissent aux propositions créant ainsi un réel échange entre les franciliens et le candidat.
*Un site Mobile
Pour être tout le temps avec Roger
http://rogerkaroutchi.feedback20.com
Un site mobile, parce que 85% des Français possèdent un téléphone mobile. Les franciliens peuvent ainsi avoir accès tout le temps aux actualités de Roger Karoutchi (via une version iphone et une version optimisée pour les autres téléphones).
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*« Renforcer la compétitivité de l’UE : le potentiel des travailleurs migrants sur le marché du travail »*
***Tel est le titre de la conférence qui se tiendra les 26 et 27 février au Centre des congrès de Prague et commencera par l’intervention du vice-premier ministre et ministre tchèque du Travail et des Affaires sociales, Petr Nečas.
Le programme de jeudi sera consacré à deux blocs thématiques. Le premier portera sur le rôle du potentiel de la main d’œuvre dans l’Union européenne dans la stratégie de Lisbonne. Les représentants des employeurs y partageront leurs expériences avec l’emploi de travailleurs étrangers, et en particulier échangeront des propositions permettant de profiter de leurs connaissances et capacités. La discussion portera également sur l’impact de ces travailleurs sur le marché du travail.
Dans le cadre du deuxième bloc, intitulé « le renforcement de la compétitivité de l’Union européenne par le biais de l’utilisation maximale de la migration des travailleurs », seront débattues les méthodes de diffusion des informations essentielles pour les travailleurs migrants et leurs employeurs potentiels. Une grande attention sera prêtée aux moyens d’aider concrètement les travailleurs dans leur intégration dans la société qui les accueille.
Le vendredi sera consacré à l’étude des instruments permettant d’éliminer les obstacles à l’inclusion sociale des travailleurs migrants sur le marché du travail. Parmi ces instruments, l’accent sera mis sur la collaboration renforcée entre les secteurs public, privé et à but non lucratif d’une part et entre les partenaires sociaux d’autre part.
Outre les représentants de la Commission européenne, du Parlement européen et des partenaires sociaux, interviendront également au cours de la conférence des représentants du monde académique, des secteurs privé et public ou des organisations à but non lucratif s’intéressant à la migration et à l’intégration des étrangers.
La conférence de presse à laquelle participeront le ministre tchèque du Travail et des Affaires sociales, Petr Nečas, et le commissaire européen chargé de l’Emploi, des Affaires sociales et de l’Égalité des chances, Vladimíra Špidla, devrait être donnée le 26 février, 10h30, au Centre des congrès de Prague.
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