vendredi, avril 06, 2007
** LE BILAN DE NICOLAS SARKOZY EN MATIERE DE SECURITE **
***** L'action de Nicolas Sarkozy au ministère de l'Intérieur a permis un net recul de la délinquance.
** Nicolas Sarkozy a voulu que l'on puisse juger de manière objective l'impact de ses réformes en confiant à l'Observatoire National de la délinquance, c'est-à-dire à un organisme indépendant, le soin d'étudier et de publier l'évolution de la délinquance.
* De 2002 à 2006, les faits constatés (crimes et délits) par les services de police et de gendarmerie ont diminué de 9,4%, alors qu'entre 1998 et 2002, ils avaient progressé de 17,8%.
* C'est en 2001 que le nombre de crimes et de délits avait atteint son plus haut niveau, dépassant la barre des 4 millions de faits. Ce chiffre a été ramené à 3 725 588 faits et plus de 1 153 000 de victimes ont ainsi été épargnées depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy au ministère.
* C'est dans le domaine de la délinquance de voie publique que les résultats sont les plus spectaculaires. De 1998 à 2002, la délinquance de voie publique avait augmenté de 10,5% ; depuis 2002, elle a reculé de 24%. Mais la lutte contre les violences aux personnes (qui ne représentent que 10% de la délinquance générale) a également donné des résultats. Certes, le taux d'atteintes volontaires à l'intégrité physique a augmenté de 13,9% depuis 2002, mais il faut rappeler qu'il avait augmenté de 42,2% sous le gouvernement de Lionel Jospin. Par ailleurs, parmi ces violences, seules les violences non crapuleuses (violences gratuites), souvent familiales et difficiles à repérer, augmentent encore.
* 5,6 Mds d'euros de moyens supplémentaires ont été engagés pour la période 2003-2007 permettant d'accroître les effectifs de la police nationale (+ 9 000) et de la gendarmerie (+ 7 000). Les forces de l'ordre ont été dotées d'un meilleur équipement (gilets pare-balles, armement, système de communication sécurisé ACROPOL).
* Le fichier national des empreintes génétiques (FNAEG) est passé de 4 000 profils en 2002 à plus de 400 000 profils aujourd'hui, permettant de résoudre, au total, plus de 5 700 affaires. L'immigration croissante exigeait une politique de gestion des flux migratoires afin de mettre en place une immigration choisie et non plus subie. Nous sommes passés de 10 000 reconduites à la frontière en 2002, à 20 000 en 2005, et à 24 000 en 2006, pour la seule métropole.
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