L'ancien premier ministre et ancien ministre des Finances a fait cette déclaration dans un discours prononcé aux HEC de Montréal, rapporte Le Devoir.
Selon M. Parizeau, «c'est la capacité à exporter, donc la productivité et l'innovation, qui détermine le niveau de prospérité».
Il estime que l'impact désastreux sur les exportations québécoises de la forte appréciation du dollar canadien est révélateur de l'ampleur du retard accumulé par le Québec en matière d'éducation et de politique de développement.
(D'après PC)
Montréal
13/04/2007
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