jeudi, mars 08, 2007
* Nicolas Sarkozy défend les valeurs du centre :Philippe Douste-Blazy!
*** Son discours humaniste et social est un élément majeur de la campagne actuelle.
* Philippe Douste-Blazy « Si Giscard d'Estaing, Simone Veil, Jean-Louis Borloo, Pierre Méhaignerie et moi-même avons décidé de soutenir Sarkozy, c'est bien que celui-ci défend les valeurs du centre » déclare Philippe Douste-Blazy dans une interview au quotidien Le Parisien (06/03/07).
* Nicolas Sarkozy est le « seul candidat qui soit le fruit d'une longue expérience, d'une longue préparation et d'un projet pensé, réfléchi, assumé ». « On a dit que Nicolas Sarkozy entraînerait une droitisation de l'UMP et que les ex-UDF reviendraient vers leur parti d'origine. C'est le contraire qui se passe ! On l'a vu avec André Santini ou Christian Blanc »
« A propos de François Bayrou, si je respecte l'homme, j'avoue ne pas très bien suivre sa démarche ». « Après avoir dit que ni la droite ni la gauche n'était capable de gouverner, voilà qu'il propose de le faire, et avec la droite et avec la gauche ! En somme, il passe du ni-ni au et-et. Cela manque pour le moins de cohérence ».
Pour Philippe Douste-Blazy, la percée du président de l’UDF s’explique « avant tout par la faiblesse de la gauche. Et, en particulier, la quasi-absence des partis à la marge du PS qui rassemblent des votes protestataires : les Verts, le PC, Lutte ouvrière ou encore la LCR ».
« Si on suivait la logique de François Bayrou, cela conduirait la France à une situation de blocage total : pas d'équipe soudée, pas de projet identifié, pas de majorité claire. Ce serait l'impasse ou, pire, la crise de régime »
Et Philippe Douste-Blazy de poursuive : « pour moi, le centre ne consiste pas à voir des complots permanents entre puissances financières, médiatiques et politiques. Ce n'est pas non plus faire preuve d'angélisme en laissant croire aux gens que droite et gauche s'entendent sur tout. Avant, Bayrou était contre le parti unique de la droite et du centre. Il est maintenant pour le parti unique droite-gauche ».
« La démocratie, c'est l'alternance : la possibilité de choisir entre deux options claires ». (…) Ne confondons pas phénomène médiatique et réalité politique. Notre adversaire demeure le PS et sa représentante, Ségolène Royal » rappelle, en guise de conclusion, le ministre des Affaires étrangères.
Le Parisien
06/03/07)
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