*TRAITÉ DE ROME*

Il est important de se rappeler d'où nous venons. Après les tragédies de la Seconde Guerre mondiale, le Traité de Rome fut un accord clé entre six pays qui a lié leur destinée via la Communauté économique européenne. À l'occasion du 60ème anniversaire de sa signature, nous revenons sur la manière dont le traité a posé les bases de l'Europe et de sa réalisation, défendues par le Parlement européen.

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🇪🇺POUR QUE L'EUROPE, EN TANT QU’ACTEUR MONDIAL, NE SOIT PAS LOINTAINE DES EUROPÉENS & DES FRANÇAIS!. BIENVENUE, WELCOME, BIENVENIDO, WILLKOMMEN, WELKOM, BENVENUTO, BOAS-VINDAS, WITAJ, VITAJTE... By @MorganeBravo.

2010*50Years of Traineeships at the European Commission*

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*Founded in 2006. From Paris, France. Fondatrice du "HUB EUROPEAN UNION", Morgane BRAVO* "United in diversity", that's the motto of the EU! *Mieux informer les citoyens UE! « So that Europe, as a global player, is not far from Europeans » * *Ancienne stagiaire (Blue Book) de la Commission Européenne, au Secrétariat Général. Bruxelles. * President & Founder HUB « DIGITAL DIPLOMACY» «DIPLOMATIE NUMERIQUE ». *‪Fondatrice HUB 
‪« DIGITAL DIPLOMACY» : « POLITIQUE & SOCIAL NETWORKING ». *Fondatrice HUB « ECOLOGIE &INNOVATION : DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIE SIÈCLE!»* Présidente et Fondatrice du «Think Tank» Europe-Mexique.

*LES PRINCIPALES INSTITUTIONS DE L'UNION EUROPÉENNE*

*LES PRINCIPALES INSTITUTIONS DE L'UNION EUROPÉENNE*
🇪🇺L'EUROPE. « L'Europe ne doit pas être un commentateur du monde. Elle doit en être l'architecte.🕊 La diplomatie européenne doit être une » 🕊 May the force be with you! Que la force soit avec vous!

vendredi, avril 27, 2007

*10 RAISONS DE NE PAS VOTER POUR SEGOLENE ROYAL*


1. Elle a une vision très manichéenne des choses : après l'annonce par Nicolas Sarkozy de son intention d'engager la construction d'un 2e porte-avions, la candidate socialiste déclare qu'elle préfère l'Education nationale (on doit pouvoir faire les deux ...) ; idem quand, en visite dans un supermarché, elle indique vouloir incarner une société où la « présence humaine » serait renforcée en supprimant des postes de vigiles pour les remplacer par des postes de caissières (là encore, on doit pouvoir faire les deux).

2. Elle a une vision des rapports politiques fondée sur la guerre civile et le sectarisme : elle refuse de serrer la main de Françoise de Panafieu sous prétexte que cette dernière a critiqué ses positions sur le Proche-Orient ; elle refuse de saluer Christian Patriat au Salon de l'agriculture sous prétexte qu'il serait proche de la droite ; en visite aux Antilles, elle dénonce « une lecture révisionniste de l'histoire, dont une certaine droite s'est fait une spécialité » ; elle refuse de dialoguer avec le responsable des ressources humaines du supermarché Champion qu'elle visite au motif qu'elle ne souhaite parler qu'au « nouveau prolétariat féminin » (les caissières).

3. Elle n'est pas une femme indépendante des groupes de pression : rappelons que la candidate socialiste est conseillée sur les questions de justice par l'ancien président d'un syndicat de magistrats (l'USM), sur les questions de sécurité par l'actuel président d'un syndicat de policiers (l'UNSA) et sur les questions d'environnement par l'ancien président d'un groupe de pression international (Greenpeace).

4. Elle pratique un antiaméricanisme primaire : en décembre 2006, en visite au Liban, elle indique « partager beaucoup de choses, notamment l'analyse du rôle des Etats-Unis » avec un député du Hezbollah comparant les Etats-Unis avec le régime nazi. A la sortie de la réunion, elle justifiait la tenue de cette réunion par sa volonté de dialoguer « avec tous les parlementaires ou toutes les autorités démocratiquement représentatives ». Quelques mois plus tard, en avril 2007, elle indique en revanche qu'elle ne sera pas celle « qui ira serrer la main de George Bush comme si de rien n'était ».

5. Elle a une grille de lecture de la société extrêmement datée : comme Jospin en 2002, elle propose d'aller encore plus loin dans le partage du travail avec la généralisation des 35h et la création d'emplois massivement financés par les fonds publics pour lutter contre le chômage, la culture de l'excuse pour lutter contre la délinquance.

6. Elle ne cesse de reporter les problèmes sans jamais les régler : soit elle appelle à un moratoire (sur la culture des OGM ou le réacteur EPR par exemple) ; soit elle recycle un vieux concept en lui offrant un nouveau nom. Les emplois jeunes deviennent des emplois tremplins, la police de proximité devient la police de quartier, les réunions publiques deviennent des débats participatifs ...

7. Elle propose souvent des solutions approximatives et imprécises : ainsi avec le Smic à 1.500 euros dont on ne savait pas s'il devait s'entendre en valeur brute ou nette. Quelques jours avant le premier tour, la candidate socialiste précise qu'il s'agit d'un montant « net », avant que son attachée de presse indique qu'il fallait en fait comprendre « brut ». Ainsi aussi avec son contrat première chance pour les jeunes, qui a été annoncé pour durer un an, puis trois mois, puis de nouveau un an, puis étendu aux plus de cinquante ans, etc.

8. Elle n'hésite pas à asséner des contre-vérités manifestes : ainsi affirme-t-elle que les impôts n'ont pas augmenté en Poitou-Charentes alors qu'elle les a relevés de 27% en 2005 ; elle affirme également que la gauche a construit plus de logement sociaux que la droite alors que depuis 30 ans on n'a jamais construit autant de logements sociaux que depuis 2002 ; elle affirme encore que la délinquance a progressé en France depuis 2002 alors que les chiffres démontrent une baisse de 10%.

9. Elle n'arrive pas à distinguer le combat d'idées des attaques sur les personnes : ainsi la candidate socialiste accuse-t-elle la droite « de ne pas avoir de principes » (le 20 avril sur France-Inter), puis à nouveau d'être une droite « dure, agressive, sans principes, sans vertu républicaines, arrogante, qui dit tout et son contraire » (meeting à Paris le 6 février 2007) et dont le projet de société « recèle de la brutalité, de la violence et de la guerre civile » (meeting à Belfort le 13 avril). De même Nicolas Sarkozy devient un « menteur prêt à tout », qui « ne respecte pas les règles démocratiques », et « un menteur est-il apte à devenir Président de la République ? » (le 3 avril sur Canal +). Il n'aurait également « d'autre ambition que de prendre le pouvoir » (meeting à Besançon le 12 avril).

10. Elle est dure et cassante avec ceux qui ont fini par la quitter : interrogée par les journalistes sur sa réaction à la démission d'Eric Besson, la candidate socialiste répond par un méprisant « Mais qui connaît M. Besson ? ».

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